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La rédaction

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Le service Rédaction a pour mission de sélectionner et de publier chaque jour des contenus pertinents pour nos lecteurs internautes à partir d’une veille approfondie des communiqués de presse pour alimenter les rubriques actualité économiques, actualités d’entreprises, études ou encore actualités sectorielles. Pour échanger avec notre service Rédaction web et nous faire part de vos actualités, contactez-nous sur redaction@gpomag.fr


Selon l’étude réalisée en fin d’année, auprès de 200 responsables de grandes entreprises de 50 à 2 000 salariés et plus, par Denjean & Associés, cabinet d’audit et d’expertise comptable, l’impact des mesures Hollande serait de nature à décourager l’entrepreneuriat.

Si 58,1 % des dirigeants estiment que les mesures du gouvernement ne sont pas justifiées dans le contexte économique actuel, 69,1 % des dirigeants les jugent inquiétantes. Pour 71,5 % des dirigeants, ces mesures sont même de nature à décourager l'entrepreneuriat. La politique menée est jugée éloignée des intérêts de l'entreprise car elle conduit à se polariser sur les moyens permettant d'éviter la rigueur de ces mesures.


Les impacts des mesures sur la fiscalité des entreprises

Pour les dirigeants d'entreprises, les conséquences des mesures Hollande vont pénaliser à la fois les rémunérations des employés et celles des cadres dirigeants, modifier les intentions d'embauche, voire amplifier les restructurations envisagées et impac- ter les structures capitalistiques. Par exemple, la suppression des heures supplémentaires aurait pour consé- quences de modifier les politiques de rémunération (28,1 %), de mener à une révision des accords d'intéressements (12,3 %) et à une compensation par une augmentation des avantages en nature (5,2 %). Par contre, la ré- duction des intentions d'embauche ne concernerait que 18,4 % des dirigeants interrogés.

L'alourdissement de la fiscalité du travail pourrait conduire environ 10 % des entreprises à modifier la gestion de leurs cadres de direction. « Même s’il ne faut pas sous-estimer les risques de départs engendrés par l’alourdissement de la fiscalité sur le travail, notamment dans les plus petites entreprises, très peu de grands dirigeants sont enclins à s’expatrier : les intérêts du groupe et de l’entreprise qu’ils dirigent priment encore et toujours sur les notions de fiscalité personnelle. Par ailleurs, l’entreprise internationale française a depuis longtemps décliné ses organigrammes de direction dans toutes les zones géographiques de la planète », observe Thierry Denjean.

La taxation du capital au même niveau que le coût du travail pourrait inciter environ 25 % des entrepreneurs à modifier leur politique de rémunération et à faire évoluer leur structure capitalistique et de management. Les évolutions envisagées sont les suivantes : modifier leur politique de rémunération (32 %) et leur politique de distribution des dividendes (28,4 %), réorganiser leur structure capitalistique (24,6 %), répartir différemment leur politique de production au niveau mondial (16,6 %), et enfin, délocaliser leur siège social (8,2 %).

Ils sont 38,4 % à estimer que l'emploi serait la grande victime du niveau actuel du coût du travail. Le niveau de taxation conduirait à la délocalisation (externalisation) de certains départements (38,4 %), au changement de positionnement produit (20,4 %) qui peut avoir également des effets en matière d'emploi et de localisation de production, voire d'abandon de l'activité en France (17,7 %). Enfin, 8 % des dirigeants entameraient une démarche de cession de leur outil de production.


Quelle politique fiscale ?

La réduction du coût du travail passe, pour les dirigeants, principalement par un transfert sur la TVA (53,8 %) alors que 34,9 % préfèreraient un mix TVA/CSG. Les partisans de la CSG seule sont très minoritaires (11,3 %). Le pays modèle en la matière est incontestablement l'Allemagne (56,1 %). Avec la Grande Bretagne et la Belgique citées en exemples, le pourcentage dépasse les 75 %.

La mise en place du crédit d'impôt pour la compétitivité et l’emploi est approuvée par 66,7 % des dirigeants et 70,4 % estiment que c'est une bonne mesure.


La fiscalité des dirigeants

Les nouvelles règles en matière d'ISF devraient avoir pour conséquences une délocalisation de certains actionnaires (30,5 %), de contraindre certains entrepreneurs à s'expatrier lors de la cession de leur entreprise (14 %) et, dans une moindre mesure, à demander une naturalisation ailleurs (6,3 %). Déjà, environ 5 % des dirigeants ont un projet d'investissement dans un autre pays. Pour faire face à la complexité des mesures fiscales, ils ont recours principalement aux conseils de leur entreprise (56,9 %) et de leur banque (53,3 %). C.P.

Méthodologie et panel : 200 directeurs de moyennes et grandes entreprises interrogés

• La population interrogée : les dirigeants (directeur général, président, gérant) d'entreprises de 50 à 2 000 salariés et plus.

• L'enquête terrain s'est déroulée du 14 novembre 2012 au 17 janvier 2013.

• 200 questionnaires, élaborés par Denjean & Associés, ont été réalisés.

• 21 questions ont été posées : 14 relevant de la fiscalité des entreprises, 7 relevant de la fiscalité personnelle et2 d’ordre général.

 

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Le commerce sur Internet en direction des particuliers a passé la barre des 50 milliards d’euros. De la réservation de chambres d’hôtels à l’achat de livres ou d’ordinateurs en ligne, Internet a révolutionné les relations commerciales. Face aux portails de vente en ligne des grands distributeurs, les industriels développent eux aussi leurs propres sites d’e-commerce.


 

Selon une étude* récemment menée par un cabinet d’étude et de conseil en stratégie, à la demande d’IntraLinks, 92 % des entreprises sont généralement préoccupées par un manque de contrôle sur leurs informations confidentielles et sensibles. Cette problématique s’explique par le décalage qui existe entre les employés, ayant besoin d’outils efficaces pour gérer la collaboration inter-entreprises, et les dirigeants responsables de la sécurité des données de l’entreprise et de la mise en application des politiques IT et de gouvernance. Ce décalage a conduit 55 % des entreprises interrogées à recruter un responsable de la sécurité des systèmes d’information (RSSI), chargé de gérer ces risques. Par ailleurs, plus de la moitié des personnes interrogées prévoient de mettre à niveau leurs solutions de collaboration d’ici les 18 prochains mois. C.P.

 

* Les résultats sont basés sur les réponses données par 652 responsables IT et commerciaux et compilées de juin à juillet 2012 (DSI, cadres dirigeants, SVP, VP, directeurs et cadres intermédiaires). 80 % des personnes interrogées lors de l’étude travaillaient dans des entreprises de 5 000 salariés et plus.

 

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La question peut se poser au moment où une étude indique que 74 % des Français affirment que les magasins traditionnels sont amenés à évoluer et 23 % se disent prêts à abandonner le magasin traditionnel dans l’avenir. L'Atelier BNP Paribas, cellule de veille technologique de BNP Paribas, et l’Ifop, ont donné la parole aux Français afin de mieux saisir leur regard et leurs attentes sur l’évolution de leurs magasins.

Cette enquête a été réalisée auprès d’un échantillon de 1 011 personnes représentatif de la population française, âgées de 18 ans et plus, du 27 au 29 novembre 2012. Elle met en avant la percée d'Internet dans les habitudes de consommation puisque plus d’un Français sur deux (51 %) utilise Internet et/ou son téléphone mobile pour effectuer des achats classiques du quotidien.

Aux yeux de 74 % des Français, l’évolution des magasins traditionnels semble inéluctable. Parmi eux, 37 % considèrent que les points de vente deviendront des lieux dédiés à la livraison des produits achetés en ligne, et 34 % imaginent des espaces consacrés à l’information et à la démonstration. Près d’un quart des Français (23 %) affirment que l’on pourra se passer de l’achat en magasin traditionnel dans l’avenir. Toutefois, les magasins phy- siques peuvent jouer la carte de la nouveauté et du service. La valeur pratique des innovations en magasin est reconnue des Français : 65 % de ceux qui ont acheté des produits dans des enseignes proposant des innova- tions affirment qu’elles ont facilité leur parcours d’achat.

Outre leur praticité, les innovations en magasin sont un critère de sélection pour les Français : 53 % d’entre eux déclarent que leur présence les incite à fréquenter une enseigne plutôt qu’une autre.

Enfin, la relation client demeure un critère décisif pour les consommateurs. En effet, 50 % d’entre eux en attendent principalement un gain d’informations relatives aux produits. L.L.

 

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Si l’on en croit le 3e baromètre Generali-CSA, la moitié des dirigeants français sont convaincus que la mise en place d’actions « durables » favorise la compétitivité. Malgré tout, la responsabilité sociale et environ­nementale dépasse rarement le cap des bonnes intentions et n’est souvent abordée que sous l’angle des opportunités perçues.


C&A innove par une première mondiale : un like Facebook sur une pub papier. L’innovation ambitionne non seulement de remplacer le QR code, mais elle permet également de consolider la relation entre l’information sur papier et les services online en temps réel. Voilà maintenant qu’il devient possible de liker sur Facebook directement dans une pub print.


 

Depuis le 1er octobre 2012, toutes les entreprises soumises à l’impôt sur les sociétés, quel que soit leur chiffre d’affaires, doivent télédéclarer leur TVA. D’ici à octobre 2014, l’ensemble des entreprises devront télédéclarer et télérégler leur TVA. À partir de ce postulat, Sage a lancé son service de télédéclaration et de télérèglement de la TVA destiné aux petites entreprises (commercialisé à partir de 5€/mois). V.B.

 

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À l’heure de la transposition en droit français de la Directive européenne 2010/45/UE, dont l’objectif est le développement de l’usage de la facture électronique, Sage a interrogé 1 144 PME clientes en juin 2012 dans le cadre de son premier baro­mètre annuel « les PME et la facture électronique ». Le champ d’obser­vation présenté ici est celui de l’activité BtoB1.

Un marché de la facture électronique encore naissant
En termes de volume de factures émises (électroniques ou papier), les PME envoient pour 35 % d’entre elles de 1000 à 5000 factures par an (et 30 % en envoient entre 100 et 1000). Le volume de factures reçues est légè­rement supérieur : 41 % des PME déclarent recevoir de 100 à 1000 factures par an, 37 % indiquent traiter un volume de 1000 à 5000 factures.
28 % d’entre elles déclarent déma­térialiser leurs factures ce qui, en l’absence de toute incitation réglementaire, souligne l’intérêt des PME pour ce nouveau mode d’échanges qui
simplifie la relation commerciale.

Des bénéfices et des contraintes clairement identifiés par les PME
Les raisons de cette tendance à la dématérialisation sont de deux ordres :
• Des bénéfices en termes de simplicité (consultation, traitement, archivage), traçabilité (suivi de l’envoi, accusé de réception) et gains de productivité pour 48 % des PME ;
• Une réponse à une contrainte imposée par les clients donneurs d’ordres pour 43 % d’entre elles.

Des technologies et des modes de transmission encore très rudimentaires
Le mode d'envoi des factures élec­troniques le plus utilisé par les PME est le PDF simple par e-mail (83 % des entreprises interrogées). Par conséquent, le bénéfice de simplicité évoqué précédemment peut être restreint au simple envoi d'e-mail. « Les PME ne perçoivent pas encore totalement la valeur ajoutée dont elles pourraient bénéficier dans le cadre d’une offre intégrant le processus complet de dématérialisation « machine to machine », souligne Magali Kolnik, chef de marché dématérialisation de Sage.

Un enjeu clé : le développement de l’usage
« La complexité apparente des différentes technologies (signature élec­tronique, EDI), les risques juridiques vis-à-vis de l’administration fiscale et la perception que les investissements et efforts sont surtout au profit du client « grand compte » sont autant de freins à l’essor de la facture élec­tronique et de la dématérialisation fiscale », souligne Magali Kolnik. Pour y répondre, l’offre de dématérialisation ne doit pas se limiter à la simple transmission du document facture, mais doit prendre en compte l’ensemble de la chaîne de dématérialisation : transmission d’un fichier structuré permettant l’intégration automatisée de la facture dans le logiciel de gestion du destinataire, traçabilité des échanges fournisseur – client, rapprochement automatique de la facture avec le bon de livraison, stockage et archivage sécurisés, interopérabilité entre les plates-formes du marché. Ces éléments sont indispensables pour garantir le développement de l’usage de la facture électronique dans les PME. C.P.

1 À propos de l’étude

Sage a interrogé 1 144 entreprises clientes en juin 2012 dans le cadre de son premier baromètre annuel « les PME et la facture électronique ».
58 % des entreprises interrogées évoluent dans le BtoB, 24 % dans le BtoC, 8 % dans le BtoA et 10 % en mixte.
Le champ d’observation est celui de l’activité BtoB sur le segment de marché PME. L’échantillon se compose de 94 % d’entreprises de moins de 100 salariés. Les secteurs d’activité les plus représentés sont le commerce, la distribution, les services et l’industrie.


Selon la 18e édition du rapport ISTR (Internet Security Threat Report) de Symantec sur les menaces de sécurité Internet 2012, les attaques Internet ont augmenté de 30 % en 2012 et les attaques ciblées en direction des PME ont été multipliées par trois. L’enquête a révélé que les cybercriminels ciblent de plus en plus les PME et les sous-traitants pour atteindre in fine les grandes entreprises.
Jugées plus vulnérables en matière de sécurité, les PME sont attaquées à la fois pour leurs coordonnées bancaires, leurs données commerciales, leur propriété intellectuelle mais aussi pour leur accès aux informations sensibles des grandes entreprises.
En 2012, les cibles les plus fréquentes étaient les employés liés au capital informationnel des entreprises (27 %), qui ont donc accès à la propriété intellectuelle, ainsi que les forces commerciales (24 %).

V. B.

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Le 4 avril dernier, l'administration fiscale a inscrit au Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts (Bofip) une précision sur le Crédit d'Impôt Recherche (CIR). Cet aménagement peut induire des conséquences pour les entreprises qui déclarent du CIR et qui bénéficient de subventions et d'avances remboursables, au titre de leurs dépenses de Recherche et Développement (R&D).


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