Finance 124
Prévention du risque clients : les 5 conseils à suivre
lundi, 15 avril 2013 00:00 Écrit par Nos contributeursL’année 2013 s’annonce terrible, voire catastrophique pour les entreprises : 65.000 dépôts de bilan sont prévisibles ! Tous les moyens doivent être utilisés pour amortir la dépression économique.
Partant du principe qu’il « vaut mieux aller chercher l’argent chez ses clients que chez son banquier, car il est gratuit », une bonne préparation pour 2013 suppose entre autres de faire un bilan de ses pratiques de gestion prévisionnelle du poste clients, en axant ses actions et ses prises de décisions sur la prévention du risque.
Mais comment s’y prendre ?
L’État cherchant de l’argent dans toutes les niches possibles, la fiscalité automobile, tant pour le particulier que pour les entreprises, ne pouvait hélas échapper à des « ajustements », augmentations ou plafonnements divers et variés. En matière d’achats automobiles, les décideurs ont adopté depuis plusieurs années les bonnes pratiques. La finesse des dernières évolutions fiscales imposent cependant une vigilance accrue et constante.
Certaines mesures prises concernent l’ensemble des utilisateurs particuliers et entreprises (grille bonus-malus), d’autres ne concernent que les entreprises possédant ou louant des véhicules. C’est évidemment le cas de la Taxe sur les Véhicules d’Entreprise (TVS) et des Indemnités kilométriques (IK) qui viennent d’être plafonnées.
Pour une perception élargie de la problématique au plan macro-économique, il est intéressant de faire quelques zooms sur la situation globale des immatriculations et du parc français de véhicules.
Quelles sources de financement pour les entreprises ?
jeudi, 11 avril 2013 14:47 Écrit par Anne Del PozoEn création ou en développement, les entreprises disposent de nombreuses ressources de financement, toutes différentes selon la taille, l'activité, le marché et la stratégie de développement de l'entreprise.
En effet, quel que soit son projet de création ou de développement, une entreprise dispose d’une diversité de sources de financement pour l’accompagner. Pour faciliter la recherche de financement, il convient au préalable de se pencher sur son projet et d’identifier ce qu’il faut financer.
Dans le contexte actuel, les entreprises doivent régulièrement affronter des difficultés de trésorerie. Il convient donc d'adopter une gestion prudente en réduisant, au mieux, les contraintes des marchés. Voici un aperçu des bonnes pratiques pour optimiser ses relations bancaires.
Pour qu'un chef d'entreprise sache négocier une relation réussie avec son banquier, il doit bien le connaître et savoir apprécier les particularités de son métier. C'est le message qu'ont délivré Olivier de Portzamparc de la Banque Tarneaud, Pascal Ferron et Michel Gire, vice-présidents de Baker Tilly France, lors d'un grand colloque organisé en octobre 2012.
MiFID II* : nouvelle avancée pour la réglementation des marchés financiers de l'Union Européenne
vendredi, 15 février 2013 00:00 Écrit par Nos contributeursOu jusqu’où iront-ils pour la protection de l’investisseur ?
Les gestionnaires de projets des banques doivent se familiariser dès à présent avec le contenu de la révision des règles de la Directive des marchés d’instruments financiers (MiFID). En vigueur depuis plus de cinq ans, elle est en la matière la pierre angulaire de l'Union Européenne. Elle a introduit à l’époque une meilleure concurrence dans le paysage bancaire européen et a fourni un «passeport» aux entreprises d'investissement pour opérer dans toute l'Europe sur la base d'une autorisation dans leur État membre d'origine. MiFID a également significativement contribué au développement de différentes mesures de protection des investisseurs.
Vous avez un comptable unique ! Est-ce bien raisonnable ?
vendredi, 15 février 2013 00:00 Écrit par Nos contributeursNombreux sont les dirigeants de TPE/PME qui s’appuient sur une organisation administrative et financière reposant sur un comptable « unique ». Cette architecture organisationnelle qui semble attractive au plan budgétaire est parfois (voire souvent) insuffisante et source de risques significatifs.
Grande est la tentation pour le dirigeant d’estimer que pour un salaire - généralement assez bas - il emploie un collaborateur qui a toutes les qualités : haut niveau en comptabilité pour traiter de façon sécurisée et conforme les opérations, agilité hors du commun pour faire le travail de facturation (préparation, impression et envoi des factures) sans oublier la saisie qui en découle, capacités « affutées » pour sortir des tableaux de bord pertinents dans les délais et sans erreur, et bien entendu grand spécialiste de la paie… !
Flotte automobile : les clés d'une gestion efficace !
mercredi, 13 février 2013 00:00 Écrit par Anne Del Pozo
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Résolument engagées dans la réduction de leurs dépenses de fonctionnement, les entreprises se penchent actuellement sur les coûts liés à leur flotte automobile. Leur objectif : mieux les identifier pour ensuite en maîtriser l’augmentation, inévitable sur ce poste.
À périmètre constant, les coûts de gestion d’une flotte automobile s’accroissent chaque année, portés par l’augmentation permanente du prix des matières premières et des véhicules. Pour autant, la flotte automobile reste, pour de nombreuses entreprises, indispensable à l’exercice de leur activité. « Or, actuellement, les PME ont encore trop souvent recours à l’indemnisation kilométrique pour les déplacements de leurs collaborateurs, explique Hervé Trosset, PDG d’Elat. Ce choix n’offre aucune visibilité sur les dépenses engagées et rend donc difficile toute maîtrise des coûts. À l’inverse, une flotte automobile adaptée à la taille de l’entreprise et à son activité, contribue à une meilleure gestion des coûts liés aux déplacements professionnels ». À cet effet, les entreprises doivent mettre en place des Car Policy et mener des réflexions approfondies sur le Coût Total de Possession des véhicules de leur parc.
Céder ou reprendre une entreprise n’est pas une démarche facile. En effet, avant de vendre ou d’acheter une entreprise, il faut tenter d’en déterminer sa valeur, négocier ensuite avec son interlocuteur. Et autant que possible, minimiser les risques d’erreurs… Mais il faut être conscient du fait qu’il n’existe pas une valeur unique de l’entreprise.
Lors d’une cession / reprise d’entreprise, l’évaluation de cette dernière est un préalable à toute négociation portant sur le prix et les modalités de l’opération. Mais pour réussir la transmission du côté cédant et la reprise, côté acheteur, il faut que les deux parties en présence trouvent leur compte dans l’opération. Pour le cédant, il s’agira de la juste rémunération de tout le travail accompli et du capital investi au cours de longues années ; et souvent, l’espoir de la pérennité de l’entreprise cédée. Pour l’acheteur, le prix ne devra pas obérer le pronostic de succès de l’opération et la perspective de faire aussi bien, voire mieux que le cédant en terme de développement de l’entreprise.
Un autre regard sur la compétitivité française
lundi, 17 décembre 2012 00:00 Écrit par Nos contributeursSans aucune prétention statistique, cet article propose le regard d’un Européen convaincu, manager vivant en Allemagne depuis longtemps et ayant exercé des responsabilités internationales dans des entreprises de nationalité et de taille diverses.
Dématérialiser les factures fournisseurs, mode d’emploi
mardi, 20 novembre 2012 00:00 Écrit par Patrick Brébion![]() |
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La dernière génération de logiciels de reconnaissance de factures automatise le versement des informations dans la comptabilité. Les offres en ligne évitent l'investissement.
Longtemps, les solutions logicielles destinées à automatiser le traitement des factures fournisseurs restaient réservées aux grandes entreprises, ou au minimum, aux PME fortunées. Les raisons ? D'abord le coût total pour la licence et la maintenance, la journée de paramétrage, l'intégration avec les logiciels de comptabilité. Mais aussi, une certaine rigidité des logiciels limitait la reconnaissance aux mêmes types de factures. Il fallait d'abord paramétrer l'outil pour reconnaître tel ou tel type de facture. Tout nouveau type de facture, et donc par exemple tout nouveau fournisseur, impliquait de paramétrer à nouveau l'outil. Pour obtenir un retour sur investissement visible, en terme de temps de traitement, investir dans ce type de solution supposait donc d'avoir un nombre limité de fournisseurs et que ces derniers envoient un nombre important de factures. Évolution technologique oblige, la dernière génération d'outils a dépassé ces limites. Reste à trouver la solution adaptée aux besoins de chaque entreprise.