Finance & Gestion 414
Gonfler ses notes de frais : est-ce bien raisonnable ?
lundi, 16 décembre 2013 08:01 Écrit par Nos contributeursDans un premier temps, laissez-moi vous conter une petite histoire…
Vous allez le constater, les notes de frais de tout salarié qui voyage peuvent être une source de tracasseries et de tentations diverses et variées. En réalité, pour réduire ou éviter ce phénomène, il convient comme toujours d’en identifier et analyser les origines.
La RSE a-t-elle fait ses preuves d’efficacité ?
lundi, 16 décembre 2013 08:01 Écrit par Nos contributeursLe rapport Brovelli, remis au 1er ministre publié en juin dernier, s’intitulait « Responsabilité et performance des organisations ». Le Medef, un an plus tôt, publiait le guide « Cap vers la RSE », sous-titré « Faire de la responsabilité sociétale de l’entreprise un levier de performance ; la CGPME titrait à son tour son guide « La responsabilité sociétale des entreprises, une opportunité pour les PME ». Alors ? Vœu pieux, panurgisme, mode, louable intention, simple coïncidence … ou réalité partagée ?
Flotte automobile : gare aux coûts cachés !
mercredi, 06 novembre 2013 17:25 Écrit par Anne Del Pozo
|
|
|
Alors que dans les entreprises, la tendance est plutôt à l’amélioration de la gestion de la flotte automobile, certains coûts liés à ce poste restent cachés… Méconnus, dispersés dans ou hors de l’entreprise, ils sont néanmoins autant d’opportunités, pour les entreprises, d’optimiser davantage les coûts liés à leur parc automobile.
Actuellement, huit entreprises sur dix ne connaissent pas le coût global de leur flotte. En cause ? Les coûts cachés ! Ils peuvent en effet représenter jusqu’à 25 % du coût total de détention d’un parc. « Ces coûts cachés, nous les retrouvons aussi bien en interne, dans les processus de gestion de la flotte automobile, qu’en externe, dans les différentes composantes du TCO (Total Cost of Ownership, ndlr) », explique Matthieu Blaise, responsable de l’offre Flotte Automobile chez Cristal Décisions.
Intelligence économique : Le secret de l’avocat pour protéger l’entreprise.
jeudi, 21 novembre 2013 08:03 Écrit par Nos contributeursLe secret des affaires est un serpent de mer ! Comme tel il n’existe pas au sein des entreprises. On en parle, on le décrit, on l’espère mais pour ce qui est de le concrétiser c’est une autre histoire. Faire appel à un avocat qui, par définition, est tenu au secret professionnel, est à l’évidence un rouage précieux pour identifier et mettre en place les process de protection de toutes les informations sensibles.
Cette année encore, le marché du voyage d’affaires est marqué par des tendances phares articulées autour de la maîtrise des coûts, de la flexibilité des programmes et des offres, et de la sécurité des voyageurs.
En 2013, le marché du voyage d’affaires semble avoir repris son souffle. Bien que modeste, la reprise est cependant effective. En effet, 31 % des voyageurs interrogés dans le cadre du baromètre annuel des voyageurs d’affaires 2013 (Mondial Assistance/DéplacementPros.com, septembre 2013) indiquent ainsi avoir davantage voyagé au 1er semestre 2013 par rapport au 1er semestre 2012, et 58 % affirment avoir voyagé autant durant les deux périodes. Un chiffre conforté par l’importance accordée aux déplacements professionnels. 41 % des voyageurs les jugeant en effet indispensables et 30 % nécessaires au développement économique de leur entreprise. Malgré cette reprise, le poste voyage d’affaires n’échappe pas aux stratégies de maîtrise des coûts engagées par la plupart des entreprises depuis quelques années.
L’entreprise et l’éco-business - Pourquoi ce n’est plus une option !
mercredi, 06 novembre 2013 17:33 Écrit par Philippe DermagneEst-il encore utile de définir le cadre d’une politique RSE ?* La responsabilité des entreprises et de leurs dirigeants, au plan social et environnemental, est-elle aujourd’hui contestable ? La bonne parole du développement durable doit-elle être encore et encore diffusée ? À toutes ces questions, la réponse est incertaine. Car si les grandes entreprises y sont contraintes, nombre de PME ont toujours quelques difficultés à prendre le virage. Fresque.
Côté croissance externe : des pistes à explorer
mercredi, 06 novembre 2013 16:57 Écrit par Laurent LocurcioLa crise ? Quelle crise ? Si l'on en juge par les résultats de ces entreprises qui ont choisi la voie de la croissance externe pour rester compétitives, la question mérite d'être posée. Toutefois, la réussite n'est pas le fruit du hasard, mais plutôt d'une vision stratégique clairement définie et de partenaires financiers prêts à partager les objectifs visés.
Financement : la croissance externe a encore du crédit
Même si le système bancaire se montre frileux, les projets de croissance externe ont encore la cote auprès des financeurs et des dirigeants d'entreprise. Ainsi, le baromètre Ifop-KPMG-CGPME, publié en octobre et portant sur le financement et l'accès au crédit des PME, montre bien que la situation s'est tendue. D'une part, et pour la première fois depuis le lancement de ce baromètre en 2009, 70 % des dirigeants interrogés font état d'un besoin de financements et d’autre part 37 % déclarent se restreindre dans leurs investissements en raison de difficultés d'accès au crédit. Certes, 48 % des patrons de PME ont des besoins de financements liés à leur activité, en particulier pour soutenir leur trésorerie. Toutefois, 40 % des dirigeants cherchent des crédits pour investir, et parmi ceux-ci, un tiers souhaite réaliser des acquisitions dans le cadre d'une croissance externe. Une tendance en hausse de 4 points dans le baromètre, alors même que les besoins de crédits pour des investissements d'équipement (- 6 points) et d'innovation (- 7 points), dégringolent. Cependant, 76 % des dirigeants de PME font état de mesures de durcissement par les banques et d'allongement de délais d'acceptation.
SEPA*, il est plus que temps de s’en soucier !
samedi, 12 octobre 2013 14:06 Écrit par Nos contributeursL'espace unique de paiement en euros, ou SEPA, est un projet d'harmonisation des moyens de paiements en Europe. Imaginé et lancé dès 2002 par les établissements bancaires à la demande de la Commission Européenne, le projet SEPA concerne un total de 32 pays européens(1). Objectif : harmoniser et faciliter les virements, les prélèvements ainsi que les paiements par carte bancaire.
Renforcer sa trésorerie grâce aux crédits d’impôt
mardi, 15 octobre 2013 13:19 Écrit par Nos contributeursEn ces périodes de crise que nous connaissons, de nombreuses PME, faute de temps ou d'accompagnement qualifié, ne recourent pas aux crédits d'impôt dont elles pourraient bénéficier. Cela est dommageable, dans la mesure où un crédit d'impôt est une réduction d'impôt sur le revenu ou sur les sociétés, pouvant donner lieu à un remboursement, même si la société est non imposable. Explications.
À partir du 1er février 2014, l’Europe impose à toutes les entreprises la norme Sepa pour les prélèvements et virements. Une contrainte à prendre rapidement en compte pour éviter tout risque. État des lieux.
Le 1er février prochain, le Sepa - Single Euro Payments Area ou espace unique de paiement en euros - deviendra une obligation pour tous. Les prélèvements et les virements bancaires devront respecter les spécifications de cette norme européenne. Le Sepa a pour objet global de créer une nouvelle gamme de moyens de paiement communs incluant les mêmes conditions dans l'ensemble de la zone euro. « Il s’agit d’une uniformisation des moyens de paiement en Europe », résume Joël Quéré, directeur business développement d’Athic. Selon la Caisse des Dépôts et Consignations, grâce à cette norme, la zone euro devient une zone domestique de paiement. Le Sepa se concrétise par une nouvelle identification bancaire, par une normalisation des dates de valeur à J+1 après réception de fonds pour les tous les mouvements internes à l’Europe et par des modifications dans les informations accompagnant les virements et prélèvements. Il s’agit notamment d’une extension de zones de libellés pour décrire, par exemple, les motifs de virement, et faciliter l'imputation. « Des gains en termes de lisibilité », illustre une banquière de la Caisse des Dépôts.