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La volonté d'entreprendre, une vertu qui ne demande qu'à être soutenue

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> Servcorp, des bureaux haut de gamme à la portée de toutes les entreprises

Winston Churchill disait que « là où se trouve une volonté, il existe un chemin », mais encore faut-il que quelqu'un nous indique la voie à prendre. C’est ce que s’efforcent de faire certains acteurs qui, chacun à leur manière, soutiennent la volonté d'entreprendre en France. Chefs d'entreprise, associations, groupements, agences de développement, il existe tout un réseau de bonnes volontés prêtes à aider ceux qui entreprennent. Voici un tour d'horizon, non exhaustif, de ceux qui soutiennent en France la volonté d'entreprendre.

Garder foi en l'avenir, même lorsque la conjoncture est difficile, est le propre du dirigeant d'entreprise qui se bat au quotidien pour son entreprise. Un engagement permanent que des chefs d'entreprises, des présidents d'associations, des responsables d'agences de développement pratiquent également. L'objectif est souvent le même, puisqu'il s'agit d'œuvrer, d'une manière ou d'une autre, au développement économique en France.


Défendre les entrepreneurs et le « made in France »
Il existe des entrepreneurs qui s'engagent pour soutenir la volonté d'entreprendre en France. Vincent Bouthors, PDG de Jalios, éditeur français de solutions d’intranets collaboratifs et de réseaux sociaux d'entreprises, est également l'un des cofondateurs d'une association originale baptisée Efel (Entreprendre en France pour l'édition logicielle). « Efel est une association réunissant l'écosystème des éditeurs français de logiciels, dans le but de faire émerger les champions internationaux de demain », explique Vincent Bouthors. Plus d'une cinquantaine d'éditeurs français, au-delà des situations de concurrence qu'ils peuvent connaître avec leurs entreprises, unissent déjà leurs efforts au sein d’Efel.

L'idée directrice est de permettre la création de valeur en exportant le savoir-faire français. « Entreprendre, c'est ce qui caractérise en premier tout entrepreneur », rappelle Vincent Bouthors, en soulignant que les éditeurs français sont prêts à voir plus grand pour peu que l’on soutienne leur volonté d'entreprendre. « L'objectif de l'association est aussi de faire prendre conscience de ce qui bloque l'édition française de logiciels dans son développement », poursuit-il. Par exemple, les collectivités, les services publics, les grandes entreprises ou encore les acheteurs pourraient donner l'exemple en accordant plus largement leur confiance aux éditeurs français, dont les solutions techniques valent largement celles de leurs concurrents internationaux. D'ailleurs, les ingénieurs français sont reconnus pour leur savoir-faire et leur créativité. « C'est un mal français : c'est en France qu'on a inventé le cinéma, et pourtant c'est à Hollywood qu'on en a fait une industrie », note Vincent Bouthors. En matière de R&D logiciel, la France est bien armée pour jouer dans la cour des très grands si elle parvient à créer de la valeur en devenant exportatrice. Efel et les chefs d'entre­prise qui y sont engagés pourraient servir de  catalyseur à une prise de conscience de la part des pouvoirs publics. Vincent Bouthors est également engagé au sein de « Mille Chercheurs Entreprennent », une structure qui invite les chercheurs français à franchir le pas en devenant des entrepreneurs. Un beau gisement de création de valeur qui ne demande qu'à être soutenu pour multiplier les futures pépites de l'entrepreneuriat français !

Partenariats d'entreprises
Alliance High Tech, groupement d'intérêt économique, créé en 2004, est un bel exemple de partenariat d'entreprises. « Ce groupement est né à l'initiative de grands comptes qui souhaitaient pouvoir continuer de travailler avec des SSII locales », rappelle Laurence de Rocca-Serra, directeur général d’Alliance High Tech. Au fil du temps, Alliance High Tech a réussi à fédérer un réseau de 250 entreprises partenaires, constitué de PME (45 %), de TPE (40 %) et d'ETI (15 %), spécialisées dans les services en ingénierie informatique et dans les conseils en technologie, notamment. « Nos missions se sont élargies puisque nous aidons les entreprises adhérentes à répondre aux appels d'offres en prenant en charge une partie des procédures administratives », poursuit Laurence de Rocca-Serra. Le cas échéant, Alliance High Tech peut proposer à ses adhérents de réunir leurs  compétences pour répondre à l'appel d'offres d'un grand compte avec de meilleures chances de succès. Alliance High Tech intervient alors comme un facilitateur dans la création d'un groupement momentané d'entreprises, par exemple. Il arrive aussi parfois que ces grands comptes passent directement commande auprès d'Alliance High Tech qui fait appel aux compétences techniques de ses adhérents. Enfin, Alliance High Tech commercialise également auprès des grands comptes le savoir-faire des entreprises adhérentes. « En fait, nous assurons pour leur compte des prestations administratives et commerciales, en allant assez loin dans ces domaines puisque nous gérons les dossiers également du point de vue de la factu­ration et des règlements », poursuit Laurence de Rocca-Serra. En 2013, Alliance High Tech a ainsi traité plus de 2 400 factures pour le compte des entreprises du groupement. Un dispositif qui permet d'établir un climat de confiance auprès de plus d'une dizaine de grands comptes mais aussi de valoriser le savoir-faire technologique des TPE et PME directement auprès de ces grandes entreprises, sans passer par un système de sous-traitance.

Vendre autrement
Le réseau d’affaires Carbao permet, quant à lui, de générer des recommandations qualifiées. « L'idée générale est de se recommander les uns les autres », explique Walter Bellon, l’un des trois cofon­dateurs, avec Philippe Pugliese et Sébastien Rey, de Carbao, acronyme de « Club d'Affaires de professionnalisation de la recommandation et du bouche à oreille ». Le concept de Carbao est né d'un constat, celui selon lequel tous les dirigeants, quels que soient leur secteur d'activité et la taille de leur entreprise, partagent les mêmes attentes. À savoir, développer leurs affaires en évoluant au sein d'un réseau de qualité véritable. Carbao est un réseau national, né dans la Drôme, constitué actuellement de 32 clubs locaux, et d'une dizaine en formation. Afin de favoriser l'échange humain, une des notions fondamentales pour Carbao est de faciliter les rencontres au sein des clubs locaux et interclubs. Les membres peuvent ainsi ren­contrer d'autres professionnels pour y échanger des recommandations d'affaires ou « tickets Biz », dont la particularité est d'être toutes qualifiées et soumises à une évaluation qualitative par les autres membres. « La qualité des « tickets Biz » passe bien avant leur quantité, dans le concept Carbao. Chaque professionnel attend de ses co-membres une qualité irréprochable dans le traitement du « ticket Biz » émis. Seuls les bons professionnels sont les bienvenus », souligne Walter Bellon. Chaque membre a en outre accès à l'intégralité du réseau national, grâce à une plate-forme digitale dédiée : www.carbao.net.

Chacun d'entre eux bénéficie également de deux séances annuelles de perfectionnement, une occasion supplémentaire de se faire des connaissances réelles autour d'un moment de convivialité. « Ces rencontres permettent de faire découvrir des facettes élargies des membres et de créer des liens, en plus du business direct », se félicite Walter Bellon.

Favoriser son installation
Même si on l'oublie parfois, les quelque 300 centres d'affaires et de domiciliation français œuvrent grandement au soutien de la volonté d'entreprendre. Et ceux qui entreprennent, en faisant appel aux multiples services proposés, sont de plus en plus nombreux : au premier semestre 2014, le chiffre d'affaires des centres d'affaires affiche une progression de 2 % par rapport à l'année dernière, et de 4 % sur le marché parisien. Selon le dernier baromètre de conjoncture du Synaphe, le syndicat national des professionnels de l'hébergement d'entreprises, les taux d'occupation sont aussi en hausse et ont atteint 83 % à Paris et 74,5 % en province. « Les services proposés par les centres d'affaires et de domiciliation répondent parfai­tement aux besoins d'un créateur d'entreprise qui peut se lancer très rapidement et sans risque en louant un bureau dans un centre d'affaires », explique Bruno Rébillé, président du Synaphe. Un créateur d'entreprise peut ainsi se consacrer pleine­ment au développement de son business, dans un cadre bénéficiant de services mutualisés (secrétariat, photocopies, courrier, etc.), sans se soucier des problématiques liées à un bail de location puisqu'il s'agit d'un contrat de prestations de services.
« C'est intéressant aussi sur le plan financier puisqu’un créateur va réaliser 20 à 30 % d'économies par rapport à une location de bureau classique », précise Bruno Rébillé. La souplesse, la modularité et la flexibilité de ce type de solution séduisent également les entreprises déjà installées et qui cherchent à se développer par de nouvelles implantations. « Le maillage du territoire est déjà important et les niveaux d'équipements informatiques et de télécommunication n'ont rien à envier à ceux que l'on trouve dans de grandes entreprises », ajoute le président du Synaphe. De grands acteurs, tels que Regus et Servcorp, proposent leurs services dans les grandes villes, ainsi que de nombreux autres acteurs présents partout en France. Enfin, transformer des frais fixes, ce qui est le cas dans des bureaux traditionnels, en frais variables, est aussi un avantage de gestion bien réel. Sans oublier que le développement du nomadisme, du coworking et du télétravail viennent encore rehausser l'intérêt de la formule.

Des conseils pour les jeunes entrepreneurs
Le soutien à la volonté d'entreprendre passe aussi par l'appui qu'une grande entreprise bien établie peut apporter à une start-up. C'est par exemple le cas avec ID Garages, une start-up française, basée en région parisienne, éditant la première plate-forme en France à partir de laquelle les automobilistes peuvent comparer les rapports qualité-prix des garagistes de tous horizons situés à proximité, et prendre rendez-vous directement pour des réparations. Benoît Marchal et Bruno Tiphine ont lancé idgarages.com en 2013, autour de ce concept unique dans la réparation auto­mobile avec de vrais devis en ligne et des vrais avis clients. « Le marché existe puisque le budget garage annuel de l'automobiliste français oscille entre 800 et 1 000 euros, mais nous voulions y mettre davantage de transparence sur les prix et les services », explique Benoît Marchal. Fort de son expérience dans le domaine du service client dans la répa­ration automobile et de la vente en ligne, il a été séduit par ce concept très innovant dans ce secteur, proposé et appuyé par le Groupe Auto­distribution, leader français de la fourniture de pièces automobiles aux professionnels, et bien sûr par l'opportunité d'être aux commandes de cette start-up, de sa création à son déploiement commercial.

« Mais dans son fonctionnement comme dans sa croissance, ID Garages reste une start-up indépendante pour se développer à la vitesse des entreprises du web et non à celle d’un grand Groupe », précise Benoît Marchal. La jeune entreprise bénéficie ainsi d'une certaine autonomie, même si, comme pour toute start-up, elle a des points d'étapes à réaliser et des objectifs à atteindre. Au quotidien, Bruno Tiphine, cofondateur d’ID Garages mais également actionnaire du Groupe Autodistribution, apporte son soutien et son expérience dans le positionnement et le déploiement du site. Bien qu’étroitement lié à un Groupe connu des répa­rateurs, idgarages.com a su convaincre les garagistes avant tout grâce à son concept fédérateur et innovant pour la profession. « Ceux qui adhèrent à idgarages.com acceptent d'être notés sur des engagements de qualité précis par leurs clients ID Garages. Cet engagement de transparence est unique dans la réparation automobile », précise Benoît Marchal. Après un test concluant à Bordeaux, l'accueil est positif, d'autant que l'inscription au service est gratuite pour le garagiste, et qu'il n'aura à verser une commission que lorsque des clients viendront à lui par le site. Déjà plus de 800 garagistes ont accepté de jouer le jeu après seulement une année de fonctionnement.

Se développer en dehors de ses frontières
Akuo Energy est devenu, en quelques années seulement, le premier producteur français indépendant d'énergie renouvelable. Une jeune entreprise qui génère un chiffre d'affaires annuel de 75 millions d'euros, avec la production d'énergie propre, produite par différentes technologies comme l'éolien, le photovoltaïque, la biomasse ou encore l'hydro-électrique. « Akuo Energy est né voici huit ans, et nous sommes déjà présents à l'international, notamment aux États-Unis, en Uruguay, en Turquie, en Pologne ou encore en Indonésie », précise Benoît Galland, directeur général d'Akuo Energy.
Dans le métier des énergies renouvelables, les montants des investissements peuvent rapidement devenir très importants. « En huit années, nous avons investi 1,6 milliards d'euros et notre vitesse de croisière est actuellement de 300 à 400 millions par an », poursuit Benoît Galland. « Notre métier, qui fait appel à de l'ingénierie financière, technique et d'exploitation, c'est aussi de faire des paris sur l'avenir en investissant sur le long terme », ajoute-t-il. Pour réussir son pari et internationaliser ses activités, Akuo Energy s'est appuyé notamment sur un partenariat bancaire.
« Nous nous sommes servis de nos réalisations en France pour gagner des marchés à l'étranger et c'est la même banque française, qui nous connaît bien, qui nous accompagne dans nos investis­sements internationaux », conclut-il. Stratégiquement, investir à l'étranger est important dans le domaine des énergies renouvelables, afin d'être à l'abri des évolutions réglementaires. C'est ainsi que le marché du photovoltaïque en France a été déstabilisé par la baisse du prix de rachat de l'électricité. En diversifiant ses technologies de production d'énergie propre et les pays d'implantation, cette entreprise met en pratique un vieil adage qui a fait ses preuves : ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier !

Les régions et la compétitivité
De nombreuses initiatives sont menées dans plusieurs régions françaises où les collectivités s'investissent pour renforcer l'attractivité de leur territoire, en soutenant la volonté d'entreprendre. Par exemple, la région Nord-Pas-de-Calais a mis gratuitement à disposition des utilisateurs et entreprises régionales une plate-forme pour les accompagner dans leurs démarches à l'inter­national . En Bretagne, Rennes la Novosphère est une structure originale dédiée à l’innovation et à la promotion de l’innovation. L’organisme conçoit et met en œuvre une stratégie d’action concertée visant à faire reconnaître l’agglomération rennaise comme un territoire économiquement dynamique, par exemple en accompagnant le développement de jeunes entreprises. Pour une entreprise française ou étrangère à la recherche d'un lieu pour s'implanter, jouer la carte régionale est aujourd'hui un atout.
« Dans une région, on accordera forcément un fort intérêt à l'arrivée d'une nouvelle activité, même avec une trentaine d'emplois, voir moins par rapport à la région parisienne », indique Philippe Brunet, directeur général de CADev , l'agence régionale de développement économique de Champagne-Ardenne. Cette structure accompagne les projets d'implantation ou d'extension d'activité dans cette région. « Notre rôle est d'être au service du projet, en facilitant toutes les démarches, afin qu'il puisse se réaliser en tenant compte des diverses contraintes comme celles liées à la recherche de locaux, au financement, au recrutement ou encore à la recherche de partenaires locaux et en tenant compte également des délais impartis », poursuit Philippe Brunet. Un accompagnement qui est gratuit et que l'entreprise a tout intérêt à solliciter, même dans le cas d’une région qui ne figurait pas parmi les lieux potentiels d'implantation. « On pense souvent aux grandes agglomérations, alors qu'il y a aussi des atouts à faire valoir ailleurs, et c'est aussi notre rôle de convaincre le porteur de projet que ses critères peuvent trouver une réponse pertinente, et sur tous les plans, en Champagne-Ardenne également », conclut volontiers Philippe Brunet. Au-delà de cet accompagnement personnalisé et gratuit, il existe également de nombreux dispositifs d'aides, notamment financières. On en dénombre environ 6 000 sur tout le territoire, destinées notamment aux PME et aux TPE cherchant à se développer.

Laurent LOCURCIO

Lu 13978 fois Dernière modification le mercredi, 21 octobre 2015 13:59
Laurent Locurcio

Journaliste économique, il a notamment collaboré avec la presse spécialisée dont La Tribune, Le Point, Le Monde, LSA, Sport Eco, et bien entendu GPO Magazine. Il a également participé au lancement de titres de presse et a été rédacteur en chef  d’un important magazine d’entreprise. Auteur également de livres d’entreprises, il intervient aussi auprès d’étudiants en formation multi-médias.

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