Linda Ducret
Linda Ducret a une double formation : littéraire (hypokhâgne, licence de philosophie) et juridique (maîtrise de droit des affaires, DESS de Contrats Internationaux). En 1987, elle devient avocate et crée son cabinet en 1990. Elle exerce pendant 15 ans dans différents domaines du droit (droit des affaires, droit pénal, droit de la famille…).
Depuis 2005, elle est journaliste avec comme terrains de prédilections : les dossiers stratégie du dirigeant, propriété intellectuelle, nouvelles technologies, Incentive...Mais également les visions et les portraits d’entrepreneurs.
Écrire est l’une de ses passions. En 2009, elle publie un roman policier Taxi sous influence, finaliste du Prix du Premier roman en ligne.
Elle a publié un recueil de nouvelles : Le Ruban Noir ainsi qu’un polar : L’inconnue du Quai Henri IV.
Aurélie Lavaud, Cofondatrice de BimBamJob : Une entrepreneure sociale
Diplômée d’HEC en 2015, Aurélie Lavaud s’est lancée avec Irène Soulages dans l’entrepreneuriat social en créant BimBamJob. Un double constat à l’origine de la création de cette start-up d’aide à la réinsertion : d’un côté, le fort taux de chômage de personnes avec un niveau de première qualification, de l’autre, des employeurs dans des secteurs comme le BTP, la logistique, le sanitaire et social qui ont du mal à recruter.
David Layani, Fondateur de Onepoint : un turbo entrepreneur
À l’instar des grands noms du Web français comme Xavier Niel (Iliad), Jacques-Antoine Granjon (Vente-privee) ou Marc Simoncini (Meetic), ce n’est pas dans le système scolaire que David Layani a pu s’épanouir. Après quelques experiences professionnelles, c’est en 2002, qu’il crée son entreprise. Et c’est en pleine nuit que lui vient le nom de sa société : onepoint. Car le numérique est un point d’entrée unique partout.
Benoit Renauld, DG de Werner et Mertz France : une philosophie écologique et durable
Diplômé en Sciences économiques et de l’ICN Business School, Benoit Renauld démarre sa carrière chez Procter & Gamble France. Il est ensuite nommé directeur de clientèle de Scott Paper et Brossard France. En 2007, il rejoint Beiersdorf et occupe les fonctions de directeur des grands comptes France de 2007 à 2012. Enfin, en 2012, Benoit Renauld se voit confier la direction générale France et Bénélux du spécialiste européen des produits ménagers écologiques, Werner et Mertz, une entreprise familiale créée en 1867 à Mayence, en Allemagne.
La réforme de la formation professionnelle et de l'apprentissage : évolution ou révolution ?
Adoptée le 5 septembre 2018, la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » réforme en profondeur le système de formation professionnelle et d’apprentissage. Si certaines de ces dispositions sont d’application immédiate, d’autres n’entreront en vigueur qu’en 2020, voire 2021.
Dominique Cotteaux, Arkopharma : une démarche d'amélioration continue
Après avoir occupé les fonctions de directeur d’usine d’Herta (groupe Nestlé), Dominique Cotteaux exerce des missions industrielles pour les groupes pharmaceutiques MacoPharma et Baxter. En janvier 2015, il est nommé Directeur des opérations d’Arkopharma alors que cette dernière a été cédée en 2014 au fonds d’investissement britannique Montagu. La nouvelle équipe dirigeante, dont il fait partie, décide alors d’engager la société dans un grand processus de transformation pour relocaliser l’ensemble de la production à Carros, en Région PACA, et en faire le site unique d’expertise d’Arkopharma.
David Soulard, Meubles Gautier : Un entrepreneur garant des valeurs
Rien ne prédestinait David Soulard à devenir Directeur Général des meubles Gautier. En effet, après une formation d’ingénieur agricole (École Supérieure d’Agriculture), il débute sa carrière chez Sodebo où il évolue en tant que Responsable des achats jusqu’en 2000. Mais lorsque l’entreprise Gautier subit des difficultés, les quatre enfants décident avec leur père, Dominique Soulard, de relever le défi de trouver 150 millions d’euros pour reprendre l’entreprise. Une nouvelle vie commence pour David Soulard qui entre d’abord chez Gautier comme chef de projet logistique pour devenir ensuite responsable de la supply chain et enfin en 2010 prendre la Direction Générale de l’entreprise familiale.
Comment réussir la transmission de son entreprise ?
Transmettre une entreprise ne s’improvise pas ! Dans ce domaine, aucune approximation n’est possible s’agissant d’une opération technique et complexe. Avec à la clé un risque financier important car la cession met en jeu des centaines de milliers, voire des millions d’euros et peut entraîner un risque psychologique, car cet événement va influer sur l’avenir personnel et professionnel du cédant. Comment préparer avec soin cette transmission ? Par quel expert le cédant doit-il se faire accompagner ? Comment trouver un repreneur ? Quelles sont les différentes étapes à respecter ? Telles sont les questions que nous avons posées à Bernard Fraioli, président du CRA, à Lionel Becquart, conseiller reprise-transmission d’entreprise à la CCI Seine-et- Marne et à Jean-Marc Fleury, expert-comptable spécialisé en transmission d’entreprises.
Didier Pascual, Groupe Afflelou - La détermination et le travail
Après des études d’expertise comptable, Didier Pascual commence sa carrière au sein du Groupe Morereau, société d’Expertise Comptable et de Commissariat aux Comptes. Il rejoint ensuite le Groupe GiFi, d’abord en qualité de directeur administratif et financier, puis de directeur général adjoint. En 2003, il rejoint le Groupe Afflelou en tant que directeur général adjoint et en février 2018, il en est nommé PDG. Un parcours exemplaire pour cet homme, travailleur acharné, qui a su rester simple, modeste et authentique.
Christophe Vallet : Un entrepreneur authentique
Ses parents auraient aimé que Christophe Vallet se lance dans des études d’hôtellerie mais la vie en a décidé autrement. Attiré par la finance, il va s’orienter vers des écoles de commerce et décrocher des diplômes dans des écoles renommées. Il a travaillé dans ce secteur jusqu’en 2005 en créant sa propre société pour lever des fonds et aider des start-up de la Haute Technologie de l’Information. Finaliste du Grand Prix de France en Gestion du Patrimoine, il est appelé à exercer dans une grande banque de Monaco. Mais c’était oublier que Christophe Vallet a reçu de son grand-père, Augustin (hôtelier), la générosité en héritage. Il décide donc en 2003 de revenir à la Ferme d’Augustin pour y travailler, entouré de ses parents.
Thierry Tron Lozai : un entrepreneur accompli et un homme d'engagements
Thierry Tron Lozai aurait pu suivre l’exemple de son arrière-grand-père et être un industriel spécialisé dans la Métallurgie. Cependant, la vie en a décidé autrement car à la suite du choc pétrolier, l’entreprise familiale a déposé le bilan. Certains auraient baissé les bras mais au contraire, Thierry Tron Lozai a considéré qu’il s’agissait non seulement d’une chance mais également, de l’opportunité de se lancer dans des études de droit, notamment de droit social.