Finance 167
Comment faire des économies sur son loyer ?
mercredi, 15 janvier 2014 09:26 Écrit par Nos contributeursEspaces durablement inoccupés et donc disponibles dans des locaux ? Pourquoi payer pour des surfaces qui ne sont pas utilisées ?
Gonfler ses notes de frais : est-ce bien raisonnable ?
lundi, 16 décembre 2013 08:01 Écrit par Nos contributeursDans un premier temps, laissez-moi vous conter une petite histoire…
Vous allez le constater, les notes de frais de tout salarié qui voyage peuvent être une source de tracasseries et de tentations diverses et variées. En réalité, pour réduire ou éviter ce phénomène, il convient comme toujours d’en identifier et analyser les origines.
Intelligence économique : Le secret de l’avocat pour protéger l’entreprise.
jeudi, 21 novembre 2013 08:03 Écrit par Nos contributeursLe secret des affaires est un serpent de mer ! Comme tel il n’existe pas au sein des entreprises. On en parle, on le décrit, on l’espère mais pour ce qui est de le concrétiser c’est une autre histoire. Faire appel à un avocat qui, par définition, est tenu au secret professionnel, est à l’évidence un rouage précieux pour identifier et mettre en place les process de protection de toutes les informations sensibles.
Côté croissance externe : des pistes à explorer
mercredi, 06 novembre 2013 16:57 Écrit par Laurent LocurcioLa crise ? Quelle crise ? Si l'on en juge par les résultats de ces entreprises qui ont choisi la voie de la croissance externe pour rester compétitives, la question mérite d'être posée. Toutefois, la réussite n'est pas le fruit du hasard, mais plutôt d'une vision stratégique clairement définie et de partenaires financiers prêts à partager les objectifs visés.
Financement : la croissance externe a encore du crédit
Même si le système bancaire se montre frileux, les projets de croissance externe ont encore la cote auprès des financeurs et des dirigeants d'entreprise. Ainsi, le baromètre Ifop-KPMG-CGPME, publié en octobre et portant sur le financement et l'accès au crédit des PME, montre bien que la situation s'est tendue. D'une part, et pour la première fois depuis le lancement de ce baromètre en 2009, 70 % des dirigeants interrogés font état d'un besoin de financements et d’autre part 37 % déclarent se restreindre dans leurs investissements en raison de difficultés d'accès au crédit. Certes, 48 % des patrons de PME ont des besoins de financements liés à leur activité, en particulier pour soutenir leur trésorerie. Toutefois, 40 % des dirigeants cherchent des crédits pour investir, et parmi ceux-ci, un tiers souhaite réaliser des acquisitions dans le cadre d'une croissance externe. Une tendance en hausse de 4 points dans le baromètre, alors même que les besoins de crédits pour des investissements d'équipement (- 6 points) et d'innovation (- 7 points), dégringolent. Cependant, 76 % des dirigeants de PME font état de mesures de durcissement par les banques et d'allongement de délais d'acceptation.
SEPA*, il est plus que temps de s’en soucier !
samedi, 12 octobre 2013 14:06 Écrit par Nos contributeursL'espace unique de paiement en euros, ou SEPA, est un projet d'harmonisation des moyens de paiements en Europe. Imaginé et lancé dès 2002 par les établissements bancaires à la demande de la Commission Européenne, le projet SEPA concerne un total de 32 pays européens(1). Objectif : harmoniser et faciliter les virements, les prélèvements ainsi que les paiements par carte bancaire.
Renforcer sa trésorerie grâce aux crédits d’impôt
mardi, 15 octobre 2013 13:19 Écrit par Nos contributeursEn ces périodes de crise que nous connaissons, de nombreuses PME, faute de temps ou d'accompagnement qualifié, ne recourent pas aux crédits d'impôt dont elles pourraient bénéficier. Cela est dommageable, dans la mesure où un crédit d'impôt est une réduction d'impôt sur le revenu ou sur les sociétés, pouvant donner lieu à un remboursement, même si la société est non imposable. Explications.
À partir du 1er février 2014, l’Europe impose à toutes les entreprises la norme Sepa pour les prélèvements et virements. Une contrainte à prendre rapidement en compte pour éviter tout risque. État des lieux.
Le 1er février prochain, le Sepa - Single Euro Payments Area ou espace unique de paiement en euros - deviendra une obligation pour tous. Les prélèvements et les virements bancaires devront respecter les spécifications de cette norme européenne. Le Sepa a pour objet global de créer une nouvelle gamme de moyens de paiement communs incluant les mêmes conditions dans l'ensemble de la zone euro. « Il s’agit d’une uniformisation des moyens de paiement en Europe », résume Joël Quéré, directeur business développement d’Athic. Selon la Caisse des Dépôts et Consignations, grâce à cette norme, la zone euro devient une zone domestique de paiement. Le Sepa se concrétise par une nouvelle identification bancaire, par une normalisation des dates de valeur à J+1 après réception de fonds pour les tous les mouvements internes à l’Europe et par des modifications dans les informations accompagnant les virements et prélèvements. Il s’agit notamment d’une extension de zones de libellés pour décrire, par exemple, les motifs de virement, et faciliter l'imputation. « Des gains en termes de lisibilité », illustre une banquière de la Caisse des Dépôts.
Les clés pour optimiser les coûts du traitement des factures
lundi, 30 septembre 2013 08:48 Écrit par Anne Del Pozo
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En émission ou en réception, le traitement d’une facture a un coût. Sa dématérialisation est donc un enjeu de taille pour des raisons économiques mais également d’optimisation des processus de la chaîne order-to-cash.
La dématérialisation des factures est devenue un élément important de la stratégie de réduction des coûts des entreprises.
Au-delà de 50 factures par jour, en émission comme en réception, la dématérialisation présente en effet de nombreux avantages financiers. Arthur D.Little (cf. tableaux ci contre), s’est ainsi penché sur la question du coût des différentes étapes du traitement d'une facture reçue et émise. Lors de son étude, il établit la différence entre une facture papier et une facture dématérialisée. Il en conclut que le coût de traitement d'une facture dématérialisée est au moins divisé par trois.
Transfert des déficits subis par un holding sans activité économique*
lundi, 15 juillet 2013 00:00 Écrit par Nos contributeurs ![]() |
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Tous les entrepreneurs n'ont pas bâti un organigramme qui place un holding sans activité économique au cœur d'un dispositif. Mais lorsque c'est le cas, attention ! Les transferts de déficit supposent un agrément de l'administration fiscale.
Conformément à l'article 209 II du Code Général des Impôts, en cas de fusion ou d'opération assimilée placée sous le régime de l'article 210A du même code, les déficits non encore déduits par la société absorbée ou transférée peuvent être transmis, après agrément de l'administration fiscale, à la société absorbante ou bénéficiaire des apports (le holding).
Que ce soit pour des difficultés passagères ou structurelles ou, à l'inverse, pour financer la croissance, toute entreprise a besoin, à un moment ou à un autre, de disposer d'un découvert. Exposons ici les grands principes* à respecter pour négocier au mieux cette « facilité » avec son banquier.