Tout dirigeant d'entreprise doit en être conscient : une bonne qualité de vie au travail profite à la fois aux salariés et à l'entreprise. D'ailleurs, 71 % des salariés interrogés partagent ce point de vue, selon un sondage Anact-TNS Sofres de juin 2014. Mais pour parvenir à un bon niveau de satisfaction au travail, encore faut-il permettre aux collaborateurs de pouvoir concilier vie privée et vie professionnelle dans de bonnes conditions.

La fin d'année approchant, il est de bon ton pour les entreprises de faire des cadeaux à leurs clients les plus fidèles, leurs partenaires les plus importants et leurs fournisseurs les plus réguliers. Si les cadeaux classiques comme le foie gras, le champagne ou les invitations plaisent toujours, la tendance est de plus en plus aux cadeaux personnalisés. D’autant qu’avec le développement des portails et services en ligne, il devient vraiment simple pour les entreprises de faire réaliser tous leurs projets.

Ça bouge dans le domaine de la mutuelle entreprise… Il est en effet important de rappeler qu’à compter du 1er janvier 2016, toutes les entreprises, quelle que soit leur taille, devront obligatoirement proposer une complémentaire santé collective à l'ensemble de leurs salariés. Une mesure qui va concerner plusieurs millions de salariés en France, car ce sont bien toutes les entreprises, à partir d'un seul salarié, qui devront se conformer à la nouvelle règle.

Les Français sont de plus en plus prévoyants. Désormais, dans le cadre de la gestion de leur patrimoine – et bien avant le décès - ils sont de plus en plus nombreux à régler non seulement les questions de transmission et d'héritage mais aussi d'organisation et de financement des obsèques. Une évolution rendue possible par le développement de l'assurance obsèques, solution qui a déjà été adoptée par plusieurs millions de Français. Et ce n'est pas fini : à l'horizon 2025, quatre décès sur dix devraient être financés selon cette formule.

La révolution numérique a déjà commencé à impacter fortement l'industrie du voyage, comme l'illustre le bouleversement des modèles économiques avec l'irruption de Airbnb, Uber ou encore Blablacar. Les changements de comportement des consommateurs qui en découlent concernaient jusqu'ici plus particulièrement l'écosystème B to C, mais il est temps désormais de s'interroger sur les évolutions que ces nouveaux modèles entraînent dans l'activité B to B, liées aux voyages d'affaires.

En matière de voyages d'affaires, la recherche des meilleures conditions et des tarifs avantageux est une préoccupation constante. Dans cette optique, il ne faut surtout pas négliger l'intérêt des cartes d'abonnement, un investissement qui peut se révéler rapidement rentable et contribuer grandement à l'optimisation du budget voyageur. Le principe est simple : en échange d'une cotisation, l'abonné bénéficie d'une carte ouvrant droit à des réductions sur les tarifs des vols ainsi qu'à des services exclusifs.

La taxe d'apprentissage permet le financement des formations technologiques et professionnelles. Par ailleurs, cette taxe concerne pratiquement toutes les entreprises, quel que soit leur statut juridique, dès lors qu'elles sont soumises à l'impôt sur le revenu ou sur les sociétés et quelles ont des salariés. Toutefois, il existe des cas bien précis d'exonération mais également des contributions assimilées tels que le CDA (Contribution au Développement de l'Apprentissage) et le CSA (Contribution Supplémentaire à l'Apprentissage). Il n'est donc pas toujours très simple pour une entreprise de s'y retrouver et de calculer avec exactitude le montant qu'elle devra verser. 

Les années se suivent et se ressemblent pour les travel managers, toujours autant préoccupés par l'optimisation du coût des voyages d'affaires. Raison de plus pour se pencher sur les pistes permettant d'améliorer sensiblement la gestion de certains postes. La mise en place d'un « programme hôtel » peut donc se révéler une solution intéressante, tant pour les PME et les grandes entreprises, à condition d'observer quelques précautions.

Malgré les difficultés économiques, les entreprises ont revu à la hausse leurs dépenses MICE en 2013. Une preuve que ces évènements sont indispensables à la vie d'une entreprise. Toutefois, maîtrise des dépenses oblige, les entreprises cherchent toujours à optimiser les coûts tout en privilégiant les lieux bien adaptés, à commencer par les hôtels.

L'exploitation des Big data est d'actualité dans tous les domaines de l'entreprise. Si l'analyse de la masse des données accumulées par une entreprise est bien connue pour optimiser la stratégie marketing ou améliorer les process logistiques par exemple, on sait moins que cette pratique peut être tout aussi fructueuse dans bien d'autres domaines.