Enseignement supérieur – Ecole de commerce

ESSEC Business School
Depuis sa création en 1907, l’ESSEC est devenuel’une des premières écoles de management européennes.Offrir un lieu d’apprentissage exceptionnel doté des meilleursoutils numériques tout en favorisant l’épanouissement de lavie associative, les échanges entre étudiants et les rencontresavec le monde économique, telle est l’ambition des 3 campusde l’ESSEC, puisque l’école comprend maintenant un site àSingapour.

Regroupant 4 500 élèves,141 professeurs et 523 administratifs (eff. 30 sept 11) auxquels s’ajoutent  des visiteurs  internationaux réguliers, l’ESSEC entretient un parc de 1200 ordinateurs – postes destinés aux professeurs et aux administratifs, et points d’accès en libre-service dédiés aux activités pédagogiques – soit en tout cinq modèles de PC fixes et 6 modèles de portables. Pour garantir l’homogénéité de ce parc, l’équipe informatique de l’ESSEC recourait encore récemment à la masterisation, mais l’hétérogénéité croissante des appareils rendait cette approche de plus en plus difficile à gérer :

« La gestion des images devenait de plus en plus complexe, coûteuse et chronophage pour notre équipe » témoigne Franck Polycarpe, Responsable Infrastructures et chef de projet virtualisation à l’ESSEC. « De plus, les professeurs et les élèves apportent désormais leurs propres matériels– tablette et smartphone Android ou iOS, laptop Windows ou Macintosh, etc. - pour travailler. Une institution comme l’ESSEC ne peut se soustraire à la lame de fond qu’est le "Bring Your Own Device" ! Il nous fallait en conséquence trouver le moyen de répondre à cette demande, tout en allégeant la charge de travail et de maintenance de nos équipes. »

Ayant récemment virtualisé une importante proportion de son infrastructure de serveurs, l’ESSEC s’est naturellement tourné vers VMware pour lancer son projet de virtualisation des postes de travail, après avoir développé quelques prototypes à l’aide de différentes technologies.

« La portabilité ("anywhere, anytime, any device") de toute nouvelle solution informatique est un pré-requis obligatoire pour envisager un déploiement à l’ESSEC : toute offre de service doit être indépendante du matériel hardware » explique Franck Polycarpe. « Parmi les autres critères de notre étude figuraient également les performances (temps de démarrage, d’accès…), le coût d’acquisition, l’ergonomie et l’architecture technologique (intégration au SI, protocoles, etc.). La maquette réalisée à l’aide de VMware et de clients légers répondait le mieux à ces exigences. Nous avons donc décidé de réaliser un pilote sur un espace libre-service regroupant 20 postes bureautiques. »

Devant la réussite de ce premier pilote, l’équipe a dimensionné l’infrastructure pour offrir 350 postes virtuels simultanés et couvrir ainsi la quasi-totalité du parc libre-service du Campus de Cergy-Pontoise de l’ESSEC.

« Nous nous sommes appuyés sur AntemetA, partenaire Gold certifié de VMware, qui connaissait notre contexte pour avoir assuré la mise en place de l’infrastructure virtualisée de serveurs de production. AntemetA nous a aidé à dimensionner notre infrastructure, à développer une architecture technique adaptée et à migrer les postes vers cette nouvelle plateforme de virtualisation » poursuit Franck Polycarpe. « Sa parfaite connaissance des environnements VMware nous a permis de gagner du temps et de développer une solution parfaitement adaptée à nos besoins. »

Aujourd’hui, ce parc virtuel est composé à la fois de points d’accès en libre-service et de postes bureautiques installés dans les salles de cours. Chaque machine contient les logiciels nécessaires à l’enseignement, selon la salle dans laquelle elle est située. Le délai de provisioning étant quasiment immédiat, les professeurs bénéficient d’une réactivité accrue vis-à-vis de leur planning pédagogique.

« Les postes de travail disposent des mêmes logiciels, mais ne sont pas persistants : la machine est provisionnée et disponible en permanence, mais ne s’active que lorsqu’un utilisateur se connecte (« clone lié ») » poursuit Franck Polycarpe. « La liste des logiciels proposés à l’enseignement à l’ESSEC étant très fournie (environ 70), nous avons mis en œuvre VMware ThinApp pour résoudre les conflitsinter-applicatifs. De plus, la virtualisationnous permet de multiplier les points d’accès : chaque élève peut ainsi accéder via leur propre appareil aux logiciels disponibles dans les salles de cours, par exemple pour réaliser un devoir depuis la cafétéria ou leur domicile. Pour cela, il se connecte simplement au portail MyEssec.com. »

Résultats
·         Multiplication des points d’accès et BYOD : possibilité pour les usagers d’accéder aux ressources de l’ESSEC, indépendamment du lieu, de l’appareil (portabilité) et du moment, ce qui désengorge l’accès aux postes en libre-service
·         Allègement de la maintenance du parc d’ordinateurs (par exemple les mises à jour logicielles et la gestion des profils)& simplification de la gestion des postes de travail : gains d’efficacité, de réactivité, économies de coûts (à terme, réduction de 50% du coût total de possession du parc)
·         Amélioration de la sécurité et du contrôle par la mise en place de nouvelles règles d’utilisation

« Grâce à VMware, nous avons pu enfin nous libérer des contraintes matérielles pour construire nos nouveaux postes de travail. En installant des clients légers nous renouvelons le parc matériel de manière progressive et durable, tout en permettant aux usagers de notre SI de se connecter via leur propre appareil. A terme nous projetons de virtualiser l’ensemble de nos postes bureautiques – libre-service, salles de cours et postes administratifs »
Franck Polycarpe, Urbanisme et Architecture Technique du SI, Responsable Infrastructures
ESSEC