Finance & Gestion 414
La dématérialisation investit le voyage d’affaires
mercredi, 13 février 2013 00:00 Écrit par Anne Del PozoAujourd’hui, l’organisation, le paiement et la gestion du voyage d’affaires peuvent être dématérialisés de bout en bout. En fin de chaîne, les bénéfices pour l'entreprise sont nombreux, aussi bien en termes de rationalisation des coûts, que de respect des politiques voyage d’affaires.
Voilà près de trente ans maintenant que l’Association Internationale du Transport Aérien (IATA) a mis en place la facturation électronique entre les compagnies aériennes et les agences de voyages, lançant ainsi l’ère de la dématérialisation sur le secteur du voyage d’affaires. Quelques années plus tard, le billet papier est devenu billet sur piste électronique. Puis, au milieu des années 2000, les compagnies aériennes ont fini par imposer le système du e-billet, suivies de près, en France, par les compagnies ferroviaires.
Collecte des déchets : des solutions à la portée de toute entreprise
mercredi, 13 février 2013 00:00 Écrit par Philippe DermagneDepuis une vingtaine d’années la collecte, le traitement et la valorisation des déchets font l’objet de toutes les attentions des pouvoirs publics, Grenelle I et II venant accélérer les contraintes et les initiatives. Si du côté des ménages les bonnes pratiques s’intensifient, les TPE et les PME ont-elles conscience des enjeux et surtout, ont-elles les moyens de ce virage écologique ? Analyse.
Un premier constat vient à l’encontre de la pensée commune : les Français font de moins en moins confiance aux discours des entreprises sur le développement durable. Selon une étude réalisée en 2012 par l’Observatoire de la Communication Responsable, moins d’un Français sur trois accorde du crédit à ces discours environnementaux ; un résultat en baisse de 9 % par rapport au constat de l’année précédente. Alors que la protection de l’environnement et les produits supposés écologiquement responsables ont le vent en poupe, il est curieux de constater une telle dégradation de crédibilité. Certaines entreprises ne se lancent-elles pas trop rapidement dans une communication vantant les bienfaits d’une conception écologique de leurs produits alors que, par ailleurs, elles appartiennent à un secteur réputé particulièrement pollueur.
Un autre regard sur la compétitivité française
lundi, 17 décembre 2012 00:00 Écrit par Nos contributeursSans aucune prétention statistique, cet article propose le regard d’un Européen convaincu, manager vivant en Allemagne depuis longtemps et ayant exercé des responsabilités internationales dans des entreprises de nationalité et de taille diverses.
RSE, identifier et dialoguer avec les parties prenantes est une formidable opportunité pour toute entreprise
lundi, 17 décembre 2012 00:00 Écrit par Nos contributeursOn a pu entendre et souvent lire qu'en temps de crise, la prise en compte des enjeux du développement durable était un luxe que ne pouvait se payer que les grosses entreprises ou tout du moins, les entreprises bien portantes. Et pourtant en temps de crise, quoi de plus précieux que de conserver et améliorer la confiance de son écosystème ?
Dématérialiser les factures fournisseurs, mode d’emploi
mardi, 20 novembre 2012 00:00 Écrit par Patrick Brébion
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La dernière génération de logiciels de reconnaissance de factures automatise le versement des informations dans la comptabilité. Les offres en ligne évitent l'investissement.
Longtemps, les solutions logicielles destinées à automatiser le traitement des factures fournisseurs restaient réservées aux grandes entreprises, ou au minimum, aux PME fortunées. Les raisons ? D'abord le coût total pour la licence et la maintenance, la journée de paramétrage, l'intégration avec les logiciels de comptabilité. Mais aussi, une certaine rigidité des logiciels limitait la reconnaissance aux mêmes types de factures. Il fallait d'abord paramétrer l'outil pour reconnaître tel ou tel type de facture. Tout nouveau type de facture, et donc par exemple tout nouveau fournisseur, impliquait de paramétrer à nouveau l'outil. Pour obtenir un retour sur investissement visible, en terme de temps de traitement, investir dans ce type de solution supposait donc d'avoir un nombre limité de fournisseurs et que ces derniers envoient un nombre important de factures. Évolution technologique oblige, la dernière génération d'outils a dépassé ces limites. Reste à trouver la solution adaptée aux besoins de chaque entreprise.
Dans le contexte économique actuel, financer son entreprise par le private equity ou capital-investissement reste une alternative. Décryptage...
En 2011, les actifs gérés par le capital-investissement ont grimpé de 9 % à 3 000 milliards de dollars (source LaTribune.fr). Une croissance étonnante dans le contexte économique. A contrario, pour Thierry Dartus, directeur Transaction Advisory Services chez Grant Thornton, un cabinet d'audit et de conseil, la situation est nettement moins rose aujourd'hui : « On constate un net retrait des levées de fonds et une contraction des volumes. Le nombre d'entreprises qui bénéficient de ce type d'investissements reste, par contre, à peu près le même ». Et d'expliquer cette morosité, entre autres raisons, par les « nouvelles instructions fiscales » décidées par le gouvernement actuel. Une crainte à priori non justifiée. Le budget 2013 devrait maintenir l'exonération fiscale au taux de 50 % pour les ménages assujettis à l'ISF qui investissent dans les PME. Les raisons tiennent davantage à la frilosité des investisseurs. Un rapport* de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris dresse un état des lieux plus nuancé. Il constate que le nombre d’entreprises faisant appel au capital-investissement reste assez modeste. Il se chiffrait à 1 685 entreprises en 2010. Les rapporteurs attribuent cette relative faiblesse à la focalisation sur les entreprises innovantes. Le même rapport estime que le capital-investissement « ne couvre donc pas les besoins de la grande masse des entreprises en manque de fonds propres ».
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Quand l’aménagement de l’espace de travail est une priorité pour votre entreprise, l’impact est positif tant pour vos salariés que pour votre image de marque. Et si la performance au travail de vos collaborateurs était une question d’aménagement ?
L’aménagement de l’espace de travail en entreprise va au-delà de simples préoccupations esthétiques. Et cet aménagement de bureaux, d’espaces de réunion, de salles logistiques, de salles de courrier n’est pas non plus une question de mode. En effet, un tel choix doit s’inscrire, en principe, dans la durée et prendre en considération différents facteurs telles que l’amélioration des conditions de travail et la productivité des salariés.
Aujourd’hui, quelles sont les priorités des entreprises afin d’aménager les bureaux, les salles de réunion, les espaces logistiques…. ? À qui faire appel lors de cet aménagement ? Enfin, quels sont les bienfaits pour les salariés de la bonne organisation et l’optimisation de leur espace de travail ? Autant de questions auxquelles la rédaction de GPO Magazine répondra à travers des témoignages de sociétés spécialisées dans l’aménagement de bureaux, d’espaces et de prestataires ayant vocation à accompagner les entreprises dans leurs projets mobiliers, du conseil stratégique à l’organisation, à l’aménagement, au bien-être…
Un marché immobilier favorable aux entreprises
dimanche, 18 novembre 2012 00:00 Écrit par Anne Del PozoConsidéré comme un poste de dépenses important pour les entreprises, l’immobilier représente cependant un élément essentiel de leur stratégie. Acheter, louer, déménager ou simplement réaménager les espaces de travail ne sont donc pas des questions anodines. Les choix du dirigeant en la matière sont étroitement liés à sa stratégie de développement, à la santé financière de son entreprise ainsi qu’à sa politique sociale et environnementale.
Alors que l’offre de bureaux en location ou à l’achat est actuellement surabondante, les dirigeants d’entreprises disposent de nombreux leviers pour, d’une part, optimiser leurs dépenses en la matière et, d’autre part, améliorer l’environnement de travail de leurs collaborateurs, tout en restant en adéquation avec leur stratégie de développement. Pour autant, l’environnement économique actuel freine de nombreuses velléités de déménagements ou d’agrandissements.
Les PME se penchent sur le poste « voyages d’affaires »
dimanche, 18 novembre 2012 00:00 Écrit par Anne Del PozoAussi sensibles que les grands comptes à la maîtrise de leurs dépenses, les PME cherchent de plus en plus à rationnaliser leurs coûts liés aux déplacements professionnels. Pour les accompagner dans cette démarche, tout en répondant à leurs attentes en matière de gestion, les prestataires du voyage adaptent l’ensemble de leurs prestations au marché des PME.
Pour les PME, les déplacements professionnels sont plus que jamais nécessaires à la pérennité et au développement de leur activité. Pour autant, investir dans le voyage d’affaires reste un investissement difficile à décider au regard des difficultés financières que rencontrent actuellement les PME. « En France, 150 000 PME consomment régulièrement du « voyage professionnel », explique Bruno Mounier, directeur commercial Havas Voyages. Toutes ont des besoins assez identiques, aussi bien en matière de gestion du voyage d’affaires que de rationalisation des coûts liés à ce poste ».
Management environnemental : Des cas concrets qui donnent des idées
dimanche, 18 novembre 2012 00:00 Écrit par Philippe DermagnePour une PME, il existe finalement deux grandes façons de s’engager sur le terrain du développement durable et de la RSE. Soit engager sa propre politique, en élaborant ses actions en interne, aussi modestes soient-elles ; soit en signant des partenariats avec des sociétés spécialisées ou adhérer à des programmes gérés par des institutions ; l’un n’empêchant pas l’autre. Nous présentons ici une sélection d’exemples qui, nous l’espérons, donneront des idées à nos lecteurs dirigeants.
« Verdir » son entreprise, ce n’est pas uniquement économiser de l’énergie ! C’est engager toute action touchant tout ou partie du triptyque universellement partagé : Economie - Environnement - Social. Le Grenelle (I et II), les pouvoirs publics, les éco-organismes (Récylum pour les lampes, Ecofolio pour le papier, Eco-Emballages pour les emballages, etc.), l’Ademe (1), les associations, etc., autant d’institutions qui démontrent la puissance et le nombre des incitations (y compris fiscales) exercées auprès des particuliers ou des entreprises.