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Baromètre Future of Finance : La Fonction Finance met le cap sur la qualité de la relation fournisseurs et renforce sa digitalisation

Etudes Écrit par  mercredi, 27 mars 2019 14:31 Taille de police Réduire la taille de la police Augmenter la taille de police
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ITESOFT, éditeur de solutions de digitalisation des processus d’entreprise, publie les principaux résultats du Baromètre Future of Finance organisé en partenariat avec le cabinet de conseil Deloitte auprès de 137 directeurs financiers issus à 70% d’organisations de plus de 1000 salariés. Une étude qui éclaire sur les tendances de fond en matière de transformation digitale de la fonction finance : pratiques actuelles, nouveaux challenges, projets à venir… Retour sur les principaux enseignements.


Cap sur l’amélioration de la relation fournisseurs : 1 décideur sur 2 va s’équiper d’un portail fournisseurs dans les 12 mois

L’amélioration de la relation fournisseurs est un enjeu de plus en plus fort pour la fonction finance. Toujours à la recherche de processus plus efficaces, plus rapides et plus sûrs, les répondants font part de nouveaux challenges : réduire le temps passé par les équipes sur la gestion des litiges(51% des répondants) ou à répondre aux autres requêtes fournisseursquotidiennes (22%), disposer d’un canal de communicationdédié avec les fournisseurs pour optimiser la communication (dans 36% des cas) et dernier point, garantir la conformité réglementaire et l’obligation de vigilance en simplifiant l’intégration et la mise à jour de documents légaux dans le SI (18% des répondants).

Pour répondre à l’ensemble de ces challenges, l’étude révèle que les directions financières projettent en priorité (1 répondant sur 2) de s’équiper d’un portail fournisseurdans les 12 mois.

Eric Brétéché, Product Marketing Manager d’ITESOFT souligne : « La mise en place d’un portail fournisseurs répond aux attentes des organisations qui recherchent une meilleure connaissance fournisseurs, une relation plus collaborative, une traçabilité des échanges… mais aussi des gains de productivité supplémentaires au-delà de la seule dématérialisation du processus P2P. Dématérialisation et portail fournisseurs fonctionnent en symbiose. Les décideurs l’ont compris : 84% des répondants qui souhaitent mettre en place un portail fournisseurs ont déjà mis en œuvre la dématérialisation du processus P2P ou souhaitent mettre en place les 2 projets de front. »

Dématérialisation du processus P2P, Dataviz et Robotic Process Automation : les 3 leviers privilégiés pour renforcer la digitalisation de la fonction finance
Chiffres à l’appui, l’étude souligne que la transformation digitale des directions financières est déjà une réalité pour une majorité d’organisation. Et le mouvement gagne en intensité comme en témoigne les taux de projet à court et moyen terme.

Dans la pratique, la dématérialisation des processus P2P est une nouvelle fois cette année le levier n°1 : pour gagner en efficacité, en traçabilité et pour réduire les coûts, 56% des répondants indiquent l’avoir déjà mis en œuvre dans leur entreprise et la dynamique reste forte puisque près d’un tiers a un projet dans le domaine.

La data visualization est le deuxième levier le plus pratiqué : afin de simplifier la création de KPI par les opérationnels eux-mêmes et améliorer la qualité de leur pilotage métier, 39% l’ont déjà mis en place. Et le sujet est plus que jamais d’actualité comme en témoigne le taux de projet pour ceux qui n’ont pas encore franchi le pas : 34 % !

Troisième levier privilégié des organisations pour opérer leur transformation digitale : la RPA(Robotic Process Automation) qui recense 30% de pratiquants à ce jour et 27% de projets déclarés. L’étude souligne par ailleurs que 55% des directions financières déclare subir « le poids de leur héritage SI », un chiffre pouvant expliquer cette appétence pour la RPA dont la vocation est précisément de permettre l’automatisation dans des environnements IT complexes et à fort legacy.

Eric Brétéché, Product Marketing Manager d’ITESOFT analyse : « Les directions financières souhaitent continuer à transformer et automatiser leurs processus. Pour cela, elles se montrent créatives et se tournent vers la RPA afin d’élargir les bénéfices de l’automatisation aux applications historiques souvent peu ouvertes. Pour autant, ce classement illustre une réalité : la RPA ne remplace pas un projet de digitalisation du processus P2P, elle vient en complément des investissements en matière de capture d’information omnicanal – l’étude révèle que 6 factures sur 10 sont encore au format papier contre 4 pour l’électronique – de BPM / automatisation du processus P2P et d’outils de pilotage métier ».

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La rédaction

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