La Banque Palatine crée le Cercle Palatine des ETI
Les entreprises à fort potentiel de croissance portent une part importante de notre croissance. La Banque Palatine crée pour ces entreprises, cœur de sa clientèle, un espace de réflexion, échanges et d’informations.
La Banque Palatine s’affirme comme le partenaire de référence des Entreprises de Taille Intermédiaire. Son engagement aux côtés de cette France qui entreprend est constant : depuis 2007, 1 000 entreprises dont le CA est supérieur à 15 millions d’euros sont devenues clientes de la Banque, dont 221 en 2011. En cinq ans, les encours de crédits accordés aux entreprises ont augmenté de plus de 60 % (+ 9% en 2011, contre 4,4 % pour l’ensemble des banques), prouvant le rôle actif de la Banque Palatine dans le financement de l’économie réelle.
Souhaitant encore innover dans l’accompagnement et les services qu’elle propose aux ETI, la Banque Palatine crée le Cercle Palatine des ETI. Lieu d’échanges et de rencontres des dirigeants d’ETI, ce Cercle a pour ambition de réfléchir aux problématiques qui leur sont propres : environnement des marchés financiers, renforcement des fonds propres, contraintes réglementaires et fiscalité, relations avec les grands groupes, internationalisation, financement de l’innovation, cession – transmission, etc.
Le rôle du banquier au service de ces entrepreneurs sera également un thème constant des travaux pour faire émerger de nouvelles idées et de nouveaux usages, voire de nouvelles opportunités.
Le 10 juillet prochain aura lieu la réunion de lancement du Cercle Palatine des ETI en présence de nombreux dirigeants d’ETI.
Les débats pourront se poursuivre sur le site internet du Cercle, qui sera mis en ligne le 10 juillet :
www.cercle-palatine-eti.fr
La France compte environ 5 000 ETI, dont le poids économique est important au regard de leur nombre : 30 % de l’emploi salarié, 36 % des exportations, 38 % des investissements. Par ailleurs, elles résistent relativement mieux à la crise et les anticipations de leurs dirigeants restent globalement bonnes : 78 % des dirigeants d’ETI sont ainsi optimistes quant à leur propre activité. (Source : Observatoire de la performance des PME/ETI – OpinionWay/Banque Palatine pour i>TELE-Challenges, mai 2012)
La France compte deux à trois fois moins d’ETI que l’Allemagne, l’Italie ou le Royaume-Uni. « Notre politique industrielle a été basée sur les grandes entreprises depuis 1945. Mais notre modèle, est à bout de souffle. Il faut relancer la croissance via les ETI. C’est l’une des clés de la réindustrialisation » rappelle Daniel Karyotis, Président du Directoire de Banque Palatine. La création du Cercle Palatine des ETI doit contribuer à identifier les voies à suivre.
La rédaction
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