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Accelya, toujours un temps d'avance sur la facture électronique !

Poussée par la réglementation et l’administration, la dématérialisation des factures a démarré depuis des années, sans toutefois se généraliser à ce jour. L’offre logicielle et de services, désormais matures, ainsi que la nouvelle réglementation pourraient accélérer le mouvement.

La dématérialisation des factures n’est pas franchement une nouveauté. Basés sur de l’EDI - échanges de données informa­tisées - les flux de facturation entre les grandes entreprises et leurs fournisseurs les plus importants se passent de papier depuis des décennies. Une tendance qui ne s’est pas étendue à l’ensemble des entreprises et des organisations, malgré une législation acceptant la facture dématérialisée depuis 2000. Sur les deux milliards de factures générées annuellement dans le BtoB en France, seule une fraction, représentant quelques pourcents, est tout numérique à ce jour.

 

Mais la donne est en train de changer pour plusieurs raisons. Côté réglementation d’abord. La loi reconnaît toujours l’EDI et les fichiers pdf signés (un fichier au format pdf sur lequel une signature numérique a été apposée), mais nouveauté, elle accepte désormais les fichiers au même format pdf sans signature numérique. Traduction dans le droit français d’une directive européenne portant sur la facturation et la TVA, cette réglementation du Code Général des Impôts, datant d’octobre 2013, prévoit trois modes possibles pour la facture dématérialisée fiscalement. En plus des modes signés et EDI, elle accepte désormais le mode « piste d’audit ».


La mise en place d’une véritable stratégie documentaire n’est pas neutre sur l’organisation de l’entreprise. Il s’agit bien sûr de modifier des habitudes de travail. Chez Socomec, comme ailleurs, si plus personne n’imagine se passer deslogiciels de gestion de contenus, l’habitude de créer plusieurs versions de fichiers sur des serveurs perdure chez nombre de collaborateurs. Tout comme la mise en copie des emails.

Indépendamment de ce facteur, la mise en place de gestion de contenus impacte souvent l’organisation du travail. Exemple le plus simple, la mise en place d’un projet de dématérialisation du courrier modifie le service en charge de ce dernier dans un premier temps, qui ne prend plus en charge que le scan.


Plus que jamais, la banalisation du numérique impose de mieux gérer les documents et les données. Une pratique qui passe par la mise en place de solutions de gestion électronique des documents. C’est aussi l’occasion de repenser et d’améliorer l’organisation des entreprises. Quelques pistes…

Ce n’est pas un scoop en effet, la banalisation du numérique impose de mieux gérer les documents et les données sous peine de perdre des informations ou de l’efficacité. Qui n’a pas égaré un email important ou la bonne version d’un fichier Word au moment le plus inopportun. Une réalité qui s’applique aussi bien aux PME, TPE et ETI qu’aux grands groupes. L’un des volets de cette numérisation est la dématérialisation. Et là comme ailleurs, « les PME ont très souvent des besoins aussi complexes que les grands groupes », atteste Christophe Rebecchi, directeur général ReadSoft France. Si les petites structures n’avaient pas toujours les moyens financiers de s’équiper, elles peuvent depuis quelques années disposer d’outils matures techniquement et à un prix abordable, notamment grâce au mode Saas ou Cloud. « La montée en puissance des offres SaaS étend encore le marché vers la PME », ajoute Christophe Rebecchi. Des offres qui permettent de se passer de compétences techniques en interne et limitent les budgets d’investissement.


Pour lutter efficacement contre la contrefaçon en ligne, les méthodes traditionnelles ne suffisent plus. Les marques doivent envisager des méthodes ciblant le phénomène dans toute son ampleur, sur la base de nouvelles technologies au retour sur investissement avéré. Voici les pistes.

Internet, un cauchemar pour les marques

Vecteur de diffusion massif de contrefaçons, Internet est le cauchemar de nombreuses entreprises, qu’il s’agisse de produits grand public ou professionnels. Par exemple, l’industrie du luxe et de la mode, qui se retrouve dans une situation inextricable face à un phénomène redoutable et sans fin : à peine la marque est-elle parvenue à fermer un site frauduleux qu’un autre ouvre immédiatement. Chaque année dans le monde, ce sont ainsi pas moins de 350 milliards de dollars (soit plus de 250 milliards d’euros) qui sont générés par les contrefacteurs et les pirates via les canaux digitaux.



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Pour toutes les entreprises, la prise en compte des ordinateurs portables comme des smartphones et des tablettes dans la sécurisation des données s'impose. Les offres en mode Cloud sont accessibles à tous. À condition de respecter quelques points.

La mobilité des collaborateurs est largement banalisée. « En 2013, elle comprend l'utilisation de nouveaux périphériques, tablettes et smartphones, qui ont leurs propres applications mobiles », décrit Dominique Loiselet, directeur général France de Blue Coat. Corollaire de ce développement, ces applications sont potentiellement de nouvelles failles. Autre facteur de risques, un nombre croissant de collaborateurs utilise simultanément son propre ordinateur portable pour un usage professionnel et personnel, une tendance de fond baptisée BYOD (Bring your own device). « La politique de sécurité et les règles de contrôle ne peuvent être les mêmes lorsqu’un utilisateur utilise un périphérique fourni par l’entreprise ou un périphérique qui lui appartient », ajoute Dominique Loiselet.


La prochaine étape majeure dans l’extension de l’espace des noms de domaines Internet est l’arrivée imminente des nouveaux domaines génériques de premier niveau ou « gTLD », generic Top-Level Domain. Cette évolution impose une grande vigilance à tout responsable d’une marque. Une lecture attentive de ce qui suit s’impose. Ce que vous y apprendrez peut éviter bien des soucis.


L’informatique nomade se banalise, ce qui accroît les besoins de sécurisation. Pour répondre à ces derniers, les prestataires spécialisés multiplient les offres désormais souvent accessibles dans le « Cloud ». Difficulté, ces offres externalisées restent difficiles à appréhender et n’excluent pas de sécuriser en interne. Quelques repères pour s'y retrouver.

Pour les entreprises, la banalisation des tablettes, des iPad, et autres terminaux mobiles rime avec une aggravation du risque de perte ou de vol d’informations importantes. Pour répondre à ces nouveaux besoins et développer leurs services, des prestataires spécialisés proposent une offre diversifiée autour de la sécurité. Une offre de plus en plus souvent placée sous le signe du « Cloud », c'est-à-dire externalisée, et qui est censée tout prendre en compte. Mais confier la totalité de son informatique à un prestataire externe nécessite d’apporter un soin particulier pour vérifier si le service est bien en adéquation avec le besoin. Une démarche qui porte autant sur l’offre que sur la demande. En matière de Cloud, « les demandes des responsables informatiques sont parfois excessives. Ils exigent une sécurité disproportionnée avec la valeur des données à protéger et sans rapport avec le niveau de sécurité existant pour leur informatique interne », décrit Alain Rabary, PDG de Val Informatique, un éditeur de logiciel en mode SaaS (Software as a Service). En outre, cette exter­nalisation n’empêche pas d’avoir à sécuriser a minima sa propre informatique. Quelques pistes pour s'y retrouver.


Et si la vidéo devenait le premier mode de communication, devant le téléphone ? Une perspective qui n'est pas si lointaine qu'on peut le penser. « Aujourd'hui, nous connaissons une forte évolution technologique, avec une interopérabilité toujours plus grande et un usage encore simplifié, notamment au travers du développement des smartphones et des tablettes », analyse Frédéric Batut, directeur distribution de Polycom France. Polycom est le leader mondial des systèmes de réunion à distance, avec plus de 4 000 collaborateurs à travers le monde et 400 000 entreprises utilisatrices.


Des réseaux toujours plus collaboratifs

lundi, 30 septembre 2013 18:47 Écrit par


Les réseaux sociaux révolutionnent aussi la manière de fonctionner à l'intérieur de l'entreprise. Le collaborateur de l'entreprise, adepte dans sa vie privée de réseaux sociaux, apprécie de pouvoir utiliser dans son quotidien professionnel un mode de communication dont le succès tient dans son ergonomie et la simplicité d'usage. D'ailleurs Salesforce vient de lancer Chatter mobile, un réseau social d'entreprise adapté aux enjeux de la mobilité.

« L'utilisateur professionnel se retrouve dans un univers qu'il connaît déjà puisqu'il rappelle celui de réseaux sociaux personnels comme Facebook et Twitter », explique Olivier Nguyen Van Tan, responsable marketing produit Emea de Salesforce.
Un choix qui facilite grandement l'appropriation de l'outil par ses utilisateurs. Ainsi les statistiques  montrent que les collaborateurs utilisateurs du réseau social d'entreprise fournissent 29 % d'idées en plus, ou encore qu'ils sont d'une manière générale plus productifs et participatifs. « J'ai coutume de dire que le réseau social permet l'expression de l'intelligence collective de l'entreprise », poursuit Olivier Nguyen Van Tan.


Réseaux sociaux : le moment d’y aller

lundi, 30 septembre 2013 18:44 Écrit par

« Faire vivre l'information sur son site ne suffit plus, il faut aussi envoyer des signaux sociaux », estime Julien Carlier, CEO* de Social Dynamite. Cela signifie qu'il faut organiser sa présence sur le web comme un véritable média, « mettre en place une ligne éditoriale, publier régulièrement des articles de fond, et assurer une promotion sociale scénarisée des contenus », précise-t-il. Social Dynamite a d'ailleurs développé un outil permettant de relayer l'information de manière automatique - mais étalée dans le temps - sur les réseaux sociaux de la marque, des dirigeants, des collaborateurs « engagés » c'est-à-dire actifs sur les réseaux sociaux où ils publient des informations, puis des « ambassadeurs externes », (partenaires, clients, blogueurs). Ainsi, une infor­mation peut être diffusée par plusieurs voies sur Twitter, Facebook, Linkedin et Viadeo. Des réseaux sociaux BtoC et BtoB qui vont amplifier l'écho de la marque ou de l'entreprise sur Internet.


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