La CGPME propose la mise en place d’un nouveau contrat de travail, "le contrat de croissance"
De nombreux chefs d’entreprise de PME/TPE renoncent à embaucher car ils craignent une contraction future de leur activité et redoutent, en raison d’une législation sociale lourde et inadaptée, de ne pouvoir en tenir compte dans la gestion de leurs effectifs, risquant de mettre en péril leur entreprise.
Face à cette situation privant notre pays de nombreux emplois la CGPME propose la mise en place d’une nouvelle forme de contrat de travail, "le contrat de croissance". Ce contrat à durée indéterminée (CDI) serait basé sur des objectifs collectifs liés à des indicateurs économiques annuels prédéterminés, de maintien ou de progression de l’activité de l’entreprise.
La non atteinte de ces objectifs contractuels, pendant une période elle aussi prédéterminée, qui pourrait par exemple être de 3 ans, motiverait la rupture éventuelle du contrat de travail des personnes embauchées dans le cadre de ce dispositif, et ce afin de prendre en compte l’évolution de l’activité économique réelle de l’entreprise.
Ainsi les PME seraient incitées à se lancer dans la création d’emplois, et ce même en période de faible visibilité du carnet de commandes.
La rédaction
Le service Rédaction a pour mission de sélectionner et de publier chaque jour des contenus pertinents pour nos lecteurs internautes à partir d’une veille approfondie des communiqués de presse pour alimenter les rubriques actualité économiques, actualités d’entreprises, études ou encore actualités sectorielles. Pour échanger avec notre service Rédaction web et nous faire part de vos actualités, contactez-nous sur redaction@gpomag.fr
Dernier de La rédaction
- Plus de seniors en entreprise ? C’est bien, mais pas dans la mienne
- En 2024, les réunions d’équipe sont-elles encore utiles ?
- Grâce à l’accompagnement d’Esker, Solvay renforce sa relation client et réduit son empreinte carbone
- Transmission d'entreprise : les femmes pensent « nouvelle vie » et les hommes « fin »
- Industrie 4.0 : les entreprises françaises sur la bonne voie