En effet, alors qu’en octobre 2021, 91 % des dirigeants déclaraient être confiants quant à leur avenir, aujourd’hui la quasi-totalité des répondants déclarent rencontrer au moins l’un des risques mesurés par cette étude. La hausse du prix des matières premières est le premier risque mentionné par les dirigeants de PME et ETI, démontrant que le conflit russo-ukrainien impacte nécessairement l’activité des PME et ETI françaises.

Le risque cyber reste identifié comme une priorité pour 63 % des dirigeants

Alors que le contexte géopolitique n’a finalement pas donné lieu à la cyberguerre que tout le monde craignait, les entreprises quant à elles semblent avoir pris la mesure de la menace et ont pris leurs précautions. Ainsi, elles sont 63 % à déclarer être confrontées au risque de cyberattaque.

Par ailleurs, des mesures de prévention ont été prises puisque 62 % d’entre elles déclarent avoir renforcé ou modifié leur dispositif de cybersécurité en lien avec le conflit russo-ukrainien.

« Les événements des deux dernières années ont montré que les entreprises doivent plus que jamais se montrer prêtes à affronter des situations à la fois soudaines et de grande ampleur. Chez QBE, nous sommes persuadés que les entreprises de taille intermédiaire doivent renforcer leur démarche de gestion des risques, afin d’être en mesure d’identifier et traiter d’éventuels risques émergents. Nous avons vu avec le risque cyber qu’aucune entreprise n’était à l’abri. Ainsi, nous sommes mobilisés pour accompagner nos clients dans cette démarche au travers de nos différentes offres en gestion des risques telle que la cartographie avec notre partenaire Arengi », déclare Delphine Leroy, Directrice Générale de QBE France.