L’acquisition intelligente des documents :

Au moment de la capture du document, qu’il soit sous format papier ou déjà dématérialisé, le recours aux outils digitaux de la dématérialisation (intelligence artificielle, analyse sémantique, LAD, RAD, OCR, entre autres) doit aller plus loin dans une notion d’intelligence intuitive avec l’utilisateur en lui proposant, de manière prédictive, un classement ou une indexation sans qu’il y ait besoin de saisir des mots-clés, de rechercher parmi les index et de dérouler des menus pour y parvenir.

La traçabilité au service de la valeur probante :

La typologie des documents se diversifiant de plus en plus, les entreprises souhaitent que l’ensemble des documents stockés dans leur GED ait une valeur probante. La traçabilité d’un document doit être totale tout au long de son cycle de vie, un moteur d’événements permettant par exemple de retrouver chaque modification pour chaque utilisateur.

Une GED vivante et partagée :

De plus en plus de documents sont désormais présents dans la GED, et il devient forcément utile de pouvoir les diffuser ou les partager dans un esprit de travail collaboratif. C’est une souplesse totale par rapport à un BPM ou un Workflow qui va faire de la GED l’outil collaboratif de plus en plus utilisé par les entreprises.

Par Jean-Louis SADOKH, Fondateur - Membre du Conseil d'Administration du Groupe T2i