Un sondage¹ qui démontre que la gestion de son BFR (Besoin en Fonds de Roulement) est un point crucial pour les entreprises en période de crise.

Artisans, commerçants et chefs d’entreprise : les plus touchés par l’inflation

Alors que 42 640 entreprises ont fait faillite entre février 2022 et janvier 2023, soit une hausse de près de 50 % par rapport à l’année 2021², l’étude Viavoice pour Ashtone démontre que 42% des salariés français en activité ont le sentiment que la période d’inflation a généré des difficultés pour leur entreprise.

Un constat est encore plus notable chez les artisans, commerçants et chefs d’entreprise : en effet, près de 8 actifs sur 10 estiment rencontrer des difficultés financières à la suite de l’inflation et plus particulièrement dans la région Ile-de-France (52%).

Depuis le début de la crise, plus de la moitié des répondants (51%) déclarent avoir été sommés de réaliser des économies au sein de leur entreprise. Un constat encore plus prégnant chez les artisans, les commerçants et les chefs d’entreprise qui sont 70% à avoir dû faire des efforts.

Des défis de gestion du BFR et de la trésorerie… même dans les grandes entreprises

Les artisans, commerçants et chefs d’entreprise ne sont pas les seuls à être particulièrement touchés par l’inflation : les grandes entreprises de plus de 250 collaborateurs ont elles aussi le plus de difficultés à gérer leur trésorerie qu'auparavant. Effectivement, selon l’étude Viavoice x Ashtone, près d’un tiers des salariés de grandes entreprises (29%) estime que leur société n’a pas une bonne gestion de sa trésorerie.

Pour Frédéric Dupont, CEO d’Ashtone : “ La gestion de la trésorerie est un défi de taille, touchant tant les petites entreprises que les grandes. Dans un contexte d'inflation, il est essentiel de trouver des solutions innovantes pour accompagner ces acteurs économiques dans cette période d'incertitude. La stabilité financière est primordiale pour la prospérité de l'ensemble de l'économie ”.

Le surendettement : principale cause de faillites pour des entreprises

Selon la Banque de France, les faillites d’entreprises sont en hausse constante depuis un an et proches de leur niveau pré-Covid³. Vivavoice, a donc interrogé les actifs français à ce sujet et il est ressorti que pour 42% des répondants, le surendettement est l’une des principales causes de faillites des entreprises, suivi par la concurrence internationale (41%) puis de la difficulté de financement (39%).

Frédéric Dupont ajoute : “ En ces temps de faillites d'entreprises en hausse, il est clair que la gestion prudente de la trésorerie et du BFR est cruciale pour survivre. Chez Ashtone, nous nous concentrons sur cette expertise essentielle pour aider nos clients à faire face à ces défis et à garantir leur pérennité ”.

¹ Étude réalisée auprès de 1 000 individus représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus. Interviews effectuées en ligne du 12 au 16 octobre 2023.
² Source : Insee
³ Source : L'Humanité