La rédaction
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Usage d’Internet : L’internaute a pris le pouvoir !
En 2012, Internet a vu l’explosion des blogs, forums, wiki, réseaux sociaux et de la vidéo. Les internautes partagent leurs savoir, expériences, découvertes… parfois en allant trop loin au regard des derniers cas de jurisprudence Facebook ou Twitter*.
Protection des salariés Complémentaire santé : ce qui va changer
D'importantes modifications sont programmées en matière de garanties de protection sociale complémentaire, en particulier dans le cadre de la loi de sécurisation de l'emploi du 14 juin 2013.
Actuellement, 3,7 millions de salariés en France ne bénéficient pas de mutuelle d'entreprise. Les nouveaux textes législatifs prévoient, qu'à compter du 1er janvier 2016, tous les salariés, sauf exception, devront obligatoirement être couverts par une complémentaire santé.
En conséquence, les entreprises devront à cette date proposer une complémentaire santé à leurs salariés, et en assurer au moins la moitié du financement. Cette disposition vise essentiellement les salariés des petites et moyennes entreprises dans lesquelles il n’existe pas aujourd’hui de couverture collective. Pour y parvenir, il faudra passer d'abord par un accord de branche ou d'entreprise ou par une décision unilatérale de l'employeur, en fonction des secteurs d'activité et de la taille de l'entreprise.
Propriété intellectuelle - La loi n° 2014-315 du 11 mars 2014 renforce la lutte contre la contrefaçon
La contrefaçon représente 4,6 millions d’articles saisis par la Douane en 2012 (Source : Bilan de la Douane 2012), et devient un véritable fléau qui revêt aujourd’hui une multitude de formes affectant toutes les entreprises, dans tous les secteurs d’activité.
Propriété industrielle - 2012 : une année record pour l'Office Européen des Brevets (OEB)
Les sociétés françaises bravent les incertitudes économiques et déposent davantage de demandes de brevet.
La capacité d'innovation de l'Europe ne cesse de progresser : le nombre de demandes de brevet déposées auprès de l'OEB en provenance des 38 États membres de l'Organisation européenne des brevets a dépassé le niveau record de 2008 et a atteint un nouveau sommet en 2012. Malgré les incertitudes économiques, les demandes de brevet provenant d'entreprises françaises ont poursuivi leur progression l'année dernière. Avec 12 159 dépôts auprès de l'OEB, soit 2,2 % de plus qu'en 2011, la France se classe désormais 6e au niveau mondial et, avec une part de 12,9 % du total, est le deuxième pays le plus actif en Europe. « Les demandes de brevet d'aujourd'hui sont les innovations de demain. Les résultats confirment que l'Europe n'est pas seulement une région de premier choix en matière de recherche et développement, mais qu'elle est aussi perçue comme un lieu sûr pour l'innovation par les entreprises exportatrices et créatrices de technologie », a précisé le Président de l'OEB, Benoît Battistelli, lors de la présentation des résultats 2012 de l'Organisation à Bruxelles. Au total, l'OEB a enregistré 257 744 dépôts, soit une hausse de 5,2 % par rapport à 2011 (244 934), ce qui constitue un nouveau record. Les demandes en provenance d'Europe ont progressé de 2,3 %. La plus forte croissance est venue de Chine (+11,1 %), de Corée (+9,3 %) et du Japon (+9,1 %).
Les entreprises européennes se sont classées parmi les premières dans huit des dix secteurs technologiques les plus importants. Elles ont été particulièrement présentes dans le domaine du transport (principalement l'automobile et l'aéronautique) où 60 % des demandes proviennent des États membres de l'OEB.
Les déposants français ont été particulièrement actifs dans le secteur du transport, avec six entreprises parmi les 20 premières : EADS (1re), Peugeot (5e), Michelin (8e), Valeo (9e), Renault (15e) et Safran (17e). Les entreprises françaises ont également renforcé leur présence dans le secteur de la communication numérique (8 % des demandes) et le domaine des machines électriques, des appareils et de l'énergie (6 %). C.P.
Procédures collectives - Entreprises en difficulté : le point sur la nouvelle réforme du 1er juillet 2014
Depuis le 1er juillet 2014, la nouvelle réforme de la prévention des difficultés des entreprises et des procédures collectives est entrée en vigueur. Cependant, elle n’est pas applicable aux procédures déjà en cours.
Pratique du télétravail : l’engouement des salariés français
Près de 60 % des salariés français souhaiteraient aujourd’hui exercer leur activité professionnelle par le télétravail. L’arrivée du numérique a révolutionné la vie des entreprises et change aujourd’hui la conception même du travail.
Pour près d’un Français sur deux, le salaire n’est plus un sujet tabou
En France, la question du salaire reste délicate à aborder car souvent considérée comme relevant de la vie privée. Pourtant, les mentalités évoluent.
Origine des produits - Afnor Certification devient opérateur pour le label Origine France Garantie
Fort de l’expérience de la certification de produits NF, Afnor Certification mobilise aujourd’hui ses compétences au service du Label Origine France Garantie.
Observatoire - Les Résultats de l’Observatoire Banque Palatine, banque des PME et des ETI du groupe BPCE
Une formation initiale à réformer
77 % des dirigeants de PME-ETI jugent qu’il est urgent de réformer la formation initiale en France. Seulement 40 % estiment qu’elle fonctionne bien. Elle leur permet de recruter des personnes qualifiées pour seulement 38 % d’entre eux.
Les patrons recherchent en priorité des diplômés de niveau bac +2 (BTS, IUT) à 36 % ou de niveau bac (27 %). Les profils les plus recherchés sont des techniciens (54 %), des ouvriers (52 %) ou des commerciaux (48 %).
Un Crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE) qui peine toujours à convaincre
50 % des chefs d’entreprises pensent que le CICE va contribuer à la performance des entreprises. Cette mesure convainc à peine plus depuis sa mise en place (+2 pts depuis décembre 2012).
La majorité des dirigeants demeure sceptique sur les bénéfices de ce crédit d’impôt. Pour 49 %, il constitue un gain de compétitivité. Ils sont encore moins nombreux à y voir un facteur de croissance (36 %) ou de création d’emplois (30 %).
Prévisions d’activité/chiffre d’affaires
64 % des dirigeants sont en ligne avec les objectifs fixés en début d’année. La part de ceux qui prévoient une baisse de leur chiffre d’affaires se maintient néanmoins à un niveau élevé (22 %).
Niveaux de confiance des dirigeants
La confiance des dirigeants de PME-ETI pour leur propre activité progresse doucement mais de manière continue depuis le début 2013, pour atteindre 69 % en mai, soit son plus haut niveau depuis octobre 2012.
La confiance en l’économie française, en chute importante dans la dernière vague, repart légèrement à la hausse, mais se maintient à un niveau très bas (14 %).Pour l’économie mondiale, elle reste stable à 34 %.
Priorités stratégiques
Donnée prioritaire par 87 % des décideurs, la stratégie commerciale reste largement en tête des éléments à mettre en œuvre pour améliorer la performance de l’entreprise.
Le déploiement sur de nouveaux marchés (+13 pts) et l’international(+6 pts) progressent au sein des stratégies des PME et ETI françaises.
Emploi : une situation toujours préoccupante
Le nombre de PME-ETI prévoyant d’augmenter leurs effectifs semble repartir à la hausse (11 %, +4 pts), alors qu’il diminuait depuis le début de l’année. Sur les 6 prochains mois, 74 % pensent maintenir leurs effectifs. Néanmoins, la part d’entreprises qui envisagent de diminuer le nombre de salariés demeure importante (15 %).
"Observatoire PME/ETI Opinion Way/Banque Palatine pour i>TELE-Challenges
Étude quantitative réalisée auprès d'un échantillon de 305 dirigeants d'entreprises (PDG, DG, DAF, ...) dont le chiffre d'affaires est compris entre 15 et 500 millions d'euros, entre le 18 et 26 avril 2013. La représentativité de l'échantillon a été assurée par un redressement en termes de secteurs d'activité et de chiffres d'affaires. Mode d'interrogation : L'échantillon a été interrogé par téléphone sur système CATI.
Moyens de paiement : Télépaiement
Une nouvelle application smartphone, destinée à enrichir l’offre de moyens de paiement dématérialisés est désormais disponible.