Dirigeant 262
Tous les jours, les entreprises prennent des engagements qui peuvent être lourds de conséquences et, souvent, elles le font sans avoir pris conseil. Cette situation est source de contentieux. L’acte contresigné par avocat accroît la sécurité juridique des transactions sans remettre en cause l’acte authentique. Il est aussi un instrument de concurrence internationale au service de notre système juridique.
Avance en compte courant ou apport en capital : comment choisir ?
lundi, 05 mars 2012 00:00 Écrit par Nos contributeursIl ne faut pas confondre apport en capital et avance en compte courant. Cette dernière est un prêt qu’un associé consent à la société, soit en lui avançant des fonds, soit en laissant à sa disposition des sommes qu'il renonce temporairement à percevoir (dividendes, rémunération si l'associé est dirigeant social). Un associé de SARL, de SAS ou de SA ne peut consentir une telle avance que s’il détient au moins 5 % du capital.
Communication et interculturel, clés de l’international
lundi, 05 mars 2012 00:00 Écrit par Nos contributeurs
Vendre à l’export, c’est pouvoir communiquer et comprendre la culture des acheteurs étrangers
De nombreuses propositions ont été formulées pour relancer le commerce extérieur de la France et réduire le déficit de la balance avec un diagnostic portant notamment sur la compétitivité, l’offre, la taille et le nombre d’entreprises exportatrices.
On mentionne assez rarement deux fondamentaux de l’international : pouvoir communiquer dans une langue étrangère, notamment en anglais, et savoir travailler en contexte multiculturel. Vendre à l’étranger suppose de pouvoir s’exprimer, idéalement dans la langue maternelle de l’acheteur ou tout au moins dans la langue du commerce international : l’anglais. D’après une étude récente d’EF Education First, les 3/4 des personnes dans le monde qui parlent l’anglais l’utilisent en tant que seconde langue ; elles ne recherchent pas la perfection en termes de grammaire ou de prononciation, mais seulement la capacité à pouvoir communiquer avec un étranger.
Mieux vendre à l'international, une affaire de réseau
mardi, 10 janvier 2012 14:24 Écrit par Nos contributeursVendre à l’international n’est pas chose aisée et mérite préparation, accompagnement, détermination et persévérance.
La première et indispensable étape est l’audit de la capacité de l’entreprise à lancer cette véritable deuxième activité : dispose-t-on du personnel et des compétences nécessaires ? Peut-on financer ce développement à l'export ? Viennent ensuite les questions relatives aux produits et services que l’on veut exporter : quel marché potentiel ? Sur quel(s) pays ? Quels normes techniques et usages commerciaux en vigueur ? Positionnement concurrentiel ? Validité des brevets et marques ? Maîtrise des problèmes logistiques et de transport ? Quelle couverture éventuelle contre le risque de change, la possibilité ou non d'une garantie Coface ?...
Il faut donc tout d'abord analyser la situation de départ car c'est elle qui va conditionner le positionnement de l’entreprise et déterminer s’il sera possible de partir à l'assaut de l’international.
La libéralisation accrue des noms de domaine en «.fr »
mardi, 10 janvier 2012 13:43 Écrit par Nos contributeursLe régime d’attribution des noms de domaine doit garantir la liberté de communication et d’entreprendre tout en protégeant la propriété intellectuelle.
Dirigeant, sachez vous protéger et vous entourer
jeudi, 09 février 2012 00:00 Écrit par Linda Ducret
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Plus que jamais le dirigeant doit s’armer contre les risques inhérents à sa fonction. La protection par voie d’assurance constitue un préalable indispensable mais il convient également de savoir s’entourer de professionnels compétents. GPO Magazine vous propose un tour d’horizon des différents risques ainsi que des assurances que le dirigeant doit contracter afin de se protéger. Sans oublier le choix de son statut qui conditionne sa protection sociale.
Comment actionner les leviers de la croissance ?
lundi, 09 janvier 2012 00:00 Écrit par Laurent Locurcio Le développement de l'entreprise passe par une stratégie clairement définie et partagée par ses collaborateurs. C'est en suivant le cap qu'il est aujourd'hui possible de saisir les opportunités, ouvrir la voie à de nouveaux marchés ou encore lancer efficacement de nouveaux produits.
Devenir un champion de la croissance, c'est possible. Encore faut-il faire les bons choix, comme Emmanuel Vasseneix. Le dynamique président de LSDH (Laiterie de St Denis de l'Hôtel) - groupe de 850 salariés répartis en France sur quatre sites industriels - réalise désormais un chiffre d'affaires annuel de 500 millions d'euros. En moins de trois ans, ce volume d'affaires a pratiquement doublé grâce à deux opérations successives de croissance externe. Cet industriel du secteur alimentaire a ainsi racheté une entreprise alsacienne de jus de fruits et une société choletaise de soft drinks.
Aujourd'hui, avec 30 % du marché du jus de fruits à marques de distributeurs, LSDH est devenu un acteur incontournable du secteur. Mais si la croissance externe se nourrit d'opportunités, il faut que les opérations entrent dans une stratégie bien définie.
L'Afrique du Sud, une destination arc en ciel !
mercredi, 26 octobre 2011 10:16 Écrit par La rédactionL'Afrique du Sud est une destination riche en diversité ! Que ce soit par ses paysages, ses populations ou sa culture, la destination saura combler les attentes des visiteurs en quête d'authenticité !
Le déficit commercial de la France n’est pas une fatalité !
mercredi, 12 octobre 2011 15:50 Écrit par Nos contributeursLe déficit commercial de la France s'est aggravé au premier semestre 2011 à 37,5 milliards d'euros contre 24,6 milliards sur les six premiers mois de 2010. Alors que faire pour aider davantage nos entreprises, et notamment nos PME, à exporter ?
Quelques attraits pour la Société par Actions Simplifiée (SAS)
mercredi, 12 octobre 2011 15:39 Écrit par Nos contributeursIntroduite dans notre droit par la loi du 3 janvier 1994, la SAS, Société par Actions Simplifiée est dans un premier temps restée confidentielle, car alors réservée à des personnes morales d'une certaine taille. Démocratisée par la loi du 12 juillet 1999, la SAS allait alors connaître un essor particulièrement important puisque répondant à la demande de liberté des entreprises dans leurs choix statutaires, notamment en matière d'organisation interne, de contrôle de l'actionnariat, de mode de décisions collectives.