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La carte corporate AirPlus, nouvel atout du voyageur d’affaires

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Portés par de nouvelles fonctionnalités telles que le paiement sans contact, les paiements par carte deviennent de plus en plus courants. Une tendance dont les voyageurs d’affaires et les entreprises pourraient tirer profit grâce à l’arrivée de solutions de paiement adaptées aux dépenses effectuées avant et pendant les déplacements professionnels.


En 2017, en Grande-Bretagne, les paiements par carte ont dépassé pour la première fois les règlements en espèces. Au niveau de l’Europe, MasterCard prévoit que, d’ici 2020, 38% des paiements effectués seront numériques ! Une généralisation qui concerne toutes les activités et déjà de nombreux pays. Dans les pays scandinaves par exemple, le paiement en espèces est déjà devenu l’exception, et désormais, la tendance à la dématérialisation des paiements, même les plus modestes, se confirme partout ailleurs. Toutes les professions s’y mettent, parfois sous la pression de nouveaux entrants. Les taxis par exemple ont longtemps privilégié le paiement en espèces, mais se voient désormais contraints d’accepter les cartes de paiement depuis l’arrivée de leur concurrent Uber et plus globalement des VTC. Une tendance qui a forcément un impact sur les voyages d’affaires et incite les entreprises à mettre à disposition de leurs collaborateurs un moyen de paiement dématérialisé des dépenses engagées pendant leur déplacement.

La carte logée, qui connaît une croissance soutenue, est déjà idéale pour la préparation du déplacement en amont avec la réservation des trains, vols et des hôtels notamment. En revanche, pour payer tous les à-côtés des voyages d’affaires comme les restaurants et les pourboires, les taxis, les parkings ou encore les transports urbains, le voyageur d’affaires règle souvent en espèces ou avec une carte personnelle. Une solution qui ne satisfait personne puisque le voyageur d’affaires doit collecter des justificatifs de paiements de ses notes de frais et les transmettre à l’entreprise qui doit ensuite les traiter, encore trop souvent manuellement, si elle n’est pas dotée d’une solution de dématérialisation des notes de frais.

Economies et confort

Dans ce contexte, la généralisation du paiement dématérialisé pourrait permettre aux Travels Managers de bénéficier des mêmes avancées que celles apportées par le paiement centralisé et la carte virtuelle. C’est ainsi que des spécialistes des solutions de gestion des déplacements professionnels se sont tout naturellement penchés sur la question à l’instar de AirPlus, qui a choisit de compléter son offre en lançant, à partir du 24 septembre 2018, une nouvelle carte Corporate Pan-européenne. Déployée progressivement dans 19 pays européens d’ici fin 2019, la carte Corporate AirPlus autorisera le voyageur d’affaires à régler toutes les dépenses effectuées pendant son déplacement en les centralisant et en supprimant les avances de frais. Le voyageur va gagner du temps dans le traitement de ses notes de frais, au même titre que son entreprise. Par ailleurs, la centralisation va permettre aux Travels Managers de bénéficier d’un reporting immédiat et de davantage de contrôle sur ces dépenses qui sont souvent les plus difficiles à maîtriser. En effet, chaque carte Corporate AirPlus peut être paramétrée finement, avec des limites d’utilisation conformes à la politique voyages de l’entreprise. Un point important dans la maîtrise des dépenses de voyages d’affaires qui reste une des priorités de l’entreprise. Une autre priorité porte sur l’amélioration de l’expérience des voyageurs. À ce titre, la carte Corporate d’AirPlus s’appuie sur le réseau Mastercard®, le plus largement accepté dans le monde avec 44 millions de points de vente à travers 220 pays. Sans oublier une couverture d’assurance voyages et d'assistance Axa pour toute la durée du voyage d'affaires. À ce rythme-là, la carte Corporate pourrait en effet devenir le meilleur atout du voyageur d’affaires !

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Laurent Locurcio

Journaliste économique, il a notamment collaboré avec la presse spécialisée dont La Tribune, Le Point, Le Monde, LSA, Sport Eco, et bien entendu GPO Magazine. Il a également participé au lancement de titres de presse et a été rédacteur en chef  d’un important magazine d’entreprise. Auteur également de livres d’entreprises, il intervient aussi auprès d’étudiants en formation multi-médias.