Anne Del Pozo

Anne Del Pozo

Elle collabore depuis près de 20 ans à différents magazines en qualité de journaliste.

Elle y traite de sujets articulés essentiellement autour de la finance, des flottes automobiles, du voyage et du tourisme d'affaires ou encore des ressources humaines. Anne del Pozo participe également à la rédaction de nombreux témoignages clients et de newsletters d'entreprise.

> Business Document
Business Document pour une productivité accrue du poste de travail

Alors que la crise économique bat son plein, le secteur de la gestion électronique de document se porte bien. Une dynamique soutenue par les besoins des entreprises en la matière mais également par un cadre législatif et normatif bien ficelé ainsi que par des solutions matures et adaptées aux attentes de toutes les entreprises.

En 2009 et malgré la conjoncture, le marché de l’économie numérique et en particulier de la Gestion Electronique de Document (GED) devrait rester dynamique, porté notamment par le plan Besson Numérique 2012 ainsi que par la forte demande du secteur public en matière de solutions de GED et de prestations associées. «Le développement de l’économie numérique est également, en France, la conséquence de l’évolution du paysage normatif, légal et réglementaire», précise Laurent Prével, Président de l’Aproged. «La facture électronique représente, en la matière, un des exemples les plus marquants». La crise financière que nous traversons depuis plusieurs mois a par ailleurs accentué la nécessité pour les entreprises de maîtriser leurs flux d’informations. Or, indexer, classer, trouver l’information quand et où il faut, pour qu’elle puisse éventuellement constituer une preuve judiciaire ou accélérer une procédure de règlement client, ne s’improvise pas. Et ce d’autant que le nombre de documents créés ou reçus par les entreprises est en forte croissance. Dans un monde où les gigaoctets se sont transformés en pétaoctets (1 million de gigaoctets), l’archivage numérique devient stratégique. Il a pour vocation de garantir la pérennité et la traçabilité de l’information et d’en permettre une restitution intacte, conditions indispensables pour constituer en cas de besoin un élément de preuve. Autre avantage et non des moindres, il permet, dans certains cas, de supprimer le support papier, contribuant ainsi à la rationalisation des coûts des entreprises.


> Regus
Les réunions virtuelles décollent

Depuis un an et demi, la crise sévit sur le secteur des séminaires et réunions. Le volume des dépenses consacrées à ces manifestations a ainsi chuté de 7.8 % entre 2008 et 2009, entrainant dans leur sillon la baisse des prix sur ce secteur. Une tendance qui impacte fortement le secteur et fait la part belle aux réunions virtuelles.

La plupart des entreprises indiquent qu'elles maintiendront en 2010 leurs flux d'activité en termes de réunions d'entreprise et de séminaires, à un niveau constant par rapport à 2009 (Observatoire du tourisme d'affaires, 2010). Elles estiment en effet avoir déjà fourni suffisamment d'efforts sur le sujet depuis un an et demi et qu'il leur est désormais difficile de descendre en deçà du seuil déjà atteint. D'autant que le besoin de se réunir demeure, quelle que soit la conjoncture : séminaires, formations ou autres conventions d'entreprise représentent en effet des outils de management et de communication stratégiques pour l'entreprise.  Si les entreprises ont toujours besoin d'organiser ce type de manifestations, elles se focalisent néanmoins davantage sur des séminaires orientés vers le développement de leur activité, la vente et l'augmentation des parts de marché. Pour 2010, l'heure est donc plutôt à l'optimisme avec toutefois des prévisions budgétaires toujours assez maigres. D'ailleurs, l'Anaé (Association des agences de communication événementielle) note que les demandes ont repris depuis fin 2009, même s'il s'agit souvent d'opérations décidées à la dernière minute. Et les grands événements nationaux (comme le Mondial de l'automobile en octobre prochain) ou internationaux (comme la Coupe du monde de football en Afrique du Sud qui s'est achevée en juillet) pourraient redonner l'envie aux entreprises d'investir dans la communication événementielle. 


Alors que le contexte économique reste fragile, les entreprises, pour assurer leur pérennité, leur développement et leur compétitivité, s’engagent de plus en plus dans des processus de transformation.

Dans le cadre de ces projets, leur première démarche consiste souvent à mettre en œuvre des stratégies de réduction des coûts de leurs fonctions supports, achats, marketing, communication, finance, etc. Elles sont également nombreuses à travailler sur leur repositionnement client ou produit, notamment vers le très haut de gamme ou vers le low cost. Ces stratégies les ont naturellement conduites ces dernières années à mener des projets de transformation interne. Après avoir épuisé ces leviers de croissance, leur pérennité et leur développement à venir reposent désormais sur leur capacité à se tourner vers l’extérieur, à se pencher davantage sur leur cœur de métier et, enfin, à envisager une évolution de leur business model, de leur relation avec les clients et de leurs produits.


La compétitivité des entreprises, confrontées à une conjoncture économique, sociale et financière toujours fluctuante, est étroitement liée à leur capacité d’adaptation et de réactivité. Pour faire face à ces défis, les PME ont besoin de s’appuyer sur des systèmes d’information agiles, évolutifs et répondant à leurs problématiques de gestion métier.


Guillaume Andrieu d’Iray - Dirigeant de Promotool

"Mon Executive MBA d’HEC a renforcé mon discernement stratégique"


Pourquoi être repassé par la case formation ?
Guillaume Andrieu d’Iray : Pour repositionner notre agence web Promotool, que j’avais créée en 2001, nous devions changer de « business model ». Or, j’étais arrivé en panne d’idées stratégiques. Bien qu’entrepreneur dans l’âme, j’avais tout de même besoin de prendre du recul, de m’appuyer sur un support méthodologique me permettant de réfléchir à notre stratégie de développement. Autant de besoins qui m’ont amené à pousser la porte d’HEC pour y suivre un Executive MBA. 


> Académie de Créteil
L'académie de Créteil aux côtés des entreprises et de leurs collaborateurs
> Université Claude Bernard Lyon 1
L'Université Claude Bernard Lyon 1 s'implique auprès des entreprises
VOTRE PARTENAIRE FORMATION

Véritable outil de développement des compétences personnelles et des conditions de maintien dans l'emploi, la formation peut concilier les intérêts du salarié et de l'entreprise. Encore faut-il qu'elle s'inscrive dans une stratégie préalablement étudiée par l'entreprise et son collaborateur et que le choix du cursus réponde aux besoins de l'une comme aux objectifs de l'autre.


L’intégration réussie des collaborateurs handicapés passe par la mise en œuvre de différentes procédures. Des démarches qui, en s’intégrant à l’ensemble des processus RH de l’entreprise, peuvent participer au développement de sa performance.


 Publiée au journal officiel du 25 novembre dernier, la nouvelle Loi relative à l’orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie a notamment pour vocation de renforcer l’employabilité des salariés et demandeurs d’emplois. Elle revoit à ce titre les principes de répartition des fonds collectés et revisite les dispositifs de formation professionnelle continue.

« Juste et efficace». Tels furent les termes employés par Christine Lagarde, Ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, et Laurent Wauquiez, son Secrétaire d'Etat à l'Emploi, pour qualifier la loi sur la formation professionnelle continue. «Cette réforme, présentée alors comme une véritable arme «anti-crise» était indispensable pour décloisonner le système de la formation professionnelle afin de faciliter les passerelles entre les métiers nécessaires aux cours de sa vie professionnelle et faire en sorte que le système profite à ceux qui en ont besoin», déclarait Laurent Wauquiez, à l'occasion d'un conseil des ministres.


> Orange Business Services :  Comment rendre sa flotte automobile "plus verte"


De plus en plus, les entreprises se posent la question de rendre progressivement leur flotte automobile « éco-responsable ». Différents leviers existent aujourd’hui pour les accompagner dans cette démarche dont l’objectif final est autant économique qu’environnemental.

Actuellement, nous assistons à une véri­table prise de conscience des dirigeants d’entreprises et gestionnaires de flottes quant à la nécessité de rendre leur parc auto­mobile plus éco-responsable. Ce sont d’abord les grandes entreprises telles que Orange notamment qui, à partir de 2007/2008, ont pris cet enjeu à bras-le-corps. Une démarche qui s’inscrivait alors en droite ligne du Grenelle de l’environnement et répondait davantage à leur volonté de communiquer sur leurs démarches en la matière. Néanmoins, à cette époque, l’offre de véhicules « verts », hybrides ou électriques, restait encore restreinte. Seuls deux constructeurs (Toyota et Honda) se positionnaient alors sur ce marché. « Depuis, des initiatives ont été mises en place par le gouvernement français et Bercy, pour inciter les entreprises à basculer progressivement vers des flottes plus vertes, explique Thomas Jobelot, responsable Ventes Sociétés chez Toyota France. Est ainsi né le bonus sur les véhicules propres, tandis que l’exemption de la taxe pour les véhicules qui émettent le moins de CO2 a davantage été mise en relief depuis le Grenelle de l’environnement ».  


Depuis quelques années maintenant, le développement durable est devenu une préoccupation importante des directions achats. Une priorité que la crise ne semble pas avoir affectée et qui touche aussi bien la stratégie achat des entreprises que leur responsabilité sociale.

L'édition 2009 du «Baromètre Achat Durable» réalisé par HEC et Eco-vadis est sans appel. Les Achats Durables sont, malgré la crise, considérés comme «critiques» ou «importants» par 90 % des dirigeants Achats. Mais au-delà de cette perception, ce baromètre met également en évidence l'accélération de la mise en place des stratégies Achats Durables. 2009 aura ainsi été l'année de l'implémentation opérationnelle de ces démarches, les objectifs étant considérés comme «atteints» ou «en cours de l'être» par 80 % des répondants (contre 50 % seulement en 2007). Les impacts sur l'organisation sont d'ailleurs réels. Ainsi, 37 % des entreprises interrogées dans le cadre de cette étude ont mis en place une Direction Achats Durables. Par ailleurs, la formation approfondie et systématique des acheteurs a été faite dans la moitié des entreprises. Les outils spécifiques aux Achats Durables tendent également à se développer et en particulier ceux relatifs à l'évaluation des fournisseurs et à l'analyse des risques par catégorie d'achats ou par pays. A titre d'exemple, l'éditeur Ivalua a ainsi intégré les aspects relatifs au développement durable dans sa solution Ivalua Buyer. Différents modules de la solution sont concernés. Ainsi, pour l'e-sourcing, les critères de développement durable et leur pondération sont intégrés dans les consultations lors des appels d'offres. Concernant le référentiel fournisseur, il gère pour chaque dossier l'ensemble des informations relatives au développement durable comme les rapports d'audits, les plans d'actions ou les certifications obtenues.


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