• Seulement un salarié de grandes entreprises sur deux déclare disposer d’un dispositif d’alerte dans son entreprise pour signaler un problème éthique.
• Près de la moitié des salariés des grandes entreprises ont déjà été témoins d’un problème éthique au sein de leur entreprise. Les cadres sont la population la plus exposée : 45 % d’entre eux ont déjà eu affaire à des problèmes de non-respect des règles et 1/4 d’entre eux ont déjà été témoins de corruption ou de fraude.
• Face à des problèmes éthiques, près d’1/3 des salariés interrogés ne feraient pas confiance à leur entreprise pour assurer leur protection, garantir leur anonymat en cas de recours à un dispositif d’alerte.
À noter que les cadres se montrent encore plus méfiants que les autres salariés à l’égard de ce type de dispositif (36 % ne feraient pas confiance à leur entreprise).
• Au final, les salariés font davantage confiance à leur supérieur hiérarchique pour discuter d’un problème éthique alorsqu’ils se montrent plus méfiants à l’égard des RH ou des syndicats.
V.B.

^{Source : Sondage BVA pour 20 minutes/Le Groupe
La Poste/Le Cercle d’Éthique des Affaires, réalisé du 30/09 au 11/10/2013.}