Finance 171
Dématérialiser les factures fournisseurs, mode d’emploi
mardi, 20 novembre 2012 00:00 Écrit par Patrick Brébion
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La dernière génération de logiciels de reconnaissance de factures automatise le versement des informations dans la comptabilité. Les offres en ligne évitent l'investissement.
Longtemps, les solutions logicielles destinées à automatiser le traitement des factures fournisseurs restaient réservées aux grandes entreprises, ou au minimum, aux PME fortunées. Les raisons ? D'abord le coût total pour la licence et la maintenance, la journée de paramétrage, l'intégration avec les logiciels de comptabilité. Mais aussi, une certaine rigidité des logiciels limitait la reconnaissance aux mêmes types de factures. Il fallait d'abord paramétrer l'outil pour reconnaître tel ou tel type de facture. Tout nouveau type de facture, et donc par exemple tout nouveau fournisseur, impliquait de paramétrer à nouveau l'outil. Pour obtenir un retour sur investissement visible, en terme de temps de traitement, investir dans ce type de solution supposait donc d'avoir un nombre limité de fournisseurs et que ces derniers envoient un nombre important de factures. Évolution technologique oblige, la dernière génération d'outils a dépassé ces limites. Reste à trouver la solution adaptée aux besoins de chaque entreprise.
Dans le contexte économique actuel, financer son entreprise par le private equity ou capital-investissement reste une alternative. Décryptage...
En 2011, les actifs gérés par le capital-investissement ont grimpé de 9 % à 3 000 milliards de dollars (source LaTribune.fr). Une croissance étonnante dans le contexte économique. A contrario, pour Thierry Dartus, directeur Transaction Advisory Services chez Grant Thornton, un cabinet d'audit et de conseil, la situation est nettement moins rose aujourd'hui : « On constate un net retrait des levées de fonds et une contraction des volumes. Le nombre d'entreprises qui bénéficient de ce type d'investissements reste, par contre, à peu près le même ». Et d'expliquer cette morosité, entre autres raisons, par les « nouvelles instructions fiscales » décidées par le gouvernement actuel. Une crainte à priori non justifiée. Le budget 2013 devrait maintenir l'exonération fiscale au taux de 50 % pour les ménages assujettis à l'ISF qui investissent dans les PME. Les raisons tiennent davantage à la frilosité des investisseurs. Un rapport* de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris dresse un état des lieux plus nuancé. Il constate que le nombre d’entreprises faisant appel au capital-investissement reste assez modeste. Il se chiffrait à 1 685 entreprises en 2010. Les rapporteurs attribuent cette relative faiblesse à la focalisation sur les entreprises innovantes. Le même rapport estime que le capital-investissement « ne couvre donc pas les besoins de la grande masse des entreprises en manque de fonds propres ».
Les délais de paiement s'allongent : les effets pervers de la loi et des crises successives
jeudi, 15 novembre 2012 00:00 Écrit par Nos contributeursContexte de crise et recentrage sur son cœur de métier obligent, l’externalisation de la Direction Financière est désormais une authentique option pour l’optimisation de la gestion de toute PME ou TPE. Indépendants ou organisés en réseau, nombre de professionnels apparaissent sur ce nouveau métier. Zoom sur les atouts de cette solution.
PME et TPE - Externalisation de sa Direction Financière, une solution qui monte
lundi, 15 octobre 2012 06:32 Écrit par Nos contributeursContexte de crise et recentrage sur son cœur de métier obligent, l’externalisation de la Direction Financière est désormais une authentique option pour l’optimisation de la gestion de toute PME ou TPE. Indépendants ou organisés en réseau, nombre de professionnels apparaissent sur ce nouveau métier. Zoom sur les atouts de cette solution.
Face aux risques financiers, quelles solutions ?
mercredi, 05 septembre 2012 00:00 Écrit par Anne Del PozoAlors que la conjoncture économique et financière reste difficile, les risques auxquels les entreprises sont confrontées tendent à se multiplier. Prévoir et gérer ses risques suppose de s’appuyer sur des spécialistes métiers et de mettre en place des procédures appropriées.
Le développement des entreprises, que ce soit en France mais aussi et surtout à l’international, peut sous-tendre de nombreux risques. Ainsi, l’accroissement des échanges internationaux, de la volatilité des marchés financiers ou encore du prix des matières premières sont autant d’enjeux nécessitant que les entreprises renforcent leur gestion du risque de change et du risque de taux.
La prévention des risques est l’affaire de tous ceux qui travaillent au sein de l’entreprise. Encore faut-il identifier ces risques et savoir pourquoi et comment les gérer. La rédaction de GPO Magazine vous invite à les décrypter à travers un questionnement sur les risques présents dans l’entreprise, la nécessaire prévention et le développement d’un système de protection au sein de la structure.
Cumul possible de la clause pénale, des intérêts de retard et des pénalités de retard
lundi, 07 mai 2012 09:12 Écrit par Nos contributeurs1. La clause pénale
Elle est une disposition contractuelle, conclue préalablement par les parties à l’acte de vente (dans les Conditions Générales de ventes), qui sanctionne la partie défaillante si elle venait à ne pas honorer son engagement financier, de payer à bonne date ; ce défaillant serait alors tenu de payer à son cocontractant « une somme à titre de dommages-intérêts » qui ne peut être ni réduite ni majorée, sauf par le juge et pour autant qu’elle soit « manifestement excessive ou dérisoire » .
Trop de juridictions consulaires s’autorisent (« pouvoir souverain et modérateur » du juge) à réduire régulièrement et systématiquement le taux sous prétexte d’équité et afin de ne pas alourdir les condamnations financières du débiteur défaillant.
C’est la réparation d’un préjudice subi par le créancier pour ne pas avoir encaissé, en temps et en heure, le montant de sa facture.
Les entreprises se mobilisent autour de la gestion du cash
lundi, 07 mai 2012 09:12 Écrit par Anne Del PozoConjoncture économique, crises financières ou encore nouvelles réglementations incitent actuellement les entreprises à optimiser leur gestion du cash management. Une démarche dans laquelle leurs partenaires bancaires comme les éditeurs de solutions de cash management entendent les accompagner au travers de l’évolution de leurs offres et prestations.
Les réglementations SEPA, Bale III ou encore Solvancy II plantent le contexte des enjeux actuels des directions administratives et financières et des trésoriers. Des enjeux d’autant plus importants que les entreprises tendent à se développer à l’international, renforçant la nécessité de mettre en œuvre un suivi encore plus rigoureux du pilotage de leur trésorerie.
Pour financer leurs besoins en fonds de roulement ou tout simplement préserver leurs capacités de crédits auprès des organismes bancaires, les entreprises disposent de différents leviers à activer en fonction de leurs profils, de leur activités, de leurs tailles ou encore de leurs projets de développement.
Alors que les banques tendent à resserrer l’accès au crédit et durcissent leurs conditions de financements, les entreprises disposent de différents leviers alternatifs pour améliorer leurs besoins en fonds de roulement (BFR) et préserver leur trésorerie. Les principaux constituants du besoin en fonds de roulement d’une entreprise sont le poste clients, les stocks et le poste fournisseurs. « Pour optimiser leur BFR, les entreprises ont en effet la possibilité d’activer un ou plusieurs des trois leviers qui le constituent : le poste client, les stocks et le poste fournisseurs », souligne Patrice Coulon, directeur général délégué de GE Capital.
Depuis son introduction en France dans les années 60, le concept de la Location Longue Durée a largement évolué. À l'époque simple mise à disposition d'un véhicule, aujourd'hui les mots d'ordre sont conseils, services et proximité.