En toile de fond de cette démarche, une volonté des directions financières de gagner en efficacité, de mieux tracer et sécuriser leurs documents, mais aussi de répondre à certaines obligations réglementaires.

La première vague de digitalisation de la fonction finance, initiée il y a quelques années maintenant avec le développement des ERP et des progiciels de gestion financière, se poursuit aujourd’hui avec la mise en œuvre de solutions d’automatisation des processus.

Cette vague se réinvente en permanence, au fil de l’arrivée sur le marché de nouvelles technologies ayant pour vocation d’améliorer l’efficacité de la fonction finance.

Ces nouvelles technologies, comme l’automatisation robotique des processus (RPA), les logiciels de reconnaissance de caractères (OCR) ou encore le Machine Learning, qui peuvent notamment être embarquées dans les solutions de dématérialisation ou de gestion financière, contribuent à réduire les délais de traitement, à limiter les erreurs, ou encore à améliorer la traçabilité des documents. L’automatisation des processus financiers répond ainsi à plusieurs enjeux.

Assurer la continuité opérationnelle

« Avant tout, rappelons que dans une période comme celle que nous venons de traverser, la digitalisation de ces processus contribue à la continuité opérationnelle des activités », précise ainsi Thomas Honegger, directeur d’Esker France.

Un constat dont se félicite la société SMC, spécialisée dans l’automatisation industrielle pneumatique et électrique, et qui automatise depuis 2012 ses factures clients, et depuis 2020 ses processus de gestion des commandes clients avec la solution de dématérialisation Esker.

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