Un cadre légal prévu pour protéger les individus, sans focus spécifique sur les particularités du Voyage d’Affaires
Le législateur a prévu des indemnisations forfaitaires destinées aux voyageurs, qu’ils aient ou non payé eux-mêmes leur billet. Dans les faits, il s’avère que le voyageur d’affaires est souvent surpris de percevoir une indemnisation financière pour un voyage intégralement payé par son employeur. Employeur et employé s’accordent généralement sur le fait que tous deux subissent un préjudice en conséquence de ces perturbations.

Différentes offres pour différentes stratégies d’entreprise
Partant du constat que, lors d’un problème de surbooking, d’un retard ou d’une annulation de vol, l’entreprise subissait un préjudice au même titre que son salarié voyageur, AirRefund a souhaité lui offrir la possibilité de bénéficier, elle aussi, d’une partie de l’indemnisation versée par la compagnie aérienne incriminée.

« S’il est acquis qu’un retard, un refus d’embarquement ou une annulation de vol sont pénibles pour le voyageur, il ne faut pas oublier que cela peut aussi engendrer un préjudice plus ou moins grave pour son employeur », commente Thomas Benita, CEO d’AirRefund. « Nous nous sommes efforcés de prendre en compte l’ensemble du problème pour que toutes les parties prenantes s’y retrouvent. »

Ainsi, AirRefund a enrichi sa gamme d’une offre destinée aux voyageurs d’affaires permettant de répartir les indemnités perçues entre le salarié et l’entreprise. Cette répartition se fait entre le salarié lui même (50% des sommes collectées), son employeur (20%) et AirRefund (30%) qui ne se rémunère qu’en cas de succès et supporte la totalité des coûts et frais au recouvrement de ces indemnisations.
En fonction de sa stratégie et de sa politique voyage, chaque entreprise est libre d’opter pour l’un ou l’autre des deux modèles proposés par AirRefund :
Une indemnisation dédiée exclusivement au voyageur d’affaires sans partage avec l’employeur malgré le préjudice partagé et le coût éventuel de mise en œuvre ou d’exploitation d’un tel service innovant,
Une indemnisation partagée avec l’employeur sur le modèle décrit plus tôt

Quel que soit le modèle choisi par l’entreprise, il est clairement détaillé dans le mandat soumis à la signature du voyageur d’affaire, qui reste libre de sa décision et le valide donc “en dernier ressort”.

Dans un cas comme dans l’autre, AirRefund propose, à chaque reversement d’indemnisation de faire un don à une association partenaire, au choix de l’employeur pour un parfait alignement avec les actions déjà engagées par l’entreprise sur le terrain caritatif.

AirRefund : une solution unique pour les voyageurs d’affaires
L’offre « voyage d’affaires » d’AirRefund repose sur un service unique sur le marché spécialement étudié pour répondre aux besoins des entreprises et aux exigences des voyageurs d’affaires

Grâce à un algorithme d’identification développé par ses équipes de Recherche et Développement, AirRefund est le seul acteur à proposer une identification proactive des vols perturbés éligibles à l’indemnisation et à alerter les voyageurs concernés au sein des entreprises clientes, grâce à l’interconnexion de son système informatique avec celui des agences de voyages concernées. Les voyageurs lésés n’ont qu’à cliquer sur le lien qui leur a été envoyé pour enclencher le processus 100% digital. Le service d’AirRefund s’affranchit totalement du papier pour réduire au maximum le temps passé par les salariés à soumettre leur dossier. Les interactions avec les passagers sont également sécurisées au plus au niveau, grâce notamment à l’adoption des meilleures pratiques et outils du e-commerce permettant de protéger leurs données personnelles.

Le service client d’AirRefund est disponible en cinq langues (français, anglais, allemand, espagnol et italien) pour répondre aux besoins des grands groupes internationaux, dont le personnel comprend bien souvent de nombreuses nationalités.

L’offre d’AirRefund a été développée en partant du constat que seulement 40 millions d’euros d’indemnités sont versées par les compagnies aériennes chaque année, alors que cette somme devrait atteindre près d’un milliard si tous les passagers éligibles arrivaient à faire valoir leurs droits. La différence est due au fait que nombre de passagers sont bien souvent découragés face à la complexité de la procédure et au temps qu’ils doivent y consacrer. C’est encore plus vrai pour les voyageurs d’affaires, pour qui ces démarches ne sont jamais prioritaires dans leur charge de travail.