Finance & Gestion 414
Les métiers de la finance croulent sous la réglementation
lundi, 16 février 2015 00:48 Écrit par Nos contributeursNote de la Rédaction : Cette courte tribune juridico-financière souligne combien les législateurs français continuent et s’entêtent à empiler les lois les unes sur les autres, sans jamais véritablement se soucier des conséquences réelles et des dégâts collatéraux à moyen et long termes. Une autre tribune de notre édition détaille, par exemple, les aberrations et les dangers de la loi Hamon.
L’année 2014 a été, et l’année 2013 avant elle, le témoin impuissant du flot quasi ininterrompu des réformes, des projets de directives et autres lois nationales, des nouvelles positions et recommandations, des modifications et révisions diverses, des consultations et concertations variées : directives Mifid 2, AIFM, UCITS V, Loi Hamon, Loi ESS, Loi Florange, Loi Alur…
Aides et subventions : pourquoi s'en priver ?
jeudi, 19 février 2015 09:05 Écrit par Laurent LocurcioLes informations qui suivent peuvent vous faire gagner de l'argent. De l'aveu même des spécialistes d'accompagnement d'entreprise en matière d'aides publiques et de subventions, tout projet peut trouver son ou ses dispositifs. Reste à s'y retrouver dans le maquis administratif et à éviter certaines erreurs pour être sûr de financer son projet à bon compte !
Aujourd'hui, en cumulant les dispositifs locaux, nationaux et européens, il existe plus de 6 000 aides accessibles aux entreprises françaises, représentant 60 milliards d'euros de financements annuels ! Les aides en question peuvent revêtir différentes formes, comme la subvention, le crédit d'impôt, les exonérations de charges, les prestations gratuites, le prêt à taux zéro, l'avance remboursable ou encore les prêts à taux bonifiés.
Se faire plaisir tout en réalisant des économies, telles sont les préoccupations qui devraient guider les choix des entreprises en matière de fournitures de bureau. Petit tour des nouvelles tendances 2015, tant en matière de fournitures proprement dites que dans la façon d'appréhender ces dépenses.
Longtemps considérés comme non stratégiques pour de nombreuses PME, les achats de fournitures sont désormais traités avec plus d'attention. Ainsi, pour faire face au manque de moyens mis en œuvre en interne pour la gestion des négociations des fournitures de bureau, les chefs d'entreprise font de plus en plus appel à des centrales de référencement, dont le métier est justement de négocier les prix. Le but étant de leur permettre de bénéficier de conditions commerciales défiant toute concurrence. « Le marché de la fourniture de bureau a été en 2014 d'une manière générale plutôt atone, voire en baisse de 4 à 5 %.
Après les salaires, l’immobilier est le poste de dépenses le plus important d’une entreprise. Un espace de travail bien conçu doit associer le bien-être des collaborateurs, les intérêts de la production et des dépenses maîtrisées.
Déménagement, réduction ou croissance des effectifs, des dizaines de milliers d’entreprises en France revoient dans ce cadre l’organisation de l’espace de travail. Elles doivent alors tenir compte d'impératifs liés à la législation, l’efficacité, la satisfaction des salariés, tout en respectant un budget raisonnable. Le coût du m², en nette augmentation, est devenu un critère essentiel pour les ETI et PME. Autrefois, gérées par les services des moyens généraux de l'entreprise, les opérations d’aménagement sont souvent traitées par des sociétés spécialisées telles que les space planners, voire des conseils opérationnels en optimisation des coûts. Dans tous les cas, le projet d’aménagement doit être global et faire l’objet, pour être efficace, d’un véritable échange entre la direction générale, les services financiers, les moyens généraux et la direction informatique.
En matière de coûts cachés ou non identifiés, les postes voyage d’affaires et Mice ne font pas figure d’exception. Bien qu’ils soient particulièrement surveillés et fassent l’objet d'une stratégie de maîtrise des coûts, ces postes offrent néanmoins encore plusieurs leviers d’optimisation. Les activer suppose donc que les gestionnaires, qui en ont la charge, les identifient.
Que ce soit sur le voyage d’affaires comme sur les Mice, de nombreux coûts directs ou indirects ne sont pas toujours identifiés par les entreprises. « Par exemple, sur des centres de coûts classiques tels que l’aérien ou l’hôtellerie, certains sont peu connus et suivis, tels que ceux liés aux frais annexes. Or, ces coûts ne sont pas anodins ! », souligne à ce sujet Sébastien Marchon, directeur business consulting d’American Express GBT.
La location moyenne durée de véhicules dans l'air du temps !
jeudi, 19 février 2015 09:05 Écrit par Anne Del Pozo
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Dans un contexte économique toujours tendu, les entreprises continuent d’activer de nouveaux leviers d’optimisation de gestion de leur parc automobile. Une démarche qui les conduit de plus en plus à se pencher sur leur mode de financement qui, ces dernières années, fait la part belle à la location moyenne durée.
Crowdfunding : la sécurité des transactions ne peut se dispenser d’une réglementation adaptée au marché
jeudi, 15 janvier 2015 00:48 Écrit par Nos contributeursCe n’est pas faire preuve d’une grande audace, aujourd’hui, que d’affirmer que l’évolution des nouvelles technologies a complètement recomposé le paysage de la communication entre les individus.
Pousser les limites du ROI* au-delà des économies immédiates
jeudi, 15 janvier 2015 00:48 Écrit par Nos contributeursEnvisager un projet de dématérialisation implique la recherche d’un ROI. Les économies évidentes assurent-elles un ROI à la hauteur des espérances ? Des leviers permettent d’optimiser ce ROI.
La loi du 18 juin 2014, dite loi Pinel, complétée par son décret d’application en date du 3 novembre 2014, ont apporté des modifications substantielles au régime des baux commerciaux, orientées dans le sens d’une protection accrue des locataires.
Des entreprises françaises de plus en plus responsables
vendredi, 14 novembre 2014 04:48 Écrit par Nos contributeursAlors que la réglementation française sur le reporting extra-financier (article 225 de la loi Grenelle 2), s’apprête à rentrer dans sa troisième année d’application, une étude* révèle les résultats de sa deuxième édition consacrée à la RSE et aux pratiques de reporting extra-financier.
Objectif de l’étude : permettre aux entreprises de mesurer leur maturité dans la mise en œuvre de leur stratégie RSE et de leurs pratiques de reporting extra-financier, d’apprécier leur performance RSE par rapport au marché et d’identifier leurs axes d’amélioration.