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Baromètre Euler Hermes 2015 - investissement et trésorerie des entreprises

Etudes Écrit par  vendredi, 26 juin 2015 10:36 Taille de police Réduire la taille de la police Augmenter la taille de police
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Grâce à l’appui de ses 23 délégations réparties sur l’ensemble du territoire français, Euler Hermes, le leader mondial de l’assurance-crédit, a interrogé plus de 800 PME et ETI françaises sur leurs intentions d’investissement, l’état de leur trésorerie et de leur carnet de commandes. En résulte la troisième édition de ce baromètre, qui, au regard du contexte macroéconomique de la France, apporte une analyse exclusive de la situation actuelle des entreprises et de leurs préoccupations en termes de demande et d’investissement.

 
1-   Le rebond de la consommation des ménages et l’amélioration des marges devraient permettre de redresser la dynamique d’investissement des entreprises mais le déficit d’investissement reste inquiétant : 83 milliards d’euros
 
La croissance française devrait accélérer en 2015 à +1,2% et atteindre +1,5% en 2016, après +0,2% en 2014. Le rebond de la consommation des ménages en sera le principal moteur, contribuant à hauteur de 1 point à la croissance du PIB cette année. Cette demande additionnelle devrait finalement soutenir la croissance des chiffres d’affaires des entreprises : ceux-ci sont attendus en hausse de 2% dans l’industrie cette année, et de 3% en 2016.
 
Les entreprises en profitent aussi pour reconstituer leurs marges. Entre la baisse du prix du baril (+0,4 points de marge), le CICE (+0,5points) et le rebond de l’activité, le taux de marge des entreprises non-financières devrait atteindre 31,5% en 2015 ; celui-ci reste en dessous de son pic récent de 2007 à 33,5% mais pourrait revenir vers sa moyenne de long-terme à 32,7% d’ici 2017.
 
Malgré une légère hausse des défaillances sur un an à fin avril (+0,5%), certains secteurs comme le commerce de détail pointent vers une amélioration (-5,4%). Euler Hermes estime donc que le nombre de défaillances d’entreprises devrait continuer de se résorber en 2015 (-1%) et 2016 (-3%), toujours à un rythme extrêmement faible (-0,4% en 2014). De plus, ce repli masque la turbulence toujours record en France : la sinistralité resterait toujours au-dessus des 60 000 défaillances jusque fin 2016.
 
« Après un deuxième semestre 2014 inquiétant pour l’investissement des entreprises (+0%), celui-ci augmenterait de +1% cette année, pour accélérer à +2,6% en 2016. Dans un environnement de financement porteur, l’amélioration des chiffres d’affaires et des marges donne ainsi le top départ pour un grand retour de l’investissement. Celui-ci était plus qu’attendu puisque le déficit d’investissement gonflerait à 83 milliards d’euros cette année1», analyse Ludovic Subran, chef économiste d’Euler Hermes.

 

2-   Selon le baromètre d’Euler Hermes, la demande reste le problème majeur pour deux-tiers des entreprises mais les fondamentaux financiers se sont renforcés
 
La concurrence accrue (33% des entreprises interrogées) et l’absence de débouchés (33%) sont en 2015 les principales difficultés rencontrées par les entreprises françaises, devançant le niveau de marges (23%). La concurrence se fait relativement plus sentir dans les services où plus de 44% des entreprises interrogées la classe comme première difficulté. C’est dans le BTP que le manque de débouchés est le plus prégnant : il est l’obstacle le plus important pour 39% des entreprises interrogées.
 
En 2015, 46% des entreprises interrogées identifient la pression sur les prix comme le risque principal sur leurs marges ; soit deux fois plus que lors de notre dernier baromètre investissement, en 2013.  Le manque d’activité arrive en deuxième position avec 23% des sondées.
 
La visibilité s’est dégradée : 76% des entreprises déclarent ainsi avoir moins de 6 mois de visibilité sur leur carnet de commandes, contre 58% dans le baromètre précédent. Pourtant, pour 3 entreprises sur 4 les perspectives de demande domestique ou à l’export sont un déterminant important (ou très important) de l’évolution des dépenses d’investissement, juste derrière le retour sur investissement (86%) et devant le besoin de renouveler les capacités de production (73%), les conditions de financement (47%) ou les aides publiques (19%).
 
Parmi les entreprises interrogées, les fondamentaux financiers se sont renforcés, témoignant d’une trésorerie globalement assainie : elles sont 92% en 2015 à déclarer avoir pu stabiliser ou améliorer leur trésorerie cette année, contre 75% en 2013. Elles n’évoquent pas de problèmes de financement particuliers, en ligne avec le faible coût actuel du financement bancaire, et témoignent de délais de paiement plutôt contenus pour 2 entreprises sur 3. Euler Hermes estime que le cash cumulé, disponible dans les trésoreries des grandes entreprises non financières, avoisinerait les 250 milliards d’euros en 2015.

 

3-   Une entreprise sur 3 envisage d’augmenter ses dépenses d’investissement en 2015 et 1 sur 2 jouera offensif
 
Malgré une demande toujours aussi complexe à saisir, les entreprises françaises anticipent le retournement de conjoncture et en témoignent dans leurs velléités d’investissement.
 
«En 2015, 8 entreprises sur 10 continueront d’investir. Les ETI seront même plus audacieuses : elles investiront pour 93% d’entre-elles, contre 75% parmi les PME. Au final, 31% des entreprises envisagent d’augmenter leurs efforts d’investissements par rapport à 2014», décrypte Frédéric Andrès, économiste France pour Euler Hermes. « Un léger mieux par rapport à notre dernier baromètre où elles étaient seulement 20% à envisager d’investir davantage.» ajoute-t-il.
 
Toutefois, la frilosité demeure importante à l’export : 90% des entreprises n’augmenteront pas leurs investissements à l’export cette année. Les 20 milliards d’euros additionnels à capter pour les entreprises françaises à l’export en 2015, dont 9 milliards dus à un euro plus faible, ne seraient donc pas un signal suffisant pour démarrer une démarche d’investissement et de conquête de ces marchés à moyen-terme.
 
Les entreprises privilégiaient en 2013 un investissement plutôt défensif, tourné à 60% vers le renouvellement et la modernisation de leur outil de production. En 2015, 1 entreprise sur 2 cherchera un investissement productif (augmentation des capacités de production, lancement d’une nouvelle activité, et dépenses de R&D). Les secteurs de l’automobile (65% d’investissement offensif) et des services (65%) semblent plus offensifs. A noter, en 2015, les dépenses de R&D ne représenteront toutefois que 0,4% des chiffres d’affaires.
 
« Beaucoup d’entreprises françaises ne tournent pas à plein et sont capables de répondre à un supplément de demande avec leurs outils existants avant d’enclencher une stratégie plus offensive d’investissement », complète Hubert Leman, membre du comité exécutif d’Euler Hermes France et Directeur des risques. « 3 entreprises sur 4 enregistrent un taux d’utilisation de leurs capacités inférieur à 80%. Une situation qui s’est même dégradée par rapport à notre dernier baromètre, témoignant d’une demande à l’arrêt et d’un véritable enjeu de surcapacités. »

 

1Ce gap d’investissement est basé sur l’écart entre le montant total des investissements par les entreprises dans l’économie à fin 2015 et le montant calculé sur la base d’une hypothèse de croissance trimestrielle de l’investissement de 1%, similaire à sa tendance entre 2000 et 2007.

<p><strong>Grâce à l’appui de ses 23 délégations réparties sur l’ensemble du territoire français, Euler Hermes, le leader mondial de l’assurance-crédit, a interrogé plus de 800 PME et ETI françaises sur leurs intentions d’investissement, l’état de leur trésorerie et de leur carnet de commandes. En résulte la troisième édition de ce baromètre, qui, au regard du contexte macroéconomique de la France, apporte une analyse exclusive de la situation actuelle des entreprises et de leurs préoccupations en termes de demande et d’investissement.</strong>
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<p>&nbsp;<br /><strong>1-&nbsp;&nbsp; Le rebond de la consommation des ménages et l’amélioration des marges devraient permettre de redresser la dynamique d’investissement des entreprises mais le déficit d’investissement reste inquiétant : 83 milliards d’euros</strong><br />&nbsp;<br />La croissance française devrait accélérer en 2015 à +1,2% et atteindre +1,5% en 2016, après +0,2% en 2014. Le rebond de la consommation des ménages en sera le principal moteur, contribuant à hauteur de 1 point à la croissance du PIB cette année. Cette demande additionnelle devrait finalement soutenir la croissance des chiffres d’affaires des entreprises : ceux-ci sont attendus en hausse de 2% dans l’industrie cette année, et de 3% en 2016.<br />&nbsp;<br />Les entreprises en profitent aussi pour reconstituer leurs marges. Entre la baisse du prix du baril (+0,4 points de marge), le CICE (+0,5points) et le rebond de l’activité, le taux de marge des entreprises non-financières devrait atteindre 31,5% en 2015 ; celui-ci reste en dessous de son pic récent de 2007 à 33,5% mais pourrait revenir vers sa moyenne de long-terme à 32,7% d’ici 2017.<br />&nbsp;<br />Malgré une légère hausse des défaillances sur un an à fin avril (+0,5%), certains secteurs comme le commerce de détail pointent vers une amélioration (-5,4%). Euler Hermes estime donc que le nombre de défaillances d’entreprises devrait continuer de se résorber en 2015 (-1%) et 2016 (-3%), toujours à un rythme extrêmement faible (-0,4% en 2014). De plus, ce repli masque la turbulence toujours record en France : la sinistralité resterait toujours au-dessus des 60 000 défaillances jusque fin 2016.<br />&nbsp;<br />« Après un deuxième semestre 2014 inquiétant pour l’investissement des entreprises (+0%), celui-ci augmenterait de +1% cette année, pour accélérer à +2,6% en 2016. Dans un environnement de financement porteur, l’amélioration des chiffres d’affaires et des marges donne ainsi le top départ pour un grand retour de l’investissement. Celui-ci était plus qu’attendu puisque le déficit d’investissement gonflerait à 83 milliards d’euros cette année<sup>1</sup>», analyse Ludovic Subran, chef économiste d’Euler Hermes.</p>
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<p><strong>2-&nbsp;&nbsp; Selon le baromètre d’Euler Hermes, la demande reste le problème majeur pour deux-tiers des entreprises mais les fondamentaux financiers se sont renforcés</strong><br />&nbsp;<br />La concurrence accrue (33% des entreprises interrogées) et l’absence de débouchés (33%) sont en 2015 les principales difficultés rencontrées par les entreprises françaises, devançant le niveau de marges (23%). La concurrence se fait relativement plus sentir dans les services où plus de 44% des entreprises interrogées la classe comme première difficulté. C’est dans le BTP que le manque de débouchés est le plus prégnant : il est l’obstacle le plus important pour 39% des entreprises interrogées.<br />&nbsp;<br />En 2015, 46% des entreprises interrogées identifient la pression sur les prix comme le risque principal sur leurs marges ; soit deux fois plus que lors de notre dernier baromètre investissement, en 2013.&nbsp; Le manque d’activité arrive en deuxième position avec 23% des sondées.<br />&nbsp;<br />La visibilité s’est dégradée : 76% des entreprises déclarent ainsi avoir moins de 6 mois de visibilité sur leur carnet de commandes, contre 58% dans le baromètre précédent. Pourtant, pour 3 entreprises sur 4 les perspectives de demande domestique ou à l’export sont un déterminant important (ou très important) de l’évolution des dépenses d’investissement, juste derrière le retour sur investissement (86%) et devant le besoin de renouveler les capacités de production (73%), les conditions de financement (47%) ou les aides publiques (19%).<br />&nbsp;<br />Parmi les entreprises interrogées, les fondamentaux financiers se sont renforcés, témoignant d’une trésorerie globalement assainie : elles sont 92% en 2015 à déclarer avoir pu stabiliser ou améliorer leur trésorerie cette année, contre 75% en 2013. Elles n’évoquent pas de problèmes de financement particuliers, en ligne avec le faible coût actuel du financement bancaire, et témoignent de délais de paiement plutôt contenus pour 2 entreprises sur 3. Euler Hermes estime que le cash cumulé, disponible dans les trésoreries des grandes entreprises non financières, avoisinerait les 250 milliards d’euros en 2015.</p>
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<p><strong>3-&nbsp;&nbsp; Une entreprise sur 3 envisage d’augmenter ses dépenses d’investissement en 2015 et 1 sur 2 jouera offensif</strong><br /><strong>&nbsp;</strong><br />Malgré une demande toujours aussi complexe à saisir, les entreprises françaises anticipent le retournement de conjoncture et en témoignent dans leurs velléités d’investissement.<br />&nbsp;<br />«En 2015, 8 entreprises sur 10 continueront d’investir. Les ETI seront même plus audacieuses : elles investiront pour 93% d’entre-elles, contre 75% parmi les PME. Au final, 31% des entreprises envisagent d’augmenter leurs efforts d’investissements par rapport à 2014», décrypte Frédéric Andrès, économiste France pour Euler Hermes. « Un léger mieux par rapport à notre dernier baromètre où elles étaient seulement 20% à envisager d’investir davantage.» ajoute-t-il.<br />&nbsp;<br />Toutefois, la frilosité demeure importante à l’export : 90% des entreprises n’augmenteront pas leurs investissements à l’export cette année. Les 20 milliards d’euros additionnels à capter pour les entreprises françaises à l’export en 2015, dont 9 milliards dus à un euro plus faible, ne seraient donc pas un signal suffisant pour démarrer une démarche d’investissement et de conquête de ces marchés à moyen-terme.<br />&nbsp;<br />Les entreprises privilégiaient en 2013 un investissement plutôt défensif, tourné à 60% vers le renouvellement et la modernisation de leur outil de production. En 2015, 1 entreprise sur 2 cherchera un investissement productif (augmentation des capacités de production, lancement d’une nouvelle activité, et dépenses de R&amp;D). Les secteurs de l’automobile (65% d’investissement offensif) et des services (65%) semblent plus offensifs. A noter, en 2015, les dépenses de R&amp;D ne représenteront toutefois que 0,4% des chiffres d’affaires.<br />&nbsp;<br />« Beaucoup d’entreprises françaises ne tournent pas à plein et sont capables de répondre à un supplément de demande avec leurs outils existants avant d’enclencher une stratégie plus offensive d’investissement », complète Hubert Leman, membre du comité exécutif d’Euler Hermes France et Directeur des risques. « 3 entreprises sur 4 enregistrent un taux d’utilisation de leurs capacités inférieur à 80%. Une situation qui s’est même dégradée par rapport à notre dernier baromètre, témoignant d’une demande à l’arrêt et d’un véritable enjeu de surcapacités. »</p>
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<p><sup>1</sup><em>Ce gap d’investissement est basé sur l’écart entre le montant total des investissements par les entreprises dans l’économie à fin 2015 et le montant calculé sur la base d’une hypothèse de croissance trimestrielle de l’investissement de 1%, similaire à sa tendance entre 2000 et 2007.</em>
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