Finance & Gestion 414
Entreprises en difficulté : cap sur la prévention
lundi, 02 novembre 2009 00:00 Écrit par Linda Ducret
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En ces temps de crise économique, l’adage «Mieux vaut prévenir que guérir» est particulièrement bien adapté. Lorsque les difficultés arrivent, il est déjà trop tard pour réagir. Alors, pour ne pas subir l’hémorragie des ressources consécutives à un dépôt de bilan. Surtout n’hésitez pas, cap sur la prévention !
Une nouvelle « Culture économique »
ul doute, il s’agit là d’une nouvelle donne, faite d’anticipation et de détection à temps des difficultés. Et tous les acteurs de la prévention (expert-comptable, avocat, banquier….) ont désormais pris le parti de diffuser cette culture auprès des dirigeants d’entreprise.
En effet, combien de chefs d’entreprises subissent les difficultés, se replient sur eux-mêmes en attendant des jours meilleurs ! Or, prévenir les difficultés, c’est le meilleur moyen de les surmonter. Bien entendu, la prévention doit être de mise pour l’entreprise elle-même. Mais la sauvegarde de l’entreprise est également un enjeu majeur pour l’économie. Car, c'est le maintien de l'activité économique et des emplois qui est en jeu. Comment mettre en place des solutions afin d’anticiper ? Quels sont les enjeux juridiques, fiscaux et sociaux d’une restructuration ? Quel est l’apport de la loi de sauvegarde du 26 juillet 2005 en matière de prévention ? Quelles sont les principales mesures issues de son entrée en application au mois de janvier 2006 ? Comment organiser la reprise d’une entreprise défaillante ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles GPO tentera d’apporter une réponse.
De la carte SIM à la carte de paiement en passant par la carte d’identité ou encore la carte de fidélité, les usages liés à la carte ne changent pas. Ce qui évolue, en revanche, ce sont les technologies associées à chacun de ces usages et qui contribuent à la pérennité et à l’augmentation du volume des cartes. Un marché en devenir qui a su se faire une place notamment au milieu de la diversité des supports marketing.
Près de 7 milliards de cartes à puce circulent de par le monde… Cette industrie, loin de s’essouffler, profite de l’évolution des modes de vie, faisant peu état de la crise actuelle. Crise ou non, chacun continue d’utiliser son téléphone portable, sa carte de paiement ou encore sa carte d’identité. D’ailleurs, non seulement le marché de la carte résiste à la conjoncture économique, mais en plus, il laisse encore présager un fort potentiel de développement. Le marché de la carte SIM, dont la croissance pourrait atteindre 12.5 % en 2009 (Prévision Eurosmart 2009) se révèle très peu dépendant de celui des téléphones mobiles qui pour sa part devrait baisser de 8 % en volume (Etude d’Infonetics Research, 2009).
Le marché de la carte SIM reste en effet lié au nombre d’abonnés au GSM. Ce sont ainsi entre 2.3 et 2.5 milliards de cartes SIM qui ont été livrées pour répondre à une demande induite (renouvellement ou changement d’opérateur) par un effet de «parc installé», et donc indépendant des ventes de mobiles et des nouveaux abonnements.
Le marché de la carte de paiement paraît également assez armé contre les mouvements qui affectent déjà les comportements d’achats des consommateurs. Avec un taux de progression de 14.8 % en volume (Eurosmart 2009), la carte bancaire reste l’un des moyens privilégiés pour les banques de détail, de fidéliser et de gagner de nouveaux clients. La croissance de ce secteur reste globalement tirée par la demande dans les domaines de la sécurité et de la migration EMV (Europay MasterCard Visa).
Gagner un temps précieux dans la gestion du flux courrier
lundi, 02 novembre 2009 00:00 Écrit par La rédaction
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Quotidiennement dans l’entreprise, des collaborateurs occupent un temps précieux à des tâches qui les éloignent de leur cœur de métier. La gestion du courrier fait partie de ces activités essentielles bien que terriblement chronophages. Question récurrente pour un bon chef d’entreprise : comment gagner du temps et réaliser des économies substantielles ?
Les solutions existent pourtant, et ce, à tous les maillons de la chaîne courrier ; elles se multiplient même ces dernières années et gagnent en efficacité grâce à l’évolution technologique. Mais également grâce aux réflexions en amont des fabricants.
Accélérer la distribution du courrier
Dès réception, les systèmes d’ouverture automatique permettent désormais d’accélérer le flux interne de l’information, et de gagner ainsi un temps précieux sur le traitement manuel ainsi qu’une plus grande réactivité des équipes. Certains fabricants ont opté pour des gammes de produits multiples au savoir-faire spécifique. Ainsi Satas avec ses ouvre-lettres-extracteurs qui vont de l’OL 50 destinés au traitement des enveloppes renforcées et épaisses (30 enveloppes/ minutes) à l’OLF 45 dont la vitesse d’ouverture est la plus élevée du marché (750 plis/mn) pour des services à gros volumes. Tandis que des solutions comme Sesam 1 de Neopost France capitalisent sur la polyvalence en acceptant tous les formats gèrent jusqu’à 300 enveloppes à la minute. Le tout sans entretien du produit grâce à un couteau auto-affûtant. S’ajoute à cela pour un bon nombre de solutions la prise en compte environnementale : une incision sur un côté seulement pour éviter le déchet de papier.
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De plus en plus d'annonceurs demandent à leur agence événementielle non seulement de leur concevoir des opérations originales, mais aussi de prendre en compte la dimension écologique. Une tendance dans l'air du temps qui ne peut que s'amplifier.
Avec une progression d'activité de 8 % des 67 adhérents de l'ANAé(1), l'année 2008 a été jugée satisfaisante par les professionnels de l'événement ; et ce, malgré l'érosion significative de leur taux de marge. Pour 2009, conséquence directe de la crise, l'association prévoit une baisse sensible du marché, sans pour autant être spécialement inquiète sur l'activité de ses membres.
Si le salon IFTM Top Résa traite en partie l'univers du tourisme d'affaires (notamment via ses indissociables grands opérateurs que sont compagnies aériennes, chaînes hôtelières et sites d'accueil), c'est indéniablement le salon Heavent (voir encadré) qui est le plus représentatif des tendances de ce marché aux contours désormais bien établis. Il n'est pas inutile de rappeler que cette reconnaissance n'est pas si ancienne que cela. La question identitaire de cette profession a par exemple fait l'objet d'un Avis et Rapport du très vénérable CESE(2) en 2007, les pouvoirs publics et le Ministère du Tourisme distinguant quatre domaines : les foires / salons, les congrès / conventions d'entreprises, les opérations de motivation (incentive) et enfin, les voyages d'affaires individuels. Pour ces derniers, les entreprises ont depuis longtemps intégré des outils d'aide à la décision qui permettent d'acheter mieux avec une trace écologique réduite au maximum. Le phénomène est plus récent sur l'événementiel.
Energie : le pas environnemental facile à franchir
lundi, 02 novembre 2009 00:00 Écrit par Philippe Dermagne
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Pour de nombreuses PME ou TPE, l'une des grandes difficultés est souvent de savoir sous quel angle et comment entamer une première démarche allant dans le sens du développement durable. L'énergie est sans conteste un domaine où toute optimisation se traduit rapidement par une baisse des charges d'exploitation. Contexte et panorama des économies faciles et bonnes pour la planète.
Un contexte d'évidences économiques pour la création de valeur
S'il est une source inépuisable d'énergie, par définition renouvelable, c'est bien celle d'une meilleure gestion des ressources disponibles ; une évidence parfois négligée mais qui pourtant est l'ossature de toute politique énergétique. Cet axiome est d'autant plus remarquable que tout dirigeant comprend immédiatement que réduire la consommation d'énergie c'est à la fois, protéger l'environnement et améliorer le rendement de l'entreprise.
Faire des économies d'énergie offre aussi des avantages sur le terrain humain et social. Réduire la consommation d'énergie est la conséquence directe d'actions tangibles et perceptibles par chacun, à l'efficacité visible quasi immédiate, sur fonds de satisfaction personnelle et collective.
Dans l'univers du développement durable, les économies d'énergie sont assurément un domaine où les dirigeants et l'ensemble du personnel rentrent tout naturellement dans le cercle vertueux de la RSE(1); sans s'en rendre vraiment compte ou presque !
Tous les experts et spécialistes s'accordent à dire que la compétitivité de l'entreprise passera de plus en plus par le respect d'une éthique environnementale, au risque de voir s'étioler son portefeuille clients et de réduire la fidélité et la motivation de son personnel, deux leviers majeurs de toute création de valeur. «La création de valeur passe d'abord par la maîtrise des risques», écrit Philippe Laget(2), membre du Conseil National du Développement Durable.
Energie : le pas environnemental facile à franchir
lundi, 02 novembre 2009 00:00 Écrit par Philippe Dermagne
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Pour de nombreuses PME ou TPE, l'une des grandes difficultés est souvent de savoir sous quel angle et comment entamer une première démarche allant dans le sens du développement durable. L'énergie est sans conteste un domaine où toute optimisation se traduit rapidement par une baisse des charges d'exploitation. Contexte et panorama des économies faciles et bonnes pour la planète.
Un contexte d'évidences économiques pour la création de valeur
S'il est une source inépuisable d'énergie, par définition renouvelable, c'est bien celle d'une meilleure gestion des ressources disponibles ; une évidence parfois négligée mais qui pourtant est l'ossature de toute politique énergétique. Cet axiome est d'autant plus remarquable que tout dirigeant comprend immédiatement que réduire la consommation d'énergie c'est à la fois, protéger l'environnement et améliorer le rendement de l'entreprise.
Faire des économies d'énergie offre aussi des avantages sur le terrain humain et social. Réduire la consommation d'énergie est la conséquence directe d'actions tangibles et perceptibles par chacun, à l'efficacité visible quasi immédiate, sur fonds de satisfaction personnelle et collective.
Dans l'univers du développement durable, les économies d'énergie sont assurément un domaine où les dirigeants et l'ensemble du personnel rentrent tout naturellement dans le cercle vertueux de la RSE(1); sans s'en rendre vraiment compte ou presque !
Tous les experts et spécialistes s'accordent à dire que la compétitivité de l'entreprise passera de plus en plus par le respect d'une éthique environnementale, au risque de voir s'étioler son portefeuille clients et de réduire la fidélité et la motivation de son personnel, deux leviers majeurs de toute création de valeur. «La création de valeur passe d'abord par la maîtrise des risques», écrit Philippe Laget(2), membre du Conseil National du Développement Durable.
Service courrier : Un pôle d’économies à ne pas négliger
mercredi, 02 septembre 2009 00:00 Écrit par La rédaction
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Parent pauvre dans les investissements de l’entreprise, le service courrier représente pourtant un gisement de réduction de coûts important. Face à un marché postal en pleine évolution et à un contexte économique sensible, les entreprises ont besoin de conseils en la matière. Une analyse pointue permettra de réorganiser de façon optimale l’activité courrier avec des résultats rapides à la clef.
Lors d’un déménagement, d’une fusion ou d’une réorganisation, comment aménager le service courrier de façon optimum ? De quelle manière mieux maîtriser les coûts d'affranchissement par service ? Comment gagner en réactivité, éviter l’absentéisme et améliorer le quotidien des collaborateurs qui travaillent en salle courrier ? Autant de questions qui dirigent l’entreprise vers un diagnostic sur le fonctionnement de son service courrier.
Les grands acteurs du marché ont tous développé une entité conseil visant à apporter leur savoir faire aux entreprises. Satas a ainsi créé en 1996 son département Conseil. «Notre mission consiste à faire un diagnostic technique et opérationnel des activités documentaires de l’entreprise avec selon les besoins une analyse financière pour mettre en évidence les dysfonctionnements et optimiser au final l’organisation, la structure et la gestion des flux documentaires», explique Myriam Asselin-Louis, Chef de produit et marketing Satas.
IFTM Top Résa, chronique d’un salon à succès
mercredi, 02 septembre 2009 00:00 Écrit par Anne Del PozoAprès un bilan 2008 très positif, IFTM Top Résa 2009 s’annonce également comme un bon cru au regard notamment de son nombre d’exposants et des thématiques qui y seront abordées.
Pour sa première édition en 2008, le salon IFTM Top Résa enregistrait déjà une belle performance. Héritier du salon Top Résa qui se déroulait traditionnellement et depuis 29 ans à Deauville, IFTM Top Résa 2008 s’est pour sa part offert le luxe de se tenir à Paris Porte de Versailles. A l’occasion de ses 30 printemps, le salon est ainsi devenu un rendez-vous incontournable dans le milieu du tourisme, élargi à l’ensemble des acteurs de la profession de la distribution loisir jusqu’au voyage et au tourisme d’affaires, en passant par le tourisme de groupe, la production, le réceptif ou encore la destination France. «Désormais, tous les acteurs du tourisme professionnel se retrouvent sur cet événement pour échanger et s’informer sur l’impressionnant panel de destinations présentes, sur les nouveaux produits des exposants et sur les dernières solutions technologiques du secteur», précise Vincent Lhoste, Directeur du Salon IFTM Top Résa et Directeur de la division Tourisme chez Reed Exposition France. «Une évolution qui a remporté une adhésion très forte tant de la part des exposants, qui ont désormais un salon à Paris, leur permettant de rencontrer simultanément l’ensemble de leurs cibles B2B, que l’ensemble des visiteurs qui se sont déplacés en nombre».
Les prestataires hôteliers jouent la carte de l’adaptabilité
mercredi, 02 septembre 2009 00:00 Écrit par Anne Del Pozo
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Alors que les budgets «déplacements professionnels» des entreprises fondent comme peau de chagrin, les prestataires hôteliers affûtent leurs armes, misant sur leurs capacités d’adaptabilité, notamment en termes de tarification et d’organisation.
Si, dans un contexte de crise, les entreprises cherchent à réduire leurs coûts et à diminuer leurs charges d’exploitation, elles entendent également rester à un haut niveau de compétitivité», explique Philippe Piat, Directeur général d’Appart’City. «La notion de mobilité demeure ainsi essentielle pour motiver l’ensemble des collaborateurs ainsi que pour garder le contact avec les partenaires, fournisseurs et clients. Les déplacements professionnels sont donc toujours légions, mais s’organisent désormais sur la base de nouvelles contraintes en tête desquelles figure la rationalisation des coûts». Une nouvelle donne qui n’est pas sans conséquence sur le choix des établissements hôteliers retenus dans le cadre des déplacements et/ou manifestations professionnels.
Repenser le budget hôtel
La dépense hôtel représente en moyenne près de 40 % du budget voyage des entreprises et pourtant, elle reste généralement sous-estimée et mal gérée. «Dans le monde, plus de 250 000 hôtels, membres d’une chaîne ou indépendants, sont utilisés par les voyageurs d’affaires», explique Christophe Renard, Vice-président de Carlson Wagonlit Travel, chargé de l’intelligence économique.
Se réunir autrement pour gagner en efficacité
mercredi, 02 septembre 2009 00:00 Écrit par La rédaction
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Face à une économie mondiale de plus en plus tendue, les entreprises entendent mieux contrôler leurs coûts tout en renforçant leur compétitivité. Un principe qui s’inscrit également dans une démarche de développement durable engagée par un certain nombre d’entre elles. Dans le cadre de cette volonté, les comportements de travail évoluent et laissent peu à peu la place à des méthodes innovantes, articulées notamment autour des nouvelles technologies.
Dans un contexte d’instabilité économique, les programmes de réduction des coûts sont plus que jamais d’actualité dans les entreprises. «La principale préoccupation des entreprises porte aujourd’hui sur la réduction de leurs coûts», rappelle Olivier de Lavalette, Directeur Général Europe du Sud de Regus. L’immobilier et les déplacements professionnels figurent ainsi en tête de liste des centres de coûts passés au crible par les directeurs financiers. «Depuis un an maintenant, les entreprises cherchent de nouvelles alternatives à leurs déplacements professionnels, jugés trop coûteux», indique Philippe Billet, Directeur Général de Polycom. «D’ailleurs, au-delà de la rationalisation des coûts, la limitation des déplacements professionnels assure aux collaborateurs concernés d’importants gains de temps». «Les cadres mettent ainsi à profit différemment le temps qu’ils auraient passé dans les transports, tout en évitant, par ailleurs, le stress lié à un déplacement», souligne Véronique Dompé-Valette, Directrice des Programmes Vidéoconférence d’Orange Business Services. Les entreprises gagnent ainsi en productivité, en réactivité et donc en compétitivité, sans oublier que la démarche s’inscrit également dans les tendances environnementales actuelles. Le secteur des transports est en effet fortement responsable de l’accroissement de la consommation d’énergie en France ainsi que d’émissions de CO2.