La rédaction
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Votre stratégie de conformité à la directive SEPA était-elle fondée uniquement sur l’espoir que tout se passe bien ?
La Commission européenne avait posé la première pierre à l'édifice de la création d'un Espace unique de paiement Européen (Single European Payment Area ou SEPA) en janvier 2008. Les sociétés se sont vues imposer une date limite claire afin de migrer vers des systèmes de prélèvement et de virement selon le règlement européen SEPA. Ainsi, depuis le 1e février 2014, les établissements bancaires ne devaient plus accepter les opérations de paiements de clients utilisant le système de prélèvements nationaux en vigueur jusqu’au 31 janvier 2013.
Votre dématérialisation, avec ou sans papier ?
La dématérialisation est le graal de ce début de siècle. Les bénéfices promis incitent au lancement de nombreux projets. Suivis de déconvenues réelles car les résultats immédiats sont rarement à la hauteur des attentes. La raison majeure : une dématérialisation qui laisse le papier au cœur du sujet.
Vos factures sont-elles conformes aux nouvelles règles applicables ?
Le BOFiP du 18/10/2013 a posé de nouvelles règles en matière de facturation. Ces règles s’appliquent aux factures papier et électroniques, et concernent l’émetteur comme le récepteur de la facture. Les nouvelles règles sont applicables à partir du 1er janvier 2013. Les entreprises travaillant uniquement avec des flux papiers voient le cadre légal modifié. Nous proposons ici un point sur les nouvelles règles en vigueur.
Vers la fin du débat entre internalisation et externalisation des stocks ?
Vaut-il mieux faire construire de nouvelles infrastructures de stockage ou externaliser la gestion des stocks ? Un débat stratégique en logistique, notamment lors de phases, permanentes ou temporaires, de croissance d’activité. Débat dans lequel s’invite désormais un nouvel arbitre, souvent méconnu, et qui présente pourtant de nombreux avantages : le bâtiment industriel démontable.
Usages et besoins des utilisateurs de messageries électroniques - Partie 1 : Les différents outils de communication
I. L’email : le roi des échanges électroniques B2B
N’en doutons pas, en 2014 l’email n’est pas mort et reste l’un des vecteurs de communication électronique les plus utilisés. Ainsi, chaque année, des croissances importantes du nombre d’ouverture de boîtes ou d’utilisateurs sont enregistrées. Par exemple, en 2013, l’on compte plus de 3,9 milliards de comptes mails et il est estimé qu’en 2017, ils seront plus de 4,9 milliards. Plus marquant en entreprise, 78 % des échanges sont réalisés par mail (source infographie livre blanc Alinto réalisée à partir des données de l’étude Radicati, « Email Market, 2013-2017 », arobase.org, planetoscope.com).
Urgence : la conformité SEPA. Mais après ?
Le passage au SEPA, ce 1er février 2014, ne représente qu’une première échéance. José Teixeira, Chef de marché Cash management et Electronic banking Sage, fait un point sur les prochaines étapes à venir.
Une mauvaise gestion des données peut vous conduire au chaos. Par Sébastien Verger, CTO d'EMC France
Un portail RH, pour qui et pour quoi faire ?
En matière de ressources humaines, les pratiques sont en pleine mutation. De la simple gestion des paies, le marché évolue vers un véritable système d'information. Claude Saunal, dirigeant de Cognitic, explique comment les entreprises doivent appréhender cette mutation.
Un monde sans cloud est-il envisageable ?
Au cours des dernières années, plusieurs technologies ont émergé afin de faciliter la vie des entreprises et ainsi leur permettre de fournir à leurs clients un service de qualité optimale. Que ce soit le cloud, les réseaux sociaux ou les plateformes mobiles, chacun de ces outils a apporté à l’entreprise des bénéfices considérables.
Un marketing personnalisé ? Oui, mais responsable !
Si les Français sont plus ou moins conscients de la captation de leurs données personnelles et s’en déclarent inquiets, près d’un sur deux se montre prêt, en revanche, à laisser les marques tracer sa navigation sur le web à condition d’y trouver un intérêt (Etude Havas Media – Août 2014). De quoi faire réfléchir les chefs d’entreprise et leur direction marketing qui ne doivent en aucun cas négliger les enjeux de partage et de responsabilité des données du consommateur, gages de confiance et de qualité dans la relation client. Car utilisée de manière déraisonnée, la donnée se révèle parfaitement contreproductive voire catastrophique pour la marque et son image. Retour sur les 4 règles d’or pour un usage responsable de la donnée.