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Western Union constate que les entreprises utilisent de plus en plus le renminbi chinois comme devise

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Western Union Business Solutions, une division de la société Western Union (NYSE:WU), leader des services de paiements internationaux, observe que ses clients ont de plus en plus tendance à régler leurs importations en provenance de Chine dans la devise de ce pays, le renminbi (RMB).


« Les entreprises du monde entier commencent à revoir la manière dont elles effectuent leurs transactions avec la Chine » déclare Frédéric d’Ussel, directeur général de Western Union Business Solutions pour la zone EMEA. « Si les paiements que nous traitons sont encore très majoritairement libellés en dollars américains, nous observons depuis peu une augmentation sensible du nombre et de la valeur des paiements en renminbis envoyés en Chine par les entreprises, notamment les PME ».


Au second trimestre 2012, les paiements des clients français en RMB ont progressé de plus de 30 % par rapport au trimestre précédent. Sur la même période, ceux des entreprises britanniques en RMB ont augmenté de près de 10 %, tandis que les Etats-Unis et l’Australie ont enregistré une hausse d’environ 15% et 25 % respectivement.


« Nous avons été parmi les premiers opérateurs financiers, il y a juste un an, à proposer les paiements directs en renminbis et depuis cette date nous enregistrons une croissance régulière de ces paiements. De plus, d’après ce que nos clients nous ont rapporté, cette nouvelle politique de paiement avec la Chine fait clairement la différence. Offrir aux PME la possibilité de payer en renminbis est un véritable atout. Cela leur permet de saisir de nouvelles opportunités tout en faisant des économies » ajoute Frédéric d’Ussel.


D’après une étude réalisée à la fin de l’année dernière par Western Union Business Solutions, les sociétés chinoises préfèrent recevoir les règlements en RMB ; 20 % de celles qui ont participé à l’enquête ont en effet déclaré qu’elles ajoutaient à leur facture une commission de 3 % en moyenne pour couvrir les frais de change, soit un coût supplémentaire de 230 millions d’euros pour les entreprises françaises.1
« C’est encourageant de voir que les PME françaises s’adaptent rapidement dans un environnement international en constante évolution, gagnant ainsi en compétitivité » conclut Frédéric d’Ussel.

Lu 3200 fois Dernière modification le mercredi, 08 juillet 2015 15:10
La rédaction

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