Anne Del Pozo
Elle collabore depuis près de 20 ans à différents magazines en qualité de journaliste.
Elle y traite de sujets articulés essentiellement autour de la finance, des flottes automobiles, du voyage et du tourisme d'affaires ou encore des ressources humaines. Anne del Pozo participe également à la rédaction de nombreux témoignages clients et de newsletters d'entreprise.
Les clés pour optimiser les coûts du traitement des factures
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En émission ou en réception, le traitement d’une facture a un coût. Sa dématérialisation est donc un enjeu de taille pour des raisons économiques mais également d’optimisation des processus de la chaîne order-to-cash.
La dématérialisation des factures est devenue un élément important de la stratégie de réduction des coûts des entreprises.
Au-delà de 50 factures par jour, en émission comme en réception, la dématérialisation présente en effet de nombreux avantages financiers. Arthur D.Little (cf. tableaux ci contre), s’est ainsi penché sur la question du coût des différentes étapes du traitement d'une facture reçue et émise. Lors de son étude, il établit la différence entre une facture papier et une facture dématérialisée. Il en conclut que le coût de traitement d'une facture dématérialisée est au moins divisé par trois.
La Bretagne entre terre et mer
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La Bretagne compte aujourd’hui quatre départements (Côtes d’Armor, Finistère, Ile et Vilaine et Morbihan), 21 pays et 1268 communes répartis sur 5 % du territoire national. Riche de 3 000 km de côtes, 3 700 km de sentiers de randonnées, 500 km de voies navigables, 8 villes d'art et d'histoire, 10 villes historiques et près de 1 000 monuments historiques, la Bretagne séduit par son cadre de vie et son environnement naturel. Le développement des réseaux routiers et ferrés a également contribué à la dynamique économique et touristique de la région. Au-delà de son réseau routier, le TGV Atlantique dessert désormais par ailleurs plusieurs villes bretonnes. La Bretagne dispose également d'un réseau dense de ports et d'aéroports à proximité des activités et des grandes villes.
Une économie qui a su se diversifier
La Bretagne se situe en septième position dans le classement des régions françaises. L'agriculture et la pêche y restent des activités importantes, où elles ont permis le développement d'une puissante industrie agroalimentaire. La région est par ailleurs une des seules de France où l'emploi industriel progresse, avec comme activités moteurs l'agroalimentaire, l'automobile (dont l'implantation de Citroën a favorisé l'essor) et la construction navale. Le tourisme a également toute sa place dans l'économie bretonne, tandis que le secteur tertiaire connaît un essor important.
Des pôles de compétitivité bretons valorisants
2ème pôle de recherche en France dans les télécommunications, 4ème région pour le nombre de dépôts de brevets, 5ème région française pour la recherche privée, la Bretagne figure parmi les régions les plus innovantes. Avec 12 centres d'innovation technologique, 7 technopôles, plusieurs dizaines de pépinières d'entreprises et de nombreux établissements de recherche, l'articulation entre les activités de production et les apports technologiques s'opère «naturellement» au profit du développement des entreprises.
Les étapes clés d’un développement à l’international réussi
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Aujourd’hui, trop d’entreprises françaises se lancent encore à l’international par opportunisme et de façon empirique. Souvent, les résultats de cette démarche ne sont pas ceux escomptés. « Se lancer à l’international demande une stratégie et un accompagnement, explique Caroline Wood, directeur régional de développement des garanties publiques à la Coface pour Paris (sur l'ensemble des garanties gérées par Coface pour le compte de l'État). Les entreprises doivent se préparer en amont, notamment en chiffrant leurs besoins. Elles doivent se doter des moyens nécessaires pour mettre toutes les chances de leur côté. Il leur faut notamment se fixer un objectif en termes de résultats, choisir les pays où elles souhaitent s’implanter et mener une réflexion sur comment elles souhaitent s’y implanter (filiale, rachat, joint-venture, simple bureau commercial…) ». Ainsi, dès ces premières réflexions, l’entreprise peut se faire accompagner pour définir sa meilleure stratégie et prospecter un ou plusieurs marchés.
Le développement des entreprises passe par l'international
Le développement à l’international représente actuellement l’une des principales voies de croissance pour les entreprises françaises, quelle que soit leur taille. Le succès d’une telle démarche nécessite néanmoins de prendre des mesures appropriées, que ce soit en termes de financement, de marketing ou de ressources humaines.
Les études sont unanimes. Les exportations seraient cette année « le seul salut » de l’économie française dont l’activité ne devrait croître que de 0,7 %. D’après l’assureur-crédit Euler Hermes, les exportations pourraient connaître une croissance de 2,2 % entre 2014 et 2015. La demande mondiale adressée à la France augmenterait de 19 milliards d’euros, soit une hausse de 3,9 % par rapport à 2013, dont 8 milliards pour la seule zone Euro (+ 4 %). Une dynamique dont les entreprises doivent profiter pour développer leur chiffre d’affaires.
Donner vie à son développement à l'international
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Conscientes des opportunités qui s’offrent à elles à l’international, les entreprises françaises sont de plus en plus nombreuses à prospecter de nouveaux marchés et clients hors de nos frontières, pour ensuite, les fidéliser. Une stratégie dont le succès nécessite de s’appuyer sur des procédures adaptées et des professionnels spécialisés, qu’ils soient opérateurs postaux, acteurs du marketing direct ou encore experts de la relation clients.