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Euklead accompagne les entreprises dans la redéfinition de leurs relations bancaires

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Dans le contexte économique tendu dans lequel nous évoluons, les entreprises sont plus conscientes que jamais de l’importance d’optimiser leurs coûts et cela passe notamment par l’optimisation de leurs frais bancaires. L’enjeu des banques est aujourd’hui de fidéliser au mieux ses clients, et notamment les entreprises. Le moment est donc propice au rééquilibrage de la relation Banque-Entreprise, c’est alors qu’interviennent les experts d’Euklead, dont le métier est de conseiller, d’assister et d’accompagner les entreprises dans leur démarche d’optimisation des coûts.

 

 

Les frais bancaires en France représentent un marché d’environ 15 milliards d’euros. Ce chiffre est en constante augmentation depuis plusieurs années et la part des commissions dans le Produit Net Bancaire (PNB) s’élève à 40%. En plus de la multiplication des commissions, l’augmentation des frais ainsi que la diminution du nombre d’établissements bancaires conduisent aujourd’hui à des montants significatifs pour les entreprises.  

Dans un contexte de crise de la dette, de liquidités et de contraintes règlementaires liées à Bâle III, le marché bancaire est aujourd’hui extrêmement concurrentiel et offre ainsi aux entreprises des  leviers d’optimisation non négligeables avec leurs partenaires bancaires.

Les banques, quant à elles, ont pris conscience de toute l’importance que revêt la fidélisation de leurs clients, et notamment des entreprises. Elles ont ainsi déjà initié quelques axes d’amélioration dans leur relation avec les entreprises : adoption de tarifs plus justes et plus lisibles, plus de cohérence donnée à leur rôle, plus de proximité avec leurs clients, personnalisation des services etc.

 

Aujourd’hui, de plus en plus de dirigeants, pleinement conscients des montants liés aux frais bancaires et financiers, souhaitent optimiser leurs coûts et ce en ayant recours à des experts de sociétés spécialisées. Souvent menés en interne il y a quelques années, les appels d’offres en matière de flux bancaires tendent à s’externaliser car le savoir-faire et la compétence métier des experts assurent aux entreprises des résultats optimums ainsi que des gains de temps importants.

Les entreprises risquent de se retrouver en retard sur le SEPA (Single Euro Payment Area). En effet, cette harmonisation européenne des virements et prélèvements devait être mise en place au 1er janvier 2014. Cette date ayant été fixée au printemps 2012, les PME commencent tout juste à s’y préparer et risquent donc de ne pas être prêtes à cette date. Pour les grandes entreprises, la migration SEPA représente un coût important (adaptation des applicatifs informatiques, formation, gestion des mandats de prélèvements, gestion de la base des coordonnées bancaires…) dont le retour sur investissement ne paraît pas évident ce qui peut engendrer un certain attentisme. Cependant, le SEPA renforce la volonté de centralisation des flux et permet à terme d’abaisser la facture bancaire (harmonisation européenne des conditions bancaires).

Du côté des établissements financiers, la gestion des appels d’offres français et paneuropéens a véritablement évolué grâce à cette zone SEPA mise en place dans 33 pays. D’autres facteurs ont également modifié la donne : réglementation plus stricte liée aux crises économiques et financières de ces dernières années, meilleur potentiel de négociation des entreprises avec leur banque etc.

Dans ce contexte, le rôle d’un expert en optimisation de coûts est d’accompagner les entreprises afin de pérenniser la relation avec leur(s) banque(s), sans pour autant rompre le partenariat déjà existant. En effet, si l’entreprise et sa banque ont une relation purement financière, la qualité de cette relation ainsi que sa pérennité sont essentielles. C’est à ce niveau qu’interviennent l’expérience et la compétence de l’expert en optimisation de coûts, véritable médiateur entre l’entreprise cliente et les établissements bancaires.  De plus, confrontée à l’obligation de migrer précipitamment vers SEPA, il peut être intéressant pour l’entreprise d’être accompagnée par un expert extérieur dans cette mise en œuvre (appels d’offres auprès de prestataires informatiques et prestataires de gestion des mandats) et dans le contrôle de la facturation des banques (risque de double facturation, augmentation de certains coûts...).

 

L’expert commence par effectuer un état des lieux bancaire de l’entreprise en tenant compte de ses contraintes historiques (management, secteur d’activité, contraintes financières, engagements financiers...) ainsi qu’une analyse des partenariats bancaires en place (spécificités des flux des banques, jugement du risque entreprise par chacun des partenaires…). Il s’agit ensuite de dresser une cartographie et une typologie des flux bancaires. Celles-ci permettent à l’expert d’établir une analyse de l’existant dans le cadre de l’élaboration du rapport d’audit pour le client et également d’enrichir le cahier des charges dans le cadre de l’appel d’offre.

Arrive ensuite l’étape importante du « benchmarking » afin de positionner les conditions de l’entreprise par rapport au marché. Après négociation avec les différents établissements bancaires, l’expert présente un Rapport d’Optimisation Initiale (ROI) dans lequel est affiché l’ensemble de ses préconisations. La mise en œuvre peut-être plus ou moins longue en fonction des produits bancaires, d’où l’importance d’accompagner le client dans la durée ; l’expert reste aux côtés des dirigeants afin de constater la bonne application des conditions et mesurer la performance des économies réalisées. Cet accompagnement permet également d’informer les clients des évolutions techniques et législatives pouvant avoir une influence sur les conditions bancaires pratiquées et leurs évolutions.

 

Le défi de l’expert est double :

- aider l’entreprise à choisir son ou ses partenaires bancaires en fonction de ses besoins et de ses contraintes et l’aider à élaborer une véritable stratégie

- en ce qui concerne les coûts, il s’agit de reconstituer le PNB prélevé sur l’entreprise par sa banque, de le réduire et de présenter un PNB prévisionnel avec les économies escomptées. L’objectif est ainsi d’analyser l’ensemble des frais bancaires, qui peuvent constituer des sources potentielles d’optimisation pour les entreprises. Pour en citer quelques uns : la gestion des flux, l’affacturage, les commissions bancaires (comptes, services, cartes de paiement), la trésorerie (financements à court terme, découverts plus importants, placements) et la restructuration de l’endettement bancaire à moyen terme.

Ainsi, collaborer avec Euklead, c’est avoir l’assurance que son dossier sera suivi par un professionnel expérimenté qui connaît parfaitement l’univers bancaire et qui a la capacité de mobiliser, pour une même mission, des expertises multiples :
- d’ordre juridique : audit des contrats, capacité à détecter la non application des conditions négociées
- d’ordre commercial : capacité à faire jouer la concurrence, réalisation d’appels d’offre, répartition des volumes
- d’ordre technique : orientation des flux en fonction des conditions, mise en place du cash management et de l’initiative SEPA.

 

En 2010, Euklead a conseillé une société holding, dont l’actif est composé de titres de participation dans deux entreprises. Celle-ci a eu recours à l’emprunt à moyen terme pour financer ses investissements en matériel, mais le montant des intérêts s’avérait particulièrement élevé et pesait lourd sur son budget. Le dirigeant de la holding a donc décidé de mettre en place une politique de réduction de ces charges financières en faisant appel à un expert spécialisé.

La démarche de réduction des charges financières a suivi les règles d’art en matière bancaire : réalisation d’un baromètre de référence, entretien avec le dirigeant pour connaître ses relations avec ses banquiers et réalisation d’une analyse financière détaillée de la société. Les procédures d’appels d’offres ne sont pas applicables dans le cadre de financement bancaire. Les démarches sont liées à la « cotation » de l’entreprise, qui évalue l’entreprise et détermine si une démarche des coûts est possible. La société holding était bien cotée ce qui a pu aboutir à une phase de négociation avec les banques partenaires.

Résultat : les experts Euklead ont restructuré une partie de son endettement financier en passant de taux fixes à des taux variables. Le dirigeant de la holding a réalisé 56 000 euros d’économies sur les 118 000 euros d’intérêts annuels pendant la collaboration avec Euklead entre 2010 et 2012. Et ce, sans changer de partenaires financiers.

Lu 4986 fois Dernière modification le lundi, 01 juin 2015 10:19
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